Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Nisrin Erradi incarne cette force de la nature à la voix d’or et au caractère en acier trempé.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Abus de Ciné
par Olivier Bachelard
Ne cachant rien des humiliations régulières qu'elle doit endurer, Nabil Ayouch construit son film comme une double spirale inversée : celle d'un monde de fête se refermant sur cette chanteuse ambitieuse avec une noirceur grandissante au fil des marches franchies, et celle, opposée, d'une femme en partie résignée qui se libère progressivement grâce à sa ferveur et son art.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
[L']intensité de jeu [de Nisrin Erradi] est le point fort du film et permet de comprendre toute l'ampleur de son personnage.
Elle
par Françoise Delbecq
Une ode à la liberté à la fois glaçante et bouleversante.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Avec des images aux tonalités chaudes, un montage énergique, la musique au cœur du film et une caméra au plus près de Touda, le réalisateur nous campe dans les pas de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Un film incandescent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Si ce récit d'émancipation féminine est définitivement ancré dans la culture marocaine, sa portée en est universelle.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Entre âpreté et douceur, intensité et sensualité, le réalisateur de "Much Loved" continue de peindre son pays et ses contradictions dans un neuvième long métrage bouleversant qui envoûte par sa beauté formelle, là encore au service d’un propos résolument féministe, et son héroïne aussi libre que charismatique aux prises avec le patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un peu moins vibrant que les précédents films de Nabil Ayouche comme « Much Loved » ou « Haut et Fort », « Everybody Loves Touda », sélectionné en mai à Cannes et défendant les couleurs du Maroc pour les prochains Oscars du meilleur film étranger, réserve cependant quelques grands moments.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Nabil Ayouch nous entraîne dans un récit trépidant et sans concessions. Un récit dont la vitalité et l'urgence doivent beaucoup à la prestation de Nisrin Erradi qui, au coeur de chaque scène, incarne Touda avec une énergie époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
Nisrin Erradi, qui joue Touda, est extraordinaire à chaque seconde du film, auquel elle apporte et a donné énormément.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film âpre, remarquablement interprété par Nisrin Erradi (la révélation de "Adam"), témoigne avec un implacable réalisme du « sort » réservé à ces chanteuses qui sont souvent considérées comme des prostituées par leurs patrons adipeux et par des spectateurs voyeuristes.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Le réalisateur Nabil Ayouch filme Nisrin Erradi, chanteuse éprise de liberté dans un Maroc complexe. Magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Nabil Ayouch s'empare à nouveau d'une figure féminine forte dans une œuvre chaleureuse, entre film musical et chronique sociale.
Positif
par Eithne O’Neill
L’interprétation remarquable de Nisrin Erradi est complétée par des performances entraînantes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Audacieux et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La force du film réside dans sa mise en scène abrupte et sensuelle de la musique et la danse.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Un peu répétitif, le film n’est jamais meilleur que lorsqu’il laisse la place à la musique, lorsqu’il se concentre sur cette femme illettrée qui ne fait qu’un avec ses textes, qui chante/crie son âme à chaque mot qu’elle prononce, parfaitement interprétée par Nisrin Erradi (ADAM).
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Le dernier film de Nabil Ayouch décrit la résilience d’une chanteuse d’aïta, ce chant traditionnel de liberté et de révolte, mais menace paradoxalement de la figer dans sa représentation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On l’aura compris, le scénario, prévisible donc pesant, joue à fond la carte du mélo. Mais la pugnacité conjointe de la mise en scène et de l’interprétation de Nisrin Erradi font effet de contrepoints salvateurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Florence Vierron
Un film trop didactique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Si on peut apprécier le magnétisme des scènes musicales, il ne suffit pas à rendre perceptible les détails de l’âme de Touda.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Nabil Ayouch poursuit son œuvre critique et politique. Hélas, son discours est desservi par son écriture programmatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le film ne parvient pas à transcender le récit d’un parcours initiatique par la sensorialité des scènes de performance musicale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Au lieu d’y voir l’acte de bravoure d’une femme qui veut s’émanciper dans un monde rigide ne lui laissant pas la place d’exister, on perçoit davantage le caractère égoïste et borné de la principale intéressée. Jusqu’à ne plus avoir d’empathie envers elle. Gênant.
Première
par Frédéric Foubert
Suivant Touda (magnétique Nisrin Erradi) de sa petite ville de province à Casablanca, où elle espère faire carrière, le réalisateur livre à travers elle une vue en coupe de la société marocaine. On regrette qu’il ne parvienne pas toujours à communiquer l’énergie fiévreuse de ses séquences musicales au tableau sociologique qui les enserre, plus convenu.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En dépit de l’interprétation absolument épatante de l’actrice principale, Nisrin Eradi, le nouveau film de Nabil Ayouch ne décolle pas du fait d’un scénario trop classique et manquant de rythme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Nisrin Erradi incarne cette force de la nature à la voix d’or et au caractère en acier trempé.
Abus de Ciné
Ne cachant rien des humiliations régulières qu'elle doit endurer, Nabil Ayouch construit son film comme une double spirale inversée : celle d'un monde de fête se refermant sur cette chanteuse ambitieuse avec une noirceur grandissante au fil des marches franchies, et celle, opposée, d'une femme en partie résignée qui se libère progressivement grâce à sa ferveur et son art.
Dernières Nouvelles d'Alsace
[L']intensité de jeu [de Nisrin Erradi] est le point fort du film et permet de comprendre toute l'ampleur de son personnage.
Elle
Une ode à la liberté à la fois glaçante et bouleversante.
Franceinfo Culture
Avec des images aux tonalités chaudes, un montage énergique, la musique au cœur du film et une caméra au plus près de Touda, le réalisateur nous campe dans les pas de son héroïne.
La Croix
Un film incandescent.
Le Dauphiné Libéré
Si ce récit d'émancipation féminine est définitivement ancré dans la culture marocaine, sa portée en est universelle.
Le Journal du Dimanche
Entre âpreté et douceur, intensité et sensualité, le réalisateur de "Much Loved" continue de peindre son pays et ses contradictions dans un neuvième long métrage bouleversant qui envoûte par sa beauté formelle, là encore au service d’un propos résolument féministe, et son héroïne aussi libre que charismatique aux prises avec le patriarcat.
Le Parisien
Un peu moins vibrant que les précédents films de Nabil Ayouche comme « Much Loved » ou « Haut et Fort », « Everybody Loves Touda », sélectionné en mai à Cannes et défendant les couleurs du Maroc pour les prochains Oscars du meilleur film étranger, réserve cependant quelques grands moments.
Les Echos
Nabil Ayouch nous entraîne dans un récit trépidant et sans concessions. Un récit dont la vitalité et l'urgence doivent beaucoup à la prestation de Nisrin Erradi qui, au coeur de chaque scène, incarne Touda avec une énergie époustouflante.
Libération
Nisrin Erradi, qui joue Touda, est extraordinaire à chaque seconde du film, auquel elle apporte et a donné énormément.
Marianne
Ce film âpre, remarquablement interprété par Nisrin Erradi (la révélation de "Adam"), témoigne avec un implacable réalisme du « sort » réservé à ces chanteuses qui sont souvent considérées comme des prostituées par leurs patrons adipeux et par des spectateurs voyeuristes.
Marie Claire
Le réalisateur Nabil Ayouch filme Nisrin Erradi, chanteuse éprise de liberté dans un Maroc complexe. Magnétique.
Paris Match
Nabil Ayouch s'empare à nouveau d'une figure féminine forte dans une œuvre chaleureuse, entre film musical et chronique sociale.
Positif
L’interprétation remarquable de Nisrin Erradi est complétée par des performances entraînantes.
Télérama
Audacieux et émouvant.
Cahiers du Cinéma
La force du film réside dans sa mise en scène abrupte et sensuelle de la musique et la danse.
CinemaTeaser
Un peu répétitif, le film n’est jamais meilleur que lorsqu’il laisse la place à la musique, lorsqu’il se concentre sur cette femme illettrée qui ne fait qu’un avec ses textes, qui chante/crie son âme à chaque mot qu’elle prononce, parfaitement interprétée par Nisrin Erradi (ADAM).
L'Humanité
Le dernier film de Nabil Ayouch décrit la résilience d’une chanteuse d’aïta, ce chant traditionnel de liberté et de révolte, mais menace paradoxalement de la figer dans sa représentation.
L'Obs
On l’aura compris, le scénario, prévisible donc pesant, joue à fond la carte du mélo. Mais la pugnacité conjointe de la mise en scène et de l’interprétation de Nisrin Erradi font effet de contrepoints salvateurs.
Le Figaro
Un film trop didactique.
Le Monde
Si on peut apprécier le magnétisme des scènes musicales, il ne suffit pas à rendre perceptible les détails de l’âme de Touda.
Les Fiches du Cinéma
Nabil Ayouch poursuit son œuvre critique et politique. Hélas, son discours est desservi par son écriture programmatique.
Les Inrockuptibles
Le film ne parvient pas à transcender le récit d’un parcours initiatique par la sensorialité des scènes de performance musicale.
Nice-Matin
Au lieu d’y voir l’acte de bravoure d’une femme qui veut s’émanciper dans un monde rigide ne lui laissant pas la place d’exister, on perçoit davantage le caractère égoïste et borné de la principale intéressée. Jusqu’à ne plus avoir d’empathie envers elle. Gênant.
Première
Suivant Touda (magnétique Nisrin Erradi) de sa petite ville de province à Casablanca, où elle espère faire carrière, le réalisateur livre à travers elle une vue en coupe de la société marocaine. On regrette qu’il ne parvienne pas toujours à communiquer l’énergie fiévreuse de ses séquences musicales au tableau sociologique qui les enserre, plus convenu.
aVoir-aLire.com
En dépit de l’interprétation absolument épatante de l’actrice principale, Nisrin Eradi, le nouveau film de Nabil Ayouch ne décolle pas du fait d’un scénario trop classique et manquant de rythme.