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Ne cachant rien des humiliations régulières qu'elle doit endurer, Nabil Ayouch construit son film comme une double spirale inversée : celle d'un monde de fête se refermant sur cette chanteuse ambitieuse avec une noirceur grandissante au fil des marches franchies, et celle, opposée, d'une femme en partie résignée qui se libère progressivement grâce à sa ferveur et son art.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Avec des images aux tonalités chaudes, un montage énergique, la musique au cœur du film et une caméra au plus près de Touda, le réalisateur nous campe dans les pas de son héroïne.
Entre âpreté et douceur, intensité et sensualité, le réalisateur de "Much Loved" continue de peindre son pays et ses contradictions dans un neuvième long métrage bouleversant qui envoûte par sa beauté formelle, là encore au service d’un propos résolument féministe, et son héroïne aussi libre que charismatique aux prises avec le patriarcat.
Un peu moins vibrant que les précédents films de Nabil Ayouche comme « Much Loved » ou « Haut et Fort », « Everybody Loves Touda », sélectionné en mai à Cannes et défendant les couleurs du Maroc pour les prochains Oscars du meilleur film étranger, réserve cependant quelques grands moments.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Nabil Ayouch nous entraîne dans un récit trépidant et sans concessions. Un récit dont la vitalité et l'urgence doivent beaucoup à la prestation de Nisrin Erradi qui, au coeur de chaque scène, incarne Touda avec une énergie époustouflante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ce film âpre, remarquablement interprété par Nisrin Erradi (la révélation de "Adam"), témoigne avec un implacable réalisme du « sort » réservé à ces chanteuses qui sont souvent considérées comme des prostituées par leurs patrons adipeux et par des spectateurs voyeuristes.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Un peu répétitif, le film n’est jamais meilleur que lorsqu’il laisse la place à la musique, lorsqu’il se concentre sur cette femme illettrée qui ne fait qu’un avec ses textes, qui chante/crie son âme à chaque mot qu’elle prononce, parfaitement interprétée par Nisrin Erradi (ADAM).
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le dernier film de Nabil Ayouch décrit la résilience d’une chanteuse d’aïta, ce chant traditionnel de liberté et de révolte, mais menace paradoxalement de la figer dans sa représentation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
On l’aura compris, le scénario, prévisible donc pesant, joue à fond la carte du mélo. Mais la pugnacité conjointe de la mise en scène et de l’interprétation de Nisrin Erradi font effet de contrepoints salvateurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Au lieu d’y voir l’acte de bravoure d’une femme qui veut s’émanciper dans un monde rigide ne lui laissant pas la place d’exister, on perçoit davantage le caractère égoïste et borné de la principale intéressée. Jusqu’à ne plus avoir d’empathie envers elle. Gênant.
Suivant Touda (magnétique Nisrin Erradi) de sa petite ville de province à Casablanca, où elle espère faire carrière, le réalisateur livre à travers elle une vue en coupe de la société marocaine. On regrette qu’il ne parvienne pas toujours à communiquer l’énergie fiévreuse de ses séquences musicales au tableau sociologique qui les enserre, plus convenu.
La critique complète est disponible sur le site Première
En dépit de l’interprétation absolument épatante de l’actrice principale, Nisrin Eradi, le nouveau film de Nabil Ayouch ne décolle pas du fait d’un scénario trop classique et manquant de rythme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Nisrin Erradi incarne cette force de la nature à la voix d’or et au caractère en acier trempé.
Abus de Ciné
Ne cachant rien des humiliations régulières qu'elle doit endurer, Nabil Ayouch construit son film comme une double spirale inversée : celle d'un monde de fête se refermant sur cette chanteuse ambitieuse avec une noirceur grandissante au fil des marches franchies, et celle, opposée, d'une femme en partie résignée qui se libère progressivement grâce à sa ferveur et son art.
Dernières Nouvelles d'Alsace
[L']intensité de jeu [de Nisrin Erradi] est le point fort du film et permet de comprendre toute l'ampleur de son personnage.
Elle
Une ode à la liberté à la fois glaçante et bouleversante.
Franceinfo Culture
Avec des images aux tonalités chaudes, un montage énergique, la musique au cœur du film et une caméra au plus près de Touda, le réalisateur nous campe dans les pas de son héroïne.
La Croix
Un film incandescent.
Le Dauphiné Libéré
Si ce récit d'émancipation féminine est définitivement ancré dans la culture marocaine, sa portée en est universelle.
Le Journal du Dimanche
Entre âpreté et douceur, intensité et sensualité, le réalisateur de "Much Loved" continue de peindre son pays et ses contradictions dans un neuvième long métrage bouleversant qui envoûte par sa beauté formelle, là encore au service d’un propos résolument féministe, et son héroïne aussi libre que charismatique aux prises avec le patriarcat.
Le Parisien
Un peu moins vibrant que les précédents films de Nabil Ayouche comme « Much Loved » ou « Haut et Fort », « Everybody Loves Touda », sélectionné en mai à Cannes et défendant les couleurs du Maroc pour les prochains Oscars du meilleur film étranger, réserve cependant quelques grands moments.
Les Echos
Nabil Ayouch nous entraîne dans un récit trépidant et sans concessions. Un récit dont la vitalité et l'urgence doivent beaucoup à la prestation de Nisrin Erradi qui, au coeur de chaque scène, incarne Touda avec une énergie époustouflante.
Libération
Nisrin Erradi, qui joue Touda, est extraordinaire à chaque seconde du film, auquel elle apporte et a donné énormément.
Marianne
Ce film âpre, remarquablement interprété par Nisrin Erradi (la révélation de "Adam"), témoigne avec un implacable réalisme du « sort » réservé à ces chanteuses qui sont souvent considérées comme des prostituées par leurs patrons adipeux et par des spectateurs voyeuristes.
Marie Claire
Le réalisateur Nabil Ayouch filme Nisrin Erradi, chanteuse éprise de liberté dans un Maroc complexe. Magnétique.
Paris Match
Nabil Ayouch s'empare à nouveau d'une figure féminine forte dans une œuvre chaleureuse, entre film musical et chronique sociale.
Positif
L’interprétation remarquable de Nisrin Erradi est complétée par des performances entraînantes.
Télérama
Audacieux et émouvant.
Cahiers du Cinéma
La force du film réside dans sa mise en scène abrupte et sensuelle de la musique et la danse.
CinemaTeaser
Un peu répétitif, le film n’est jamais meilleur que lorsqu’il laisse la place à la musique, lorsqu’il se concentre sur cette femme illettrée qui ne fait qu’un avec ses textes, qui chante/crie son âme à chaque mot qu’elle prononce, parfaitement interprétée par Nisrin Erradi (ADAM).
L'Humanité
Le dernier film de Nabil Ayouch décrit la résilience d’une chanteuse d’aïta, ce chant traditionnel de liberté et de révolte, mais menace paradoxalement de la figer dans sa représentation.
L'Obs
On l’aura compris, le scénario, prévisible donc pesant, joue à fond la carte du mélo. Mais la pugnacité conjointe de la mise en scène et de l’interprétation de Nisrin Erradi font effet de contrepoints salvateurs.
Le Figaro
Un film trop didactique.
Le Monde
Si on peut apprécier le magnétisme des scènes musicales, il ne suffit pas à rendre perceptible les détails de l’âme de Touda.
Les Fiches du Cinéma
Nabil Ayouch poursuit son œuvre critique et politique. Hélas, son discours est desservi par son écriture programmatique.
Les Inrockuptibles
Le film ne parvient pas à transcender le récit d’un parcours initiatique par la sensorialité des scènes de performance musicale.
Nice-Matin
Au lieu d’y voir l’acte de bravoure d’une femme qui veut s’émanciper dans un monde rigide ne lui laissant pas la place d’exister, on perçoit davantage le caractère égoïste et borné de la principale intéressée. Jusqu’à ne plus avoir d’empathie envers elle. Gênant.
Première
Suivant Touda (magnétique Nisrin Erradi) de sa petite ville de province à Casablanca, où elle espère faire carrière, le réalisateur livre à travers elle une vue en coupe de la société marocaine. On regrette qu’il ne parvienne pas toujours à communiquer l’énergie fiévreuse de ses séquences musicales au tableau sociologique qui les enserre, plus convenu.
aVoir-aLire.com
En dépit de l’interprétation absolument épatante de l’actrice principale, Nisrin Eradi, le nouveau film de Nabil Ayouch ne décolle pas du fait d’un scénario trop classique et manquant de rythme.