Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Scénario, décors, costumes, tout se déploie dans une atmosphère feutrée, imprégnée de non-dits, aiguisant le suspense autant que les sens. Splendide.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Culturopoing.com
par Emna Mrabet
Par douceur impressionniste, la caméra saisit avec une rare délicatesse la volupté des tissus, manière subtile de révéler autant l’amour naissant que l’interdit qui l’habite.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Maryam Touzani traite avec une sensibilité fine un sujet tabou dans la société marocaine : l'homosexualité.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film délicat.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Tout est juste, élégant, nuancé.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
La thématique, son traitement et la sincérité dégagée par les comédiens – dont l'intensité réside dans l'économie de leur jeu–, font du Bleu du caftan un film sensible et courageux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par S. G.
Quelle noblesse dans ce film sensuel, sensible et silencieux, où l’on se fait à manger pour se dire qu’on s’aime, où Halim finit par braver la tradition !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
La réalisatrice marocaine Maryam Touzani aborde avec une infinie délicatesse le thème de l’homosexualité au Maroc à travers un triangle amoureux aux désirs contrariés, réuni autour de la fabrication d’un caftan traditionnel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La réalisatrice traite son sujet avec élégance.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
La réalisatrice revisite avec raffinement et sensibilité le thème du triangle amoureux dans Le Bleu du caftan.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Cau.
Une patience mise au service de la lenteur, des détails, des non-dits, qui privilégie les silences et les glissements subtils, qui laisse aux émotions le temps d’éclore et de rebattre les cartes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Un miracle presque incroyable que ce film qui rend naturelle une histoire singulière, avec une délicatesse hors norme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Le film de Maryam Touzani éblouit autant par sa délicatesse que par sa profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Ce film sensible confirme le talent et l'audace d'une réalisatrice qui bouscule les tabous de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
La comédienne Maryam Touzani repasse derrière la caméra avec l’émouvante histoire d’un triangle amoureux dans la médina de Salé, au Maroc. Beau et sensuel comme le tissu qui donne son nom au film, et merveilleusement incarné par le comédien Saleh Bakri.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le récit, tel un caftan, est un travail d’artisan de haute valeur, qui tisse plusieurs intrigues ensemble, rehaussées par une image aux couleurs chaudes, pour aboutir à une conclusion qui unit de manière inextricable tous ses fils (amoureux, sexuel, politiques), pour nous offrir à nous et à Mina le plus beau des vêtements.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Après « Adam », la cinéaste Maryam Touzani signe un second film très délicat « Le Bleu du caftan », où elle examine avec pudeur les relations d'un couple marié de longue date. Façon rébellion dans un gant de velours.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Touche après touche, dans une belle retenue, Maryam Touzani tisse un film émouvant sur la supériorité et l’urgence des sentiments. De la haute couture.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Louise Dumas
Modeste, pudique et bien interprété, "Le Bleu du caftan" a beaucoup pour plaire.
Transfuge
par Serge Kaganski
Maryam Touzani a serti un petit bijou esthétique et subtilement politique.
Télé Loisirs
par S.O.
Ce film sensible et beau prend le temps de creuser les sentiments pour révéler, sans manichéisme, la difficulté de s'épanouir dans une société traditionaliste.
Télérama
par Samuel Douhaire
Maryam Touzani signe, avec son deuxième film, une grande œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un grand film, digne et humain, tout de non-dits et suggestions, décrivant avec tact le quotidien d’un triangle amoureux. Du grand art !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Michaël Mélinard
C’est dans ces pas de deux que le film convainc le plus. Le Bleu du caftan séduit moins dans son approche trop programmatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Thierry Cheze
Maryam Touzani filme le désir rentré, l’amour impossible avec une sensualité fascinante. Dans son cinéma, les regards, les corps, les gestes empêchés comptent plus que les mots. Tout est subtil et d’autant plus bouleversant que rien n’est ici jamais forcé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Luca Mongai
Porté par de nobles intentions, Le Bleu du Caftan souffre de ne jamais se libérer du carcan du film à sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Laura Tuillier
A l’image de ce plan sur une main cousant qui revient sans cesse, toujours le même, le film pèche par la pauvreté de sa mise en scène, faite de gros plans répétitifs sur les visages toujours plus contrits de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Journal du Dimanche
Scénario, décors, costumes, tout se déploie dans une atmosphère feutrée, imprégnée de non-dits, aiguisant le suspense autant que les sens. Splendide.
Culturopoing.com
Par douceur impressionniste, la caméra saisit avec une rare délicatesse la volupté des tissus, manière subtile de révéler autant l’amour naissant que l’interdit qui l’habite.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Maryam Touzani traite avec une sensibilité fine un sujet tabou dans la société marocaine : l'homosexualité.
Elle
Un film délicat.
Femme Actuelle
Tout est juste, élégant, nuancé.
Franceinfo Culture
La thématique, son traitement et la sincérité dégagée par les comédiens – dont l'intensité réside dans l'économie de leur jeu–, font du Bleu du caftan un film sensible et courageux.
L'Obs
Quelle noblesse dans ce film sensuel, sensible et silencieux, où l’on se fait à manger pour se dire qu’on s’aime, où Halim finit par braver la tradition !
La Croix
La réalisatrice marocaine Maryam Touzani aborde avec une infinie délicatesse le thème de l’homosexualité au Maroc à travers un triangle amoureux aux désirs contrariés, réuni autour de la fabrication d’un caftan traditionnel.
Le Dauphiné Libéré
La réalisatrice traite son sujet avec élégance.
Le Figaro
La réalisatrice revisite avec raffinement et sensibilité le thème du triangle amoureux dans Le Bleu du caftan.
Le Monde
Une patience mise au service de la lenteur, des détails, des non-dits, qui privilégie les silences et les glissements subtils, qui laisse aux émotions le temps d’éclore et de rebattre les cartes.
Le Parisien
Un miracle presque incroyable que ce film qui rend naturelle une histoire singulière, avec une délicatesse hors norme.
Le Point
Le film de Maryam Touzani éblouit autant par sa délicatesse que par sa profondeur.
Les Echos
Ce film sensible confirme le talent et l'audace d'une réalisatrice qui bouscule les tabous de son pays.
Les Fiches du Cinéma
La comédienne Maryam Touzani repasse derrière la caméra avec l’émouvante histoire d’un triangle amoureux dans la médina de Salé, au Maroc. Beau et sensuel comme le tissu qui donne son nom au film, et merveilleusement incarné par le comédien Saleh Bakri.
Les Inrockuptibles
Le récit, tel un caftan, est un travail d’artisan de haute valeur, qui tisse plusieurs intrigues ensemble, rehaussées par une image aux couleurs chaudes, pour aboutir à une conclusion qui unit de manière inextricable tous ses fils (amoureux, sexuel, politiques), pour nous offrir à nous et à Mina le plus beau des vêtements.
Marianne
Après « Adam », la cinéaste Maryam Touzani signe un second film très délicat « Le Bleu du caftan », où elle examine avec pudeur les relations d'un couple marié de longue date. Façon rébellion dans un gant de velours.
Paris Match
Touche après touche, dans une belle retenue, Maryam Touzani tisse un film émouvant sur la supériorité et l’urgence des sentiments. De la haute couture.
Positif
Modeste, pudique et bien interprété, "Le Bleu du caftan" a beaucoup pour plaire.
Transfuge
Maryam Touzani a serti un petit bijou esthétique et subtilement politique.
Télé Loisirs
Ce film sensible et beau prend le temps de creuser les sentiments pour révéler, sans manichéisme, la difficulté de s'épanouir dans une société traditionaliste.
Télérama
Maryam Touzani signe, avec son deuxième film, une grande œuvre.
aVoir-aLire.com
Un grand film, digne et humain, tout de non-dits et suggestions, décrivant avec tact le quotidien d’un triangle amoureux. Du grand art !
L'Humanité
C’est dans ces pas de deux que le film convainc le plus. Le Bleu du caftan séduit moins dans son approche trop programmatique.
Première
Maryam Touzani filme le désir rentré, l’amour impossible avec une sensualité fascinante. Dans son cinéma, les regards, les corps, les gestes empêchés comptent plus que les mots. Tout est subtil et d’autant plus bouleversant que rien n’est ici jamais forcé.
Critikat.com
Porté par de nobles intentions, Le Bleu du Caftan souffre de ne jamais se libérer du carcan du film à sujet.
Libération
A l’image de ce plan sur une main cousant qui revient sans cesse, toujours le même, le film pèche par la pauvreté de sa mise en scène, faite de gros plans répétitifs sur les visages toujours plus contrits de ses personnages.