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Malgré sa légèreté, cette histoire d'amour ambiguë (...) reste une leçon de tolérance assez sympathique. Saluons au passage le virage à 90 degrés pris par Edward Norton, qui nous livre ici un film vraiment surprenant...
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Edward Norton et son équipe nous servent ici une comédie oecuménico-romantique multivitaminée dans laquelle il n'y a rien à jeter. Le scénario est d'une très grande finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le résultat est une comédie romantique originale avec des personnages plutôt mieux développés que d'ordinaire et bien servis par un trio d'acteurs qui ont du charme et de l'énergie à revendre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans ce Jules et Jim sauce Manhattan, l'amitié, la tolérance, l'amour, la religion sont traités avec la légèreté qui sied aux sujets graves. Jolie performance : Au nom d'Anna flirte avec les bons sentiments tout en esquivant une risquée mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
La grande qualité du film est qu'il prend son temps, filmer une discussion pour rien, juste pour le plaisir de montrer des amis, un couple. Il prend la risque de l'insignifiant, et fatalement le rythme du film s'en ressent (...)
Le film (...) se veut trop gentiment sympathique pour faire plus qu'effleurer la surface des sentiments, et son oecuménisme, naïvement accommodé au goût du jour, ne suffit à renouveler un sujet convenu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) un matériau meuble et mainstream au possible, qui permet à Edward Norton de s'essayer à la réalisation, non pas avec fadeur mais plutôt avec modestie (...)
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Aden
Vif et drôle, Au nom d'Anna a la modestie de ses personnages : paumés, séduisants, en quête d'un petit supplément d'âme.
Chronic'art.com
Malgré sa légèreté, cette histoire d'amour ambiguë (...) reste une leçon de tolérance assez sympathique. Saluons au passage le virage à 90 degrés pris par Edward Norton, qui nous livre ici un film vraiment surprenant...
Cinopsis.com
Sans révolutionner le cinéma Au nom d'Anna témoigne de son talent réel de réalisateur. Pourtant l'exercice n'était pas commode (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
Le film possède un charme persistant que l'on doit à son scénario malin et à ses formidables interprètes.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Des longueurs parfois (...), mais on pardonne à Norton ce péché de jeunesse !
Le Journal du Dimanche
Une jolie histoire sur la tolérance et la fidélité, servie avec verve par un Ben Stiller survolté et une Jenna Elfman belle à mourir.
Le Parisien
Edward Norton et son équipe nous servent ici une comédie oecuménico-romantique multivitaminée dans laquelle il n'y a rien à jeter. Le scénario est d'une très grande finesse.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Le résultat est une comédie romantique originale avec des personnages plutôt mieux développés que d'ordinaire et bien servis par un trio d'acteurs qui ont du charme et de l'énergie à revendre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
Dans ce Jules et Jim sauce Manhattan, l'amitié, la tolérance, l'amour, la religion sont traités avec la légèreté qui sied aux sujets graves. Jolie performance : Au nom d'Anna flirte avec les bons sentiments tout en esquivant une risquée mièvrerie.
Cahiers du Cinéma
La grande qualité du film est qu'il prend son temps, filmer une discussion pour rien, juste pour le plaisir de montrer des amis, un couple. Il prend la risque de l'insignifiant, et fatalement le rythme du film s'en ressent (...)
L'Obs
Le film (...) est très inégal, malgré quelques passages hilarants. On hésite entre "Oy voy" et "Amen".
Positif
Le film (...) se veut trop gentiment sympathique pour faire plus qu'effleurer la surface des sentiments, et son oecuménisme, naïvement accommodé au goût du jour, ne suffit à renouveler un sujet convenu.
Repérages
(...) un matériau meuble et mainstream au possible, qui permet à Edward Norton de s'essayer à la réalisation, non pas avec fadeur mais plutôt avec modestie (...)