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num6bch6ild6
65 critiques
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0,5
Publiée le 9 juin 2024
Je n'ai jamais vue un film aussi ennuyeux, long, qui n'a aucun contexte et qui tout simplement n'a pas sa place dans le domaine du cinema !
Comment c'est possible de faire une histoire pareille ? c'est absolument pas crédible, plus le temps passe, plus on a aucune empathie pour le personnage principale tellement les actions sont bêtes.
On commence le film avec beaucoup d'action, on comprend vraiment rien, où on est ? qui sont les personnages ? pourquoi ils fuient ? etc
Puis on se rend compte que tout au long du film, ça raconte comment la mère a pu survivre d'une manière ridicule !! Un jour elle veut plus vivre, un jour elle veut le bébé, un jour elle adore le bébé, un jour elle crie sur le bébé...décide toi !
On peut parler de la fin ? c'est tellement prévisible, donc finalement quel est l'objectif de ce film ? à part faire perdre aux gens à peu prés 1h49 de leur vie.
Film de survie classique qui essaie malgré tout de sortir des sentiers battue en plaçant son intrigue dans un endroit insolite, tout en plaçant son héroïne dans une condition incertaine. On aura pas beaucoup d'informations sur le pourquoi exacte de la fuite et la conditions de l'Espagne, pour se focaliser de suite sur l'essentiel et la survie dans ce container. Enceinte de surcroît notre survivaliste va tenter de faire au mieux pour assumer les tâches essentielle de sa survie en utilisant les ressources a sa disposition, alors c'est peu crédible, les chances du survie d'un bébé dans de tel conditions est juste improbable , mais c'est rythmé et plutôt bien amené dans son ensemble. C'est pas révolutionnaire, mais le film se trouve dans le milieu du panier de ce que peu proposer le genre.
Un huis clos espagnol de bonne facture et se classant parmi les bon films du genre !! Évidemment on ne peut éviter quelques incohérences mais l'ensemble est rempli de trouvailles avec du suspense et de la tension jusqu'au dénouement !!
Nowhere est un film dans le genre survival un peu particulier où une femme se retrouve avec son nouveau né dans un container au milieu de l'océan. Ce huit clos tient en haleine jusqu'à une fin tragique. On cherche encore le but de cet état totalitaire mais ce n'est pas le principal. La prestation d'Anna CASTILLO est excellente et donne une vraie dimension au film.
3/5 Pas mal. Le film est un peu trop lent par moment ce qui donne la sensation qu'il est trop long. C'est dommage car une fois l'introduction passée (elle n'est pas très très convaincante), le film commence vraiment et sait être prenant, la tension est présente et l'histoire complètement folle (peut-être un peu trop d'ailleurs mais ça passe, ça reste un film fiction). On sent venir la fin sans grand suspense mais c'est bien plus abrupte, sec et rapide que l'introduction. Bref, c'est pas mal.
Bon film de survival. Au début j'avais des doutes, mais il film tiens bien le haleine. Quelques moment invraisemblables mais rien de bien marchant. A voir.
Bon film qui m'a fait penser à Buried (on remplace le cercueil par un container) Sur un scénario plutôt original, le film se perd parfois dans des longueurs dispensables, mais arrive tout de même à nous accrocher grâce à un premier rôle impeccable (En même temps, un huit clos réussi doit forcément avoir un acteur de premier choix) et une tension toujours présente. Un peu facile par moment (Une vraie Macgyver cette héroïne), parfois malin spoiler: (le mari est t'il mort dès le début dans le container vert, ou l'appelle t'il réellement?), on passe quand même un très bon moment!
Très belle surprise en terme de cinéma moderne, Nowhere est un huit clos renversant, cru, brut, parfois insoutenable mais plein d'espoir et d'humanité. En plus de nous faire serrer la gorge et retenir nos larmes sur plusieurs séquences, il nous expédie littéralement en immersion dans une aventure inédite et nous plonge dans l'angoisse d'une sombre potentielle réalité...
Entre les fils de l'homme et seul au monde, le film gagne par son originalité, son suspense et sa performance d'actrice. Le film a une ambiance pesante, angoissante. Les situations restent "suffisamment" crédibles pour rester captivé jusqu'à la fin.
Ce « Nowhere » de 2023 (à ne pas confondre avec le très bon film éponyme de Gregg Araki sorti en 1997) est un survival attirant de prime abord mais qui n’exploite pas assez son potentiel à mon goût. C’est sympa sur le papier, mais depuis « Buried », on a un peu tout vu en la matière et ce n’est pas parce que le lieu est original (un conteneur perdu en pleine mer) que c’est révolutionnaire ! Pour ainsi dire, je n’ai pas trouvé l’héroïne ultra douée ou intelligente pour se servir de son entourage pour survivre et s’adapter. Elle semble même manquer de bon sens en ce qui concerne les bases élémentaires de survie ! Bref, c’est assez moyen dans l’ensemble, d’autant que la fin est assez prévisible et que certaines incohérences laissent pantois (notamment comment travaillent les gars qui sont censés examiner les conteneurs…).
"Nulle part" est une suite d'actions survivalistes dans un contexte peu vraisemblable avec des dialogues d'une grande platitude et des coups de téléphone ridicules. Tout est exagéré comme si souvent dans les réalisations espagnoles. L'environnement sauve un peu le film de la caricature dans ce film de survie mélodramatique.
Un film prenant, plein de suspense et de rebondissements. De très bons acteurs principaux qui réussissent à transmettre des émotions à travers l’écran. Un scénario assez original, se retrouver coincer dans un container en plein milieu de la mer. Une larme de versée, de l’espoir jusqu’au bout. C’est dramatique certes mais ça vaut le coup.
Un film sur l'espoir, d'un couple en fuite pour un pays meilleur. Une jeune femme enceinte se retrouve seule dans un container, elle va bientôt accoucher et doit sortir vivante pour raconter son histoire. Rien n'est plausible, mais derrière l'inventaire de la série des boîtes Curvair, il y a une note d'espoir, et parfois un peu trash. C'est un peu Mc Gyver en femme, elle doit se débrouiller avec le contenu des caisses, et apprendre à pêcher du poisson, enfin, rien de plausible, mais bon, c'est un conte pour les temps meilleurs.