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    Le Ciel rouge
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    Ufuk K
    Ufuk K

    523 abonnés 1 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2023
    "Le Ciel rouge" Grand prix du jury à la Berlinale cette année est un drame romantique allemand moyen dans l'ensemble. En effet le réalisateur Christian Petzold livre une histoire imparfaite en abordant son thème de prédilection l'amour, au niveau des qualités du film saluons la performance d'ensemble des comédiens notamment celle de Paula Beer et Thomas Schubert, certaines séquences légères, cocasse et émouvante illustrent bien le temps qui passe, l'émoi amoureux et la mort cependant j'ai trouvé le film assez ennuyant, les bons moments sont rares et l'intérêt au final se fait rare pour cette histoire intéressante mais qui s'oublie vite à la sortie de la salle.
    Gildas D'OLLONE
    Gildas D'OLLONE

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 septembre 2023
    Les émotions ne se diffusent pas naturellement dans ce film néo-romantique allemand. Cette ambiance affectée
    est altérée par le triste et austère environnement ( la maison, la forêt et la mer ).
    sans parler des personnages principaux qui sont peu attractifs à l'exception de Paula Beer dont la forte personnalité sauve le film.
    Lindaoff
    Lindaoff

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 septembre 2023
    Je me suis endormie 😪 Ce film a sûrement des qualités esthétiques mais trop de longueurs et difficile de ressentir les emotions pour ma part je n'ai pas accroché .
    Corinne76100
    Corinne76100

    50 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 septembre 2023
    Après l'eau de Ondine, voici le feu, 2ème opus de la trilogie du réalisateur allemand. Film très sensible et d'une grande beauté. Très belle interprétation.
    Camille J.
    Camille J.

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2023
    Bof... Le personnage principal est insupportable. Certes le film sert à prouver qu'il est autocentré et permet une progression au fur et à mesure. Mais au final, il m'a juste transmis sa mauvaise humeur. Je ne comprends pas qu'on ait pu dire de ce film que c'est un "conte d'été" : rien n'est doux, rien n'est fun.
    Amphrysia
    Amphrysia

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 septembre 2023
    Cela ressemble un peu à un gâteau qui ne lève jamais. Et le personnage de l'écrivain m'a fait penser à un ado boudeur. Il y a bien la poésie de Heine et la mer luminescente, mais pas facile ce neo romantisme allemand.
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)
    Benoit (BENZINEMAG / HOP BLOG)

    18 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 septembre 2023
    Une ambiance estivale, une maison en bord mer, la valse des sentiments… on pourrait être chez Rohmer ou bien chez Emmanuel Mouret, mais on est chez Christian Petzold et ça change tout. Car il faut reconnaître que le cinéaste allemand - qui dit s’être inspiré du film la collectionneuse de Rohmer - n’en a pas vraiment retenu la légèreté, la malice, l’humour et la poésie.
    Certes, il ausculte les rapports amoureux, les rapports d’amitié entre trois personnages comme pouvait le faire Rohmer, mais ici, très vite, on s’ennuie dans cette histoire dans un huis-clos à ciel ouvert, dans cette maison de bord de mer où il ne se passe finalement pas grand chose.
    Le début plutôt prometteur, laissant entrevoir, pourquoi pas, un marivaudage, mais très vite, le film fait du surplace, avec des personnages finalement assez creux et bien peu charismatiques, hormis peut-être celui de de Nadja (Paula Beer). Même les incendies de forêt qui se rapprochent ne parviennent pas à nous tirer de notre léthargie devant ce film bien plat.
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2023
    C'est en 2009, avec la sortie en France de "Yella", que j'ai commencé à m'intéresser au cinéma du réalisateur allemand Christian Petzold. Ont suivi "Jerichow", "Barbara", "Phoenix", en tout 4 films de grande qualité ayant la particularité d'avoir Nina Hoss en tête d'affiche. En 2018, grand changement : Paula Beer remplace Nina Hoss comme tête d'affiche, dans "Transit" pour commencer, puis dans "Ondine" et, aujourd'hui, dans "Le ciel rouge". Patatras : la magie Petzold n'opère plus. Relation de cause à effet ? Pas du tout. Paula Beer, qu'on avait tant aimé dans "Frantz" de François Ozon n'y est strictement pour rien. Concernant "Le ciel rouge" on peut même dire qu'il est très heureux qu'elle soit là car elle est la seule à apporter de la lumière et de la grâce dans un film qui, certes, a obtenu le Grand Prix à la Berlinade 2023, mais qui n'en patauge pas moins dans une espèce de théâtre filmé à base de personnages caricaturaux.
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2023
    Si vous avez vu "Beau fixe" de Christian Vincent 1992, vous saurez à quoi comparer ce film dans un lieu clos, avec des amis qui ne se comprennent pas trop , des intellectuels en quête de sentiments...C'est un peu le vide dans leurs vies.....Ils s'accrochent les uns aux autres, goûtent le temps qui passe, leur jeunesse, ....le film est filmé avec douceur, et il émane une certaine tendresse, de l'amour même...Peu de rebondissements, on parle livres, édition, frustration. Cela a un certain côté français dans la paresse du scénario, l'ambition littéraire abêtissante, C'est calme, cela manque de passion, d'écriture, mais la douceur ambiante fait qu'on peut adhérer à ce film assez original qui s'adresse surtout aux cinéphiles, ou à ceux qui se croient à tort écrivains...à vous de voir....
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2023
    Deux amis s’isolent à la campagne un été où les incendies ravagent les forêts des alentours. Léon doit écrire son nouveau livre et s’isole tandis que Félix sociabilise à la plage avec Nadja et David. L’ambiance est prenante, drôle. Tout ne se passera pas comme prévu, et un événement va venir bouleverser les romances d’un été. Le film est touchant, porté par un casting talentueux et des images magnifiques. Le coup de cœur de la rentrée !
    Clem Lepic
    Clem Lepic

    40 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 août 2023
    Histoire d'une poésie folle entre 4 jeunes qui sont amenés à se partager une maison pendant les vacances d'été. L'un d'eux est assez désagréable, a besoin de travailler sur un écrit, et s'isole complètement des autres, ayant des réactions proches de celles d'un autiste, malgré toute la sympathie de son ami et la gentillesse de cette jeune fille nouvellement rencontrée. Paula Beer est d'une délicatesse infinie. Très belle musique au générique "in my mind", qui témoigne de la bulle dans laquelle se trouve le personnage principal. Il veut écrire de la littérature mais il est totalement étranger de ses propres émotions.
    Patricia D.
    Patricia D.

    76 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 août 2023
    Le ciel rouge est un film original, très bien écrit et très bien interprété, qui passe avec beaucoup de maîtrise d'un franc comique à un tragique appuyé.
    Il est question d'art et de littérature, de regards sur soi et sur le monde, de menace environnementale, dans une histoire mise en scène avec une grande finesse.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2023
    Christian Petzold est devenu depuis une décennie l’un des fers de lance de ce que l’on pourrait décrire comme le nouveau cinéma d’auteur allemand auquel on peut ajouter, par exemple, Maren Ade et son « Toni Erdmann », une œuvre d’ailleurs peut-être un peu trop surévaluée. Une appellation un peu fourre-tout qui regroupe les cinéastes allemands qui ont émergé depuis dix ou vingt ans et percé à l’international, à l’instar de Sebastian Schipper et son incroyable thriller de plus de deux heures tourné en plan-séquence, « Victoria ». Pas vraiment de ponts relie ces auteurs et leurs films, mais ils s’inscrivent dans un renouveau amorcé avec les incontournables « Good bye Lenin! » et « La vie des autres » au début des années 2000 et le succès qu’on leur connait. Perzold a, quant à lui, beaucoup plu grâce à « Phoenix » ou « Barbara ».

    Ici, c’est le second volet d’une trilogie sur les éléments débutée avec « Ondine » et qui se perpétue avec « Le Ciel rouge », le premier investissant l’eau et le second le feu. D’ailleurs, comme il y a quatre éléments, la terre et l’air seront-ils jumelés en seul et même film dans le dernier volet de son projet? L’avenir nous le dira mais il faut avouer que cette thématique ne semble être qu’un gadget émanant de l’auteur pour contextualiser ses films tant, dans « Le Ciel rouge », cet aspect n’est que contextuel.

    En effet, le feu est ici représenté sous son versant dangereux par le biais des feux de forêt dans le nord de l’Allemagne. Triste coïncidence à l’heure où de nombreuses régions du monde sont en proie à des menaces similaires. Si ce n’est la toute fin, ces feux ne seront que très peu au centre des enjeux et des préoccupations des protagonistes. Ils auraient cependant pu (et du?) faire raisonner une certaine conscience écologique. Un angle que l’on ne verra pourtant jamais abordé ici et qui apparentent ces feux à un simple outil scénaristique. « Le Ciel rouge » se révèle au final une petite chronique estivale branchée, comme des tas d’autres films d’auteur, sur les atermoiements amoureux, créatifs et relationnels de ses trois personnages principaux auquel on en ajoutera deux autres qui vont faire avancer le tout. Un film de prime abord léger mais qui va petit à petit - et heureusement - se montrer un peu plus profond.

    Le personnage principal est le catalyseur de deux sujets principaux évoqués dans le long-métrage : la frustration et l’égocentrisme. Le miroir de nos sociétés? C’est un pas que nous ne franchirons pas par manque de matière mais qui est plutôt bien évoqué ici. Il y a quelques moments qui font sourire mais on n’est pas vraiment dans une comédie ainsi qu’un final plus dramatique et inattendu qui semble enfin toucher son vrai sujet mais ne fait pas non plus tomber le film dans la catégorie du drame. Dommage que la toute fin nous ressorte encore le sempiternel couplet de l’auteur qui s’inspire de ce qui s’est passé dans le film pour en faire son nouveau roman. On a déjà bien trop vu cette pirouette lassante devenant presque un cliché. Il n’empêche, « Le Ciel rouge » dégage un charme certain et se montre tout à fait agréable. Voir ces cinq personnages interagir dans cette jolie maison balnéaire nous captive bien qu’on n’en gardera pas un très grand souvenir.

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    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2023
    De Yella à Ondine, en passant par Jerichow, Phoenix, Barbara et Transit, le cinéma de Christian Petzold, qu'il soit historique ou contemporain, sait parfaitement rendre l'intime des relations humaines universel, au fil d'histoires que l'on peut difficilement ranger dans un genre spécifique. Il en est de même pour Le ciel rouge, une petite merveille, qui peut ressembler à une comédie de mœurs estivale, légère en apparence, mais où s'incrustent bien d'autres sentiments comme l'amertume ou le cynisme, tout en flirtant avec le film catastrophe, le mélodrame ou le récit d'apprentissage, de manière extrêmement fluide, avec une intelligence narrative enthousiasmante. Le ciel rouge pourrait aussi facilement s'apparenter à un huis clos théâtral mais aucune pesanteur n'y est perceptible car la progression dramatique est subtile et les dialogues savoureux. Paula Beer a succédé à Nina Hoss, en tant que muse du cinéaste, et elle est de nouveau sublime de charme et de pétillance dans le film mais ce n'est pas elle, en définitive, qui a le rôle principal, abandonnant ce privilège à Thomas Schubert, exceptionnel en garçon égocentrique, maladroit et totalement dénué d'empathie. Une fois de plus, Christian Petzold exprime son talent unique à rendre passionnantes, voire jubilatoires, les interactions entre ses différents personnages. L'idée de départ du scénario du film lui est venue en revoyant La Collectionneuse de Rohmer et il est vrai que Le ciel rouge est à sa façon un délicieux et cruel conte moral. Sa liberté et sa malice, dans l'intersection des sentiments, pourrait aussi faire penser à Jules et Jim, pourquoi pas ?
    Gisela T.
    Gisela T.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2023
    Excellent, le dernier film de Petzhold, deuxième d'une trilogie dont le premier était "Ondine" avec Paula Beer qui avait obtenu pour son rôle l'ours d'or de la meilleure actrice en 2020. Réflexion sur l'impossibilité de l'écriture, de l'art à percer le mystère de la réalité.
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