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    Le Ciel rouge
    Note moyenne
    3,5
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    58 critiques spectateurs

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    Orno13
    Orno13

    6 abonnés 457 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2023
    Une maison de campagne situé au bord de la mer va être le théâtre au début du film à un vaudeville presque rohmerien. En effet félix et Léon vers ce lieu pour au départ travailler les deux amis sont très différents felix est très ouvert et solaire tandis que leon ecrivain est une sorte de misanthrope assez sarcastique qui doit finir d ecrire son 2ème roman. Ils vont devoir cohabiter avec Nadia jouer par la sublime paula behr une bellement intrigante jeune fille dont leon au début s en mefienpui a peu s apprivoiser à la présence de cette femme.
    Puis le film peu à peu devenir inquiétant à cause d un incendie qui peu à peu se rapprocher des habitations.
    Le film est intéressant grâce à une mise en scène propre et surtout d un scénario dont la rupture du ton et de genre se fait brutalement jusqu'à être à la fin assez dramatique. Petzold essaye de revisiter le mythe des amants de Pompéi et qui est une réussite.
    BLS Moviedebrief
    BLS Moviedebrief

    5 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2023
    Le "héros", qui cherche à terminer d'écrire son 2eme roman, passablement raté, passe le plus clair de son temps à être désagréable et à ne pas participer aux activités communes. Malgré son côté insupportable on s’attache à lui et on a envie qu’il réussisse, notamment à conclure avec la séduisante Nadja. L’actrice Paula Beer est splendide de sensualité et de naturel de séduction.
    Pourquoi Y Aller :
    Pour Paula Beer
    Pour l'analyse de caractère intéressante
    Parce que les images des animaux fuyant le feu dont l’un avec le feu au pelage font bien réaliser l’horreur d’être pris dans un feu de forêt
    Pour la belle allégorie des amants de Pompéi, même si on y croit moyen en l'occurrence
    La musique de fin est très sympa (In my mind de Wallners)
    Pourquoi Ne Pas Y Aller :
    Le film manque un peu de rythme
    On se demande comment la lumineuse Nadja peut être attirée par Léon le ronchon, pas très crédible
    La fin un peu cliché
    Nathalie Golfe
    Nathalie Golfe

    4 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2023
    Petzol nous revient avec la chaleur des incendies de forêt.
    Facon rohmer cet épilogue sur un ete chaud est magnifique, toute la détresse amoureuse est là même si certain personnage le vive avec une plus grande légèreté , ce qui a fait me souvenir de la lecture de l insoutenable légèreté de l etre de kundera et dans ce film la place des sentiments est différente pour chacun le rôle de la femme centrale est un apaisement.
    Tres beau film de rentrée
    Doinel
    Doinel

    7 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2023
    Magique. On rentre avec plaisir dans ce film même s il ne s y passe rien en apparence. Puis l on navigue de surprises en surprise. Scénario impeccable, excellentd acteurs. la bonne surprise de cette rentrée.
    Evelyne D.
    Evelyne D.

    3 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 octobre 2023
    Un 5 * pour un film qui m'a émue et m'a rappelé la jeunesse estudiantine parmi des intellos pas toujours à l'aise avec les sentiments. Le contexte climatique m'a paru juste aussi, les acteurs superbes. Une réussite.
    GARAL
    GARAL

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2023
    Une allégorie des menaces et des craintes de notre temps.
    La peur n’empêche pale danger et inversement.
    Nana Dupont
    Nana Dupont

    2 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2023
    super découverte ! j'y allais un peu au hasard, scénario intense et palpitant, une atmosphère particulière qui fait attendre qq chose, une très bonne musique, de très bons acteurs....une belle réussite !!!
    Zedda Zogenau
    Zedda Zogenau

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    Un film d'été en allemand, comme réalisé par Eric ROHMER ? Christian PETZOLD suit les traces de PAULINE A LA PLAGE et y ajoute sa propre mélancolie. Quatre jeunes sur la mer Baltique ! Des flocons de cendre, des jeunes gens qui brûlent et des gens qui meurent quand ils aiment ! Un superbe film de Christian PETZOLD, encore une fois ! Depuis plus de vingt ans, le réalisateur allemand enchaîne les chefs-d'œuvre et découvre aujourd'hui la légèreté de l'été. Mourir pour!

    Thomas SCHUBERT a été nominé aux EUROPEAN FILM AWARD 2023 pour son rôle principal dans RED SKY / AFIRE.
    Lynebonnaud
    Lynebonnaud

    1 abonné 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2023
    Léon suit son ami Félix dans une maison de villégiature familiale au bord de la mer Baltique en lisière de forêt. L’endroit isolé semble idéal pour achever l’écriture de son second roman. Félix plus nonchalant doit lui élaborer un travail pour l’entrée en école d’arts. Arrivé sur les lieux, Léon déchante, la maison est déjà occupée par la nièce d’une collègue de la maman de Félix. L’improbable trio bientôt va encore s’agrandir avec la présence du maître-nageur de la plage la plus proche.
    Les plaisirs du bord de mer, le soleil, les soirées d’été, créaient un genre de cinéma appelé le film d’été. En France il est souvent associé à l’éducation sentimentale et sexuelle, du passage des jeunes gens à la vie adulte. On se souvient de « Pauline à la plage » d’Eric Rohmer. IL y a deux ans, Bergman Island de Mia Hansen-Løve mettait en scène la difficulté d’écrire d’un couple de cinéastes sur la sublime île de Fårö. Il y a dans « Le ciel rouge » ce même parfum d’un film un peu rohmerien qui se construit des petits riens qui font la vie de la communauté, et dont l’intrigue avance par petite touche. La présence de la forêt isole telle une frontière du reste du monde, mais aussi comme un territoire dangereux. Tous les sentiers se ressemblent pour facilement si perdre dès les premières images. Léon semble prisonnier de la forêt, on pense alors au Horla de Guy de Maupassant. Un craquement de brindilles et les angoisses montent et font palpiter le cœur. A l’heure du changement climatique, les forêts brûlent dans divers endroits du monde, en Suède, au Canada, en Sibérie, en Grèce, les hommes peinent à éteindre les grands incendies. Cette menace pèse sur le petit groupe insouciant, du fait du ciel qui rougeoie sous l’influence du feu à quelques kilomètres à la ronde.
    L’intrigue réside autour du personnage de Léon qui ne trouve sa place nulle part, ni dans la maison où son sommeil lui échappe du fait des bruits d’alcôve de cette co-locataire non désirée, ni dans le groupe qui se constitue malgré lui et s’amuse. Dans sa morgue, il se ment à lui-même et tente de se convaincre qu’il est cet écrivain d’un second roman, quand il peine devant un livre auquel lui-même ne semble plus croire. En spectateur indélicat de cette petite communauté qu’il ne parvient à intégrer, il s’éprend d’amour pour Nadja, tout en s’excluant lui-même tout seul du groupe. Il est fermé au monde, à la rencontre et à légèreté, qui lui permettrait de vivre, mais peut-être surtout d’écrire. C’est cette difficulté d’être au monde que Christian Petzold semble nous montrer avec ce personnage de mauvaise compagnie, qui fait l’expérience de la difficulté d’écrire parallèlement à celle de sa solitude aux autres.
    Le Ciel Rouge, nous laisse un parfum de vie délicat bien que la menace qui ourdie soit omniprésente, avant que ne frappe le drame. Avec Christian Petzold, nul doute que le film d’été a définitivement changé, et perdu de son insouciance derrière l’apprentissage que Léon va devoir faire. Après Nina Hoss, le cinéaste allemand semble avec Paula Beer avoir trouvé la nouvelle muse de son cinéma, une constante, les deux sont captivantes à l’écran pour incarner les personnages féminins dans ses films.
    Lindaoff
    Lindaoff

    7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 septembre 2023
    Je me suis endormie 😪 Ce film a sûrement des qualités esthétiques mais trop de longueurs et difficile de ressentir les emotions pour ma part je n'ai pas accroché .
    La Tornade
    La Tornade

    10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2023
    Comment réussir un film avec un scénario bien construit, tel est le cas de Ciel Rouge. Cette histoire est prenante et attachante dans un contexte actuel... de feux de forêt... planète en détresse... la réalisation est subtile, le jeu des acteurs est parfait, Paula Beer est éclatante entourée de talentueux acteurs masculins. Film à voir absolument.
    Gildas D'OLLONE
    Gildas D'OLLONE

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 septembre 2023
    Les émotions ne se diffusent pas naturellement dans ce film néo-romantique allemand. Cette ambiance affectée
    est altérée par le triste et austère environnement ( la maison, la forêt et la mer ).
    sans parler des personnages principaux qui sont peu attractifs à l'exception de Paula Beer dont la forte personnalité sauve le film.
    F Nundy
    F Nundy

    1 critique Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2023
    Après Barbara que j'ai beaucoup aimé, j'ai trouvé Le Ciel Rouge très décevant. Je lui reconnais un certain charme . Mais à part ce côté Rohmérien et la présence lumineuse de Paula Beer, je ne vois rien d'emballant et de vraisemblable à ce film. Le personnage principal, Léon, a si peu pour plaire qu'il en est presque caricatural. Il est mou, balourd, râleur, égocentrique, n'aimant rien. Trop c'est trop. A moins que cette outrance ne finisse par le rendre sympathique du moins aux yeux de Nadja. Les autres sont tout aussi stéréotypés notamment Nadja trop parfaite pour être vraie. Léon est romancier. Déjà le titre du roman de Léon "Club sandwich" annonce la couleur mais quand l'éditeur en lit un passage on est frappé par sa nullité. Or comment un écrivain médiocre peut-il devenir bon du seul fait de raconter sa propre histoire ? Le propos du réalisateur n'est pas crédible. Soit on sait écrire soit on n'en est incapable quoiqu'on écrive. Je rajouterai un petit détail qui m'a frappée au début du film : la pub indirecte faite à un paquet de céréales par ses gros plans insistants au moment du petit déjeuner et repris au supermarché. Manquer de discrétion à ce point là dans la prise de vue, c'est à se demander si le réalisateur ne prend pas le spectateur pour un imbécile.
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