Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Parisien
par La rédaction
La plus belle intention de ce long-métrage profondément humain consiste à nous embarquer sur un récit de marivaudage d’une douceur estivale infinie pour nous faire comprendre que son vrai sujet porte sur les affres de la création artistique, dans ce qu’elle peut avoir de sublime et de douloureux…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Julien Rousset
Le nouveau film de Christian Petzold n’est pas que brillant, il est mieux encore : magnétique. Frustration et désir, tension et sensualité électrisent chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
20 Minutes
par Caroline Vié
« Le Ciel rouge » est porté par Paula Beer, présence féminine fascinante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Petzold situe son film, d'apparence on ne peut pas plus simple, dans la zone troublante de l'incertitude, du gouffre, de la destruction.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
"Le Ciel rouge" ne dit pas banalement quelque chose sur notre époque. Il saisit l’expression de l’angoisse générale qui nous traverse, le sentiment de piège face aux désastres, en même temps qu’il confie à l’amour le soin de la consolation, une quête d’humanité pour se sentir un peu moins seul, un peu moins petit, tandis que la terre brûle.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Françoise Delbecq
Un brûlot dévastateur. Paula Beer est délicieuse en dilettante dominatrice qui fait tomber les masques.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Servi par trois jeunes excellents comédiens et par une Paula Beer qui a décidément la grâce, ce beau film brûlant (auréolé de l’ours d’argent à la Berlinale) consume tout sur son passage : la jeunesse, la légèreté, les illusions, l’amour, les corps et les cœurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Oscillant en permanence entre légèreté et gravité, le film séduit par la force de son propos, la présence lumineuse de son actrice principale et une issue, une fois n’est pas coutume chez Christian Petzold, plutôt optimiste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film nage dans cette misanthropie boudeuse, flotte dans les sous-entendus, file un air bien à lui, intelligent et policé. La caméra de Petzold ne cale jamais.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le réalisateur allemand livre un conte rohmérien à l’heure de tous les dérèglements, avec un quatuor d’acteurs qui déconstruit constamment le récit avec une fluidité stupéfiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Raffiné et délicieusement empoisonné.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Sous des apparences de comédie estivale légère, une surprenante et piquante étude de caractère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pascale Vergereau
Ce film de Christian Petzold, dans lequel les corps s’enflamment aussi, possède un charme inquiétant. Et envoûtant, grâce notamment à Paula Beer.
Première
par Thierry Chèze
Au fil d’un scénario riche en rebondissements distillés avec soin, Peztold signe une tragédie aussi bouleversante que malaisante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Petzold filme avec la grâce qu'on lui connaît un corps empêché, perclus d'angoisses et condamné selon sa propre volonté à un cruel exil.
Télérama
par Frédéric Strauss
[Ce] "Ciel rouge", qui provoque sans cesse l’étonnement, est d’une superbe profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est captivé par ce drame sur l’amitié masculine mise à l’épreuve grâce à l’étude complexe des personnages et en dépit d’une progression narrative lente.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Petzold met habilement en espace le tissu des relations humaines qui se forme sous nos yeux, la géographie de la maison, ses fenêtres et sa pergola se chargeant de déployer le surplomb de l’une et le statisme de l’autre, le désir courant par-ci par-là, le tout tenant de l’agréable démonstration.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Sébastien Ors
Badin, le film s'imprègne de gravité au fur et à mesure que le ciel rougit des incendies de forêt qui embrasent la région. Une menace qui maintient plus notre intérêt que les états d'âme des héros.
aVoir-aLire.com
par Anaëlle Paccard
Alors que les incendies ravagent les terres, les émotions des quatre protagonistes s’enflamment, butent sur les non-dits, pour trouver, non sans mal, leur moyen d’expression. Un film intimiste, poétique, à la mise en scène épurée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Valentin Denis
Si le film cherche à produire une satire très littérale de la masculinité toxique, il donne surtout l’impression d’accumuler avec opportunisme les signes du temps sans parvenir à leur donner forme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Entre sur-signifiances symboliques sur le réchauffement climatique et la combustion des sentiments en forme d’une grossière réactualisation des amants de Pompéi, le film s’épuise à force de vouloir ouvrir coup sur coup un nouveau tiroir discursif.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
La plus belle intention de ce long-métrage profondément humain consiste à nous embarquer sur un récit de marivaudage d’une douceur estivale infinie pour nous faire comprendre que son vrai sujet porte sur les affres de la création artistique, dans ce qu’elle peut avoir de sublime et de douloureux…
Sud Ouest
Le nouveau film de Christian Petzold n’est pas que brillant, il est mieux encore : magnétique. Frustration et désir, tension et sensualité électrisent chaque plan.
20 Minutes
« Le Ciel rouge » est porté par Paula Beer, présence féminine fascinante.
Cahiers du Cinéma
Petzold situe son film, d'apparence on ne peut pas plus simple, dans la zone troublante de l'incertitude, du gouffre, de la destruction.
Dernières Nouvelles d'Alsace
"Le Ciel rouge" ne dit pas banalement quelque chose sur notre époque. Il saisit l’expression de l’angoisse générale qui nous traverse, le sentiment de piège face aux désastres, en même temps qu’il confie à l’amour le soin de la consolation, une quête d’humanité pour se sentir un peu moins seul, un peu moins petit, tandis que la terre brûle.
Elle
Un brûlot dévastateur. Paula Beer est délicieuse en dilettante dominatrice qui fait tomber les masques.
L'Obs
Servi par trois jeunes excellents comédiens et par une Paula Beer qui a décidément la grâce, ce beau film brûlant (auréolé de l’ours d’argent à la Berlinale) consume tout sur son passage : la jeunesse, la légèreté, les illusions, l’amour, les corps et les cœurs.
La Croix
Oscillant en permanence entre légèreté et gravité, le film séduit par la force de son propos, la présence lumineuse de son actrice principale et une issue, une fois n’est pas coutume chez Christian Petzold, plutôt optimiste.
Le Figaro
Le film nage dans cette misanthropie boudeuse, flotte dans les sous-entendus, file un air bien à lui, intelligent et policé. La caméra de Petzold ne cale jamais.
Le Monde
Le réalisateur allemand livre un conte rohmérien à l’heure de tous les dérèglements, avec un quatuor d’acteurs qui déconstruit constamment le récit avec une fluidité stupéfiante.
Les Echos
Raffiné et délicieusement empoisonné.
Les Fiches du Cinéma
Sous des apparences de comédie estivale légère, une surprenante et piquante étude de caractère.
Ouest France
Ce film de Christian Petzold, dans lequel les corps s’enflamment aussi, possède un charme inquiétant. Et envoûtant, grâce notamment à Paula Beer.
Première
Au fil d’un scénario riche en rebondissements distillés avec soin, Peztold signe une tragédie aussi bouleversante que malaisante.
Transfuge
Petzold filme avec la grâce qu'on lui connaît un corps empêché, perclus d'angoisses et condamné selon sa propre volonté à un cruel exil.
Télérama
[Ce] "Ciel rouge", qui provoque sans cesse l’étonnement, est d’une superbe profondeur.
Le Journal du Dimanche
On est captivé par ce drame sur l’amitié masculine mise à l’épreuve grâce à l’étude complexe des personnages et en dépit d’une progression narrative lente.
Libération
Petzold met habilement en espace le tissu des relations humaines qui se forme sous nos yeux, la géographie de la maison, ses fenêtres et sa pergola se chargeant de déployer le surplomb de l’une et le statisme de l’autre, le désir courant par-ci par-là, le tout tenant de l’agréable démonstration.
Télé Loisirs
Badin, le film s'imprègne de gravité au fur et à mesure que le ciel rougit des incendies de forêt qui embrasent la région. Une menace qui maintient plus notre intérêt que les états d'âme des héros.
aVoir-aLire.com
Alors que les incendies ravagent les terres, les émotions des quatre protagonistes s’enflamment, butent sur les non-dits, pour trouver, non sans mal, leur moyen d’expression. Un film intimiste, poétique, à la mise en scène épurée.
Critikat.com
Si le film cherche à produire une satire très littérale de la masculinité toxique, il donne surtout l’impression d’accumuler avec opportunisme les signes du temps sans parvenir à leur donner forme.
Les Inrockuptibles
Entre sur-signifiances symboliques sur le réchauffement climatique et la combustion des sentiments en forme d’une grossière réactualisation des amants de Pompéi, le film s’épuise à force de vouloir ouvrir coup sur coup un nouveau tiroir discursif.