À voir, ce film ne laisse pas indifférent, c est la vie, j’ai beaucoup aimé ce film et les acteurs sont bons. Ce film réaliste fait du bien, faites-vous votre avis, c est du bon cinéma.
BÂTIMENT 5, le deuxième long métrage tant attendu du réalisateur césarisé Ladj Ly, fondateur des écoles Kourtrajmé, est disponible au cinéma. Je n’ai qu’une chose à dire « FONCEZ ». Le film est d’utilité publique.
Après quatre ans, Ladj Ly nous fait l’honneur de revenir avec un film coup de poing, social et politique qui met en lumière la problématique du mal logement en banlieue parisienne, avec pour protagoniste principale, la magnifique Anta Diaw qui crève l’écran par sa beauté et son jeu époustouflant. À ses côtés Aristote Luyindula, Alexis Manenti, Jeanne Balibar, Steve Tientcheu, Nabil Akti et bien d’autres…tous excellents.
BÂTIMENT 5 est une claque visuelle. Une fois de plus Ladj Ly nous prouve qu’il sait à travers sa mise en scène, magnifier Clichy-Montfermeil d’une main de maître, lieu où il a grandi.
De nouveau, Ladj Ly décide de nous prendre aux tripes par une écriture aiguisée où l’émotion est à son paroxysme, où le jeu des acteurs/trices est bien dosé, assez pour être triste, pour avoir peur ou encore être révolté, tout cela accompagné de la mélodieuse bande sonore composée par Kim Chapiron. Toujours en essayant d’être le plus neutre possible.
Pour finir, la fin de BÂTIMENT 5, ne laisse personne indifférent.e.
Allez en salle découvrir le film, sans plus tarder.
Loin des stéréotypes sur les quartiers populaires, le réalisateur signe un film engagé sur le mal logement et sur une police prise entre deux feux d'un côté une classe dominante et de l'autre des sans voix.
Un film qui succite un ennui profond. Beaucoup de comédiens amateurs qui auraient pu donner un peu de réalisme au film mais cela sonne faux. Le thème abordé est vu d'un seul prisme et rend le tout manichéen. A éviter.
Ce film est très intéressant il met mal à l'aise il choque la vie existe à tout moment les familles existent elles vivent de débrouille, la vie dans la cité est palpitante.un bouillon de cultures différentes qui vivent ensemble et se complètent les politiques qui veulent s accaparer les lauriers de sauveur d humanité doivent composer avec les habitants qui se connaissent et qui sont plein d idées c'est ça que le réalisateur montre dans son film sans jamais tomber dans les clichés, il montre la lutte pour exister pour vivre dignement.allez voir le jeu des acteurs et l intensité des dialogues
Très beau film nécessaire qui aborde des sujets durs mais réels trop peu évoqués dans le cinéma français. Ladj Ly confirme après "Les Misérables" sa place parmi les plus grands réalisateurs français.
Visuellement c'est toujours aussi magistral, Ladj Ly filme la banlieue comme personne et une certaine véracité se dégage des images. Mais le film n'est pas pour autant réussi. Il ne raconte finalement pas grand chose. Les relations entre les personnages sont souvent grand guignolesque et les situations clichés. On ne croit finalement quasiment à rien, même la scène finale censée être l'apothéose du film n'apporte pas grand chose. Par contre, Ly montre bien dans ce film une réalité, celle des relations qui se tendent dangereusement à cause de personnes qui privilégient leurs propres intérêts. Un film inégal donc.
Un très beau film coup de poing, qui soulève de vraies problématiques et qui est nécessaire pour ré-humaniser le débat public. Ladj Ly donne une vision en dehors de tous les clichés, avec une belle mise en scène et des acteur.trice.s de talent. Je recommande, à aller voir absolument !
Le film se veut un drame social, mais il manque de finesse et de nuance. Les dialogues sont creux, les situations sont prévisibles, les acteurs sont peu convaincants. On ne s'attache pas aux personnages, qui sont réduits à des symboles.
Autant "Les Misérables" était un véritable film social (Presque coup de poing/Sujet maitrisé) autant la on reste sur notre faim. Un second film décousu (Il ne suffit pas de reprendre une bonne partie de l'équipe du premier Opus et de rajouter une petite pépite (Anta Diaw) et un lieu identique (Cité des Bosquets)), bourré de cliché (Le maire (un brin réac) parachuté et dépassé par l'ampleur du job et se faisant manipuler par une équipe politique plus ou moins corrompue, des conditions de vies a la limite de l'insalubrité, des jeunes qui s'embrasent, services sociaux agonisant malgré le chantage aux subventions, appartement servant de restaurant clandestins, des expulsions la veille de Noël etc....) mais la mayonnaise ne prend pas. Si la révolte dans "les misérables" était spontanée là tout est programmé et pressenti....aucune puissance, aucune réponse proposée si ce n'est l'idée de la jeune Haby de se présenter aux élections municipale....Bref un deuxième volet de servant pas grand chose même si la mise en image et les vues doriques des barres d'immeubles est elle remarquable....Dommage...on attend le troisième volet avec une pointe de curiosité et d'inquiétude mêlés.