Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Un grand film qui bat à plate couture tous les poncifs sur le sujet et les mauvais procès à l’encontre des habitants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Catherine Balle
Un drame puissant sur le mal-logement, la colère et l’engagement politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
La force du récit vient du côté profondément réaliste d’une œuvre plus ample que Les Misérables, où de vrais habitants de Montfermeil ont accepté de faire de la figuration.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Après avoir visionné "Bâtiment 5", on attend avec impatience le dernier volet de la trilogie très personnelle du cinéaste consacrée à la banlieue.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Quatre ans après Les Misérables, déflagration au succès international, Bâtiment 5 secoue, interpelle, interroge.
Elle
par Françoise Delbecq
Un saisissant tableau des fractures sociales.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Les Misérables" avait révélé un cinéaste, "Bâtiment 5" le confirme, Ladj Ly sait raconter et mettre en scène des histoires. Il puise dans son vécu dans les banlieues une dramaturgie quasi-antique, en la filmant à l’américaine, avec dynamisme et relances.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le cinéaste fait saisir l’urgence à se dresser contre ces inégalités révoltantes et injustices criantes. C’est sa grande force politique : enrager et engager.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Après avoir évoqué les dérives de la BAC (Les Misérables), Ladj Ly s’attaque ici aux politiques crapuleuses du logement. Inégal, mais pourvu d’un scénario et d’une mise en scène efficaces, le film confirme la place à part de l'auteur dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Avec autant de colère froide que de minutie, le film décrit implacablement le rapport de force que met en place un ordre institutionnalisé qui, par sa nature même, voudra toujours préserver les intérêts d’une classe dominante au détriment des dominé·es. Parce qu’elle est froidement structurelle, l’analyse du film s’avère ainsi aussi percutante que radicale dans sa visée politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Oui, Ladj Ly a l'âme d'un pamphlétaire. Mais il a grandi, et s'intéresse désormais plus aux zones ambiguës de la politique.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par T.C.
Moins spectaculaire que Les Misérables, le film se révèle tout aussi politique mais bien plus nuancé.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Le réalisateur flirte avec le manichéisme mais parvient à ne jamais y tomber. Et il sait remuer les consciences dans ce nouveau film coup de poing.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Entre la scène d’ouverture, bouleversante, où des hommes essaient de descendre un cercueil dans l’escalier trop étroit du bâtiment 5, et l’épilogue, exagérément dramatique, Ladj Ly filme, sans manichéisme, la détresse des mal-logés délogés et la sauvagerie de la ré-urbanisation des cités. Comme Haby, il vigile. Caméra à l’épaule, et au cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un brin démonstratif, ce manifeste éminemment politique frappe droit au cœur par les injustices révoltantes qu’il dénonce.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Sud Ouest
par Julien Rousset
Ladj Ly réussit un deuxième film sobre, grave, marquant, attentif à la complexité des situations, hélas desservi par un dénouement peu crédible.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jérémie Couston
Pour autant, Ladj Ly décrit avec une précision documentaire la corrélation de la dégradation des grands ensembles où sont entassées des familles d’immigrés depuis les années 1960 avec la dégradation des relations entre cette population précarisée et les représentants de l’État (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Le dénouement vise une note mythologique s’emboîtant mal avec l’ambition par ailleurs anthropologique du film.
Critikat.com
par Bastien Gens
De son élan mélancolique, qui d'abord intrigue, le film ne tire toutefois qu’un récit branlant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Après Les Misérables, le réalisateur poursuit son auscultation de la banlieue à travers le quotidien des habitants d’une barre d’immeuble dégradée au début des années 2000, mais son film pâtit d’un scénario un peu trop manichéen.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Chez les jeunes, la colère monte, nourrie par des années d’humiliations. (...). Ladj Ly donne le change avec un personnage féminin, Haby, qui tente la voix de la raison. Elle se présente à la mairie. Mais ne nous donne pas l’occasion d’y croire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par V.B
Mais le bâtiment 5 n'est pas un numéro, il y a des êtres humains. Mieux dessinés, ces portraits auraient fait résonner avec d'autant plus de force cette charge politique et sociale d'une banlieue en pleine mutation. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Cette approche en hauteur, globalisante, livre une vue panoramique qui a pour limite et défaut de survoler les nombreux éléments qui la composent. A commencer par les personnages, qui se voient réduits à la fonction et au profil qui leur sont assignés au départ.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Valérie Marin La Meslée
Ladj Ly n'a pas réussi ce film, même si les lignes architecturales, les espaces sont visiblement dans son œil. Sur le fond, on le sent gonflé de tout ce qu'il a voulu raconter de sa biographie, mais il hésite entre le documentariste qu'il a été et le cinéaste talentueux que le précédent film a révélé.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses faiblesses et redondances, « Bâtiment 5 » retient néanmoins l'attention par la seule force de son sujet et par les réalités funestes qu'il décrit.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
On regrette que le film s’enferre dans un programme si brutalement désespéré, même pas mené à sa conclusion logique – hanekienne, donc nihiliste et impitoyable. [...] [Ladj Ly] sauve son film de quelque chose de détestable, mais aboutit à un entre-deux qui frustre d’être si dur à lire, ressentir, même éprouver.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Tout mène cette charge, certes nourrie d'une histoire personnelle et plutôt bien filmée, dans l'impasse d'un cinéma volontairement trop binaire pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gael Golhen
Didactique (le rôle de Haby), artificiel dans l’enchaînement des situations et caricatural dans le jeu des comédiens comme dans la caractérisation des personnages (notamment celui de Manenti), Bâtiment 5 n’est plus mené que par de bons sentiments, l’agit-prop et l’envie de régler des comptes. C’est légitime, mais tout cela rend la fiction manichéenne et inefficace.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le mal-logement, les discriminations constituent évidemment des enjeux politiques majeurs qui ont toute leur place au cinéma, le traitement manichéen et radical du sujet par Ladj Ly laisse quelque peu le spectateur sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Un grand film qui bat à plate couture tous les poncifs sur le sujet et les mauvais procès à l’encontre des habitants.
Le Parisien
Un drame puissant sur le mal-logement, la colère et l’engagement politique.
20 Minutes
La force du récit vient du côté profondément réaliste d’une œuvre plus ample que Les Misérables, où de vrais habitants de Montfermeil ont accepté de faire de la figuration.
CNews
Après avoir visionné "Bâtiment 5", on attend avec impatience le dernier volet de la trilogie très personnelle du cinéaste consacrée à la banlieue.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Quatre ans après Les Misérables, déflagration au succès international, Bâtiment 5 secoue, interpelle, interroge.
Elle
Un saisissant tableau des fractures sociales.
Franceinfo Culture
"Les Misérables" avait révélé un cinéaste, "Bâtiment 5" le confirme, Ladj Ly sait raconter et mettre en scène des histoires. Il puise dans son vécu dans les banlieues une dramaturgie quasi-antique, en la filmant à l’américaine, avec dynamisme et relances.
Le Dauphiné Libéré
Le cinéaste fait saisir l’urgence à se dresser contre ces inégalités révoltantes et injustices criantes. C’est sa grande force politique : enrager et engager.
Les Fiches du Cinéma
Après avoir évoqué les dérives de la BAC (Les Misérables), Ladj Ly s’attaque ici aux politiques crapuleuses du logement. Inégal, mais pourvu d’un scénario et d’une mise en scène efficaces, le film confirme la place à part de l'auteur dans le cinéma français.
Les Inrockuptibles
Avec autant de colère froide que de minutie, le film décrit implacablement le rapport de force que met en place un ordre institutionnalisé qui, par sa nature même, voudra toujours préserver les intérêts d’une classe dominante au détriment des dominé·es. Parce qu’elle est froidement structurelle, l’analyse du film s’avère ainsi aussi percutante que radicale dans sa visée politique.
Marie Claire
Oui, Ladj Ly a l'âme d'un pamphlétaire. Mais il a grandi, et s'intéresse désormais plus aux zones ambiguës de la politique.
Ouest France
Moins spectaculaire que Les Misérables, le film se révèle tout aussi politique mais bien plus nuancé.
Télé 2 semaines
Le réalisateur flirte avec le manichéisme mais parvient à ne jamais y tomber. Et il sait remuer les consciences dans ce nouveau film coup de poing.
L'Obs
Entre la scène d’ouverture, bouleversante, où des hommes essaient de descendre un cercueil dans l’escalier trop étroit du bâtiment 5, et l’épilogue, exagérément dramatique, Ladj Ly filme, sans manichéisme, la détresse des mal-logés délogés et la sauvagerie de la ré-urbanisation des cités. Comme Haby, il vigile. Caméra à l’épaule, et au cœur.
Le Journal du Dimanche
Un brin démonstratif, ce manifeste éminemment politique frappe droit au cœur par les injustices révoltantes qu’il dénonce.
Sud Ouest
Ladj Ly réussit un deuxième film sobre, grave, marquant, attentif à la complexité des situations, hélas desservi par un dénouement peu crédible.
Télérama
Pour autant, Ladj Ly décrit avec une précision documentaire la corrélation de la dégradation des grands ensembles où sont entassées des familles d’immigrés depuis les années 1960 avec la dégradation des relations entre cette population précarisée et les représentants de l’État (...).
Cahiers du Cinéma
Le dénouement vise une note mythologique s’emboîtant mal avec l’ambition par ailleurs anthropologique du film.
Critikat.com
De son élan mélancolique, qui d'abord intrigue, le film ne tire toutefois qu’un récit branlant.
La Croix
Après Les Misérables, le réalisateur poursuit son auscultation de la banlieue à travers le quotidien des habitants d’une barre d’immeuble dégradée au début des années 2000, mais son film pâtit d’un scénario un peu trop manichéen.
La Voix du Nord
Chez les jeunes, la colère monte, nourrie par des années d’humiliations. (...). Ladj Ly donne le change avec un personnage féminin, Haby, qui tente la voix de la raison. Elle se présente à la mairie. Mais ne nous donne pas l’occasion d’y croire.
Le Figaro
Mais le bâtiment 5 n'est pas un numéro, il y a des êtres humains. Mieux dessinés, ces portraits auraient fait résonner avec d'autant plus de force cette charge politique et sociale d'une banlieue en pleine mutation. Dommage.
Le Monde
Cette approche en hauteur, globalisante, livre une vue panoramique qui a pour limite et défaut de survoler les nombreux éléments qui la composent. A commencer par les personnages, qui se voient réduits à la fonction et au profil qui leur sont assignés au départ.
Le Point
Ladj Ly n'a pas réussi ce film, même si les lignes architecturales, les espaces sont visiblement dans son œil. Sur le fond, on le sent gonflé de tout ce qu'il a voulu raconter de sa biographie, mais il hésite entre le documentariste qu'il a été et le cinéaste talentueux que le précédent film a révélé.
Les Echos
Malgré ses faiblesses et redondances, « Bâtiment 5 » retient néanmoins l'attention par la seule force de son sujet et par les réalités funestes qu'il décrit.
Libération
On regrette que le film s’enferre dans un programme si brutalement désespéré, même pas mené à sa conclusion logique – hanekienne, donc nihiliste et impitoyable. [...] [Ladj Ly] sauve son film de quelque chose de détestable, mais aboutit à un entre-deux qui frustre d’être si dur à lire, ressentir, même éprouver.
Paris Match
Tout mène cette charge, certes nourrie d'une histoire personnelle et plutôt bien filmée, dans l'impasse d'un cinéma volontairement trop binaire pour convaincre.
Première
Didactique (le rôle de Haby), artificiel dans l’enchaînement des situations et caricatural dans le jeu des comédiens comme dans la caractérisation des personnages (notamment celui de Manenti), Bâtiment 5 n’est plus mené que par de bons sentiments, l’agit-prop et l’envie de régler des comptes. C’est légitime, mais tout cela rend la fiction manichéenne et inefficace.
aVoir-aLire.com
Si le mal-logement, les discriminations constituent évidemment des enjeux politiques majeurs qui ont toute leur place au cinéma, le traitement manichéen et radical du sujet par Ladj Ly laisse quelque peu le spectateur sur sa faim.