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Wes L.
6 critiques
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0,5
Publiée le 5 novembre 2022
Une bouse immonde amazon. Histoire incompréhensible, jeux d'acteurs mauvais. Histoire mauvaise. 12 millions de budget ? Marchal doit être bien à l'heure qu'il est ^^
13 713 abonnés
12 426 critiques
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1,5
Publiée le 8 novembre 2022
Sorti directement sur Amazon Prime Video, ce nouveau polar de Olivier Marchal n'atteint pas le but dèsirè malgrè ses bonnes intentions de dèpart et l'interprètation convaincante de Nicolas Cazalè en infiltrè! L'action, la violence souvent gratuite, les règlements de comptes entre flics et voyous, les images lèchèes donnent dans la routine d'un Marchal de facture conventionnelle et tèlèvisuelle! Même si l'originalitè et l'incohèrence ne sont pas le fort de "Overdose" (2022), on arrive quand même à ne pas trop s'emmerder entre l'Occitanie et l'Espagne! Mais est-ce bien suffisant pour sauver ce film banal et très obèissant vis-à-vis des règles du genre et du grand banditisme ? La rèponse est NON, c'est lourdement dialoguè avec de gros clichès à la pelle! On devine même, en filigrane, la mèmoire du cabotin Claude Corti à laquelle Philippe Corticchiato (un autre Corti) tente de lui ressembler durant la sèquence du restaurant! Et l'assurance pour le père Marchal de rentabiliser via la plateforme de streaming un long-mètrage habituel et finalement dècevant...
Encore du Marchal... Pas beson de citer le titre, c'est du Marchal... On change le titre et hop ! Un nouveau film ! D'ailleur sle est tellement bon le bougre qu'il ne sort plus au cinéma mais chez Amazon, producteur de aubes en série ! Toujours noir, toujours violent, toujours la même atmosphère... Même à très gros budget, le mec nous fait du cheap... Mauvais jeu d'acteur, l'action, les coups, la violence... tout ça ne sert que de prétexte à un scenario dont Marchal a le secret... Pardon, le copié-collé ! Vous les retirez, il y a un vide sidéral. Je veux bien qu'il est un style (lol lol lol), mais là, c'est la fainéantise de la créativité... sans oublier qu'après sa femme qu'il nous refourguait dans chaque film, là, on a droit à la fille... Chez les Marchal, on n'a pas de talent, on fait de la daube et on encaisse... Combien cette fois ? 12 millions ? Et combien d'argent public dépensé en subvention ? Quelle honte !
allociné me recommendait le fil à 17/100 et je comprend pourquoi. Hormis les fans de violence plus ou moins gratuite, les pseudos gangsters romantique ou fan d'histoires sordide sur fond (mais faut bien chercher) de vérité, y'a quasi rien à voir. Histoire tortueuse, complexe pour être complexe et scènes de pan pan vroom vroom, je n'ai absolument rien appris de ce film. Pour continuer dans les postures et grosses ficelles de mafieux, autant voir le film truands, 36 quai des orfèvres ou Pigalle la nuit, au moins il se passera quelque chose à l'écran. Que le spectateur ne soit pas dupe, il s'agit bien ici de gros clichés bien balourd, tu sors la truelle et tu en fous partout, pour la subtilité faut chercher ailleurs (autant revoir Heat ou Mafia Blues).
On a l'impression que la police n'est composée que d'officiers, la tenue étant composée de larbins, on ne croit pas une seconde que des caïds du Go Fats laisseraient une junkie défoncée participée à une expédition si cruciale, tandis que la discrétion ne semble pas leur fort, le fait que les caïds ne trouvent pas louches quand un de leurs sbires insistent pour en savoir trop ?! Le pire arrive avec cette exécution sommaire d'un flic devant plusieurs témoins sans qu'il y ait aucune conséquence (?!?!). Bref, ce film reprend toutes la tares du réalisateur-scénariste Olivier Marchal jusqu'à reprendre des passages parfois jusqu'à le copié-collé notamment repris sur son dernier film "Bronx". Tous les acteurs ne sont pas très bons, entre autre Zoé Marchal invisible, où Assaâd Bouab qui ne dégage aucune émotion alors qu'il a 2-3 scènes intimistes importantes. Quelques séquences restent efficaces, surtout dans l'action pure le reste étant souvent anecdotiques. Olivier Marchal tourne pour lui, c'est son plus grand défaut. Dommage une fois de plus... Site : Selenie
Peut être qu’il s’agit d’un énièmes film sur le trafic de stupéfiants mais il est réalisé avec classe, un casting au top. Une intrigue qui change, ce n’est pas juste un go fast mais plusieurs affaires similaires et c’est très propre Olivier Marchal et sont casting méritent un 5 étoiles. Après Bac nord celui là est parfait
Déçu comme beaucoup, moi qui suis plutôt fan d'Olivier Marchal.....pas créatif, pas crédible, scénario vu et revu mille fois, acteurs qui surjouent, noirceur forcée. Sans oublier les doublages pas toujours bons (merci Amazon) et une bande son toute pourrie. OM ne se renouvelle pas et c'est bien dommage, il nous avait habitués à bien mieux.
Absolument nul, navet mélange de sexe putassier et violence débile, gratuite et uniquement pour le plaisir du réalisateur il semblerait...il serait temps d'évoluer un peu de ces clichés vus et revus....
Après OM chez les Marseillers (Bronx), voici OM dans un mix de Narco et Razzia sur la Chnouf. On est loin de ce qui l'avait fait émergé dans Gangsters et confirmé dans le mythique 36. Et pourtant, Dieu sait si j'avais adoré le style, la force, la singularité et l'immense talent du bonhomme. C'est répetitif, forcé, systématisé depuis maintenant plusieurs films. Une maitrise toujours, une efficacité mais un fond de commerce. Le grand vide surtout de quelqu'un qui semble ne plus rien avoir à dire, hormis ressasser ses nevroses, avec dans ce film-ci, outre une violence de plus en plus assumée, complaisante, facile (pour combler le vide ?), un penchant vers le glauque. J'ai laissé glisser plusieurs fois, mais je me lasse. C'est triste autant de talent gâché... Un petit miracle par contre, Sofia Essaidi, qui illumine d'un soleil noir, ce qui serait sans elle, un simple nanard.
On le pressentait déjà avec le pas terrible du tout « Bronx » pour Netflix et c’est validé avec ce sympathique et très bourrin « Overdose » dévolu à la concurrence représentée par Prime Vidéo: Olivier Marchal a délaissé ses hautes exigences cinématographiques, et donc artistiques, en signant ce qui s’assimile plus à des produits pour des plateformes de streaming. Lui qui avait réalisé de très grands films policiers comme « 36 quai des Orfèvres » ou « Les Lyonnais » s’était d’ailleurs un peu perdu récemment avec un film moins réussi comme « Carbone ». Certainement une envie de se laisser aller, de subir moins de pression et de confectionner des longs-métrages moins ambitieux et exigeants mais plus permissifs. Ou alors c’est une perte d’inspiration et/ou de talent qui se matérialise donc avec ce passage d’un cinéma ample et populaire de haut niveau à des séries B certes distrayantes mais assurément bêtes et méchantes.
Si on l’inscrit dans cette catégorie (celles des séries B), « Overdose » est plutôt une réussite et il fait passer un bon moment. On pourrait même dire que c’est une série B de luxe même si Marchal passe de castings de prestige comme Depardieu, Auteuil ou Reno à des acteurs de seconde zone qui font plus (Sofia Essaïdi, Nicolas Cazalé, ...) ou moins (Philippe Corti, Kool Shen, ...) bien l’affaire. Le budget est là et l’intrigue, si elle ne révolutionne pas le genre, se suit avec plaisir. Et de ses excès un peu fous à son réalisme brut et brutal, il est loin du navet que certains laissent à penser. On regrette des scènes d’action trop rares et pas toujours très réussies (les poursuites en bagnole sont très molles et mal montées) et une intrigue secondaire qui rejoint la principale de manière quelque peu forcée et capillotractée mais, on l’accorde, la rend un peu moins banale et mystérieuse. Et puis il y a ces clichés, virils ou vulgaires, propres aux films de gangsters fantasmés qui sont parfois un peu poussifs ici. Mais Marchal clame que c’est la réalité, alors on le croit.
« Overdose » est en revanche fascinant dans sa violence sèche, extrême et sans concession. Son réalisme pur et brut il le tient là, en n’épargnant rien ni personne (ou presque). Le long-métrage d’Olivier Marchal dure tout de même près de deux heures que l’on ne voit pas passer, les répliques vulgaires mais indiquées fusent, se substituant aux coups de poings et aux coups de feu dans un vacarme incessant. Il y a peut-être quelques invraisemblances narratives (dont l’évasion d’un des brigand) mais pour ce qui est de la logistique, du langage policier et des opérations, on sait très bien que les films du cinéaste (ancien flic) sont d’une véracité sans faille. On alterne donc le très bien et le très mauvais dans un grand barnum bruyant, parfois agaçant, mais qui va au bout de ce qu’il est : une série B testostéronée et mal élevée parfaite pour un samedi soir autour d’une bière.
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Avec son lot de rebondissements et une posture rigide autour de l'action qui prend d'assaut une rigueur administrative déjà lointaine, Olivier Marchal fleurte avec le cinéma de genre, sans vraiment surprendre, avec des petits récits et des petites affaires de GoFast. Les récits autour des hommes et de leurs fêlures au sein du milieu, du bon comme du mauvais côté de la barrière sont délaissés. Il reste pourtant un homme qui se dresse autour des autres, Alberto Ammann, débarqué de Narcos et parfaitement sublimé. Au milieu d'une multitude de personnages et de noms qui nous sont balancés aux oreilles, on lui préfère les fusillades efficaces. Et c'est ce qu'on découvre depuis peu de Marchal. Il en a sans doutes mare d'expliquer son ancien boulot. Il préfère s'amuser.
Olivier Marchall fait toujours un peu le même genre de film : ça reste couillu, efficace, distrayant, même si la subtilité tant du scénario que des personnages laisse à désirer. L'amourette n'apporte strictement rien et quelques situations sont un peu tirées par les cheveux (la camé qui participe au go fast, le convoi policier où la sécurité est plus que légère, la voiture de police en patrouille qui repère le scooter avec les gyrophares allumés,......)
Le positif : L'histoire déjà plusieurs fois mise à l'écran aurait pu être intéressante. Les acteurs ne sont globalement pas mauvais, Kool Shen est très crédible dans un jeu sobre, Simon Abkarian est égal à lui-même (très bon), Sofia Essaïdi, Asaad Bouab et Nassim Lyes s'en sort plus que bien.
Le reste : Scénario mauvais, absurde et cumulant les invraisemblances pour coller à une trame débile. Violence et sexe totalement gratuit et inutile. Morale type justicier de New-York mais on est en 2022. Niveau du film : en dessous de Z
Bref, OM est complètement à coté. OM se targue d'attendre l'avis de policier sur ces films pour avoir un jugement réaliste, si c'est un film comique, il y a des chances qu'ils vont le trouver bon.
Un conseil : Passez votre chemin car ce film est une daube comme on voit rarement. Je ne fais que très rarement de critique mais là c'est tellement nul qu'il faut le dénoncer.
Bien à vous et pour ceux qui ne les ont pas encore vu, dans le genre polar, je vous conseille "le prophète", "les misérables" (version 2019) ou "Roubaix une lumière".
Le meilleur dans ce film c'est ..la bande annonce.. On croit que ça va être bien... Ben...non. ça m'apprendra à tenter un "polar" français ...Les dialogues sonnent faux , avec ce p.... d'accent des banlieues, quand on comprend les répliques ... Faudrait que les prétendus acteurs apprennent à articuler et ne pas réciter des phrases , trop longues et alambiquées au demeurant. Le gars est allé filmer sur les lieux de l'action, j'ai reconnu la préfecture de Perpignan , ça c'est ok , mais tout le reste manque de brio , pas d'étincelle pour allumer une flamme chez le spectateur..