Gouttes d'eau sur pierres brûlantes : Critique presse
Gouttes d'eau sur pierres brûlantes
Note moyenne
3,6
17 titres de presse
Ciné Live
Cplanet.com
Fluctuat.net
L'Evénement
Le Monde
Le Point
Lenouveaucinema.com
Positif
Première
Télérama
Chronic'art.com
L'Humanité
L'Obs
Le Parisien
Libération
Studio Magazine
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
par Jean-Luc Brunet
(...) le réalisateur signe un film, en forme de huis - clos, bien plus personnel qu'il n'y paraît, en assumant parfaitement l'essence théâtrale du texte. Il a su, malgré tout, (...) nous offrir une mise en scène étonnante (...)
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Fluctuat.net
par Samir Ardjoum
(...) il (Ozon, Ndlr) renoue avec les artifices fassbindériens qui permettent l'intrusion de la vérité des personnages. (...) Ozon a suivi ce principe et sa mise en scène est là pour le confirmer.
L'Evénement
par Olivier Nicklaus
(...) tout concourt à rappeler les grands films des années 70 du cinéaste allemand. Mais chez Fassbinder, la cruauté était compensée par une humanité généreuse. Chez Ozon, elle tombe comme un couperet.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Gouttes d'eau sur pierres brûlantes est sur ce point la réponse la plus satisfaisante apportée à ce jour par le cinéaste : il filme contre le jeune cinéma français, contre son inclination au naturalisme, au marivaudage, à la finesse psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe de Tonnac
Rarement on a dit, avec tant d'amertume, tant de retenue aussi, l'inconstance et l'inconsistance du désir, sa gratuité singulière dans un monde où nos peurs nous obligent à tous compter (...)
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Positif
par Claire Vassé
Respectant l'origine de son projet, François Ozon joue jusqu'au bout le jeu du huis clos, accentuant les effets d'écho entre les actes par récurrence de morceaux musicaux (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
François Ozon (...) adopte le "style Fassbinder", singulier cocktail de raideur théorique et de burlesque inquiétant. Si le disciple ne parvient pas à égaler le maître, il demeure que ce petit film détonne dans le contexte du "jeune" cinéma hexagonal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marine Landrot
Si cette fantaisie fascine autant, c'est qu'elle recèle une terrible angoisse. Angoisse de passer à côté de la vie (...). Angoisse de mourir, alors qu'il serait tellement bon de rester au stade de l'enfance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Elysabeth François
L'alchimie ne s'étend malheureusement pas à l'ensemble du film et, au final, Gouttes d'eau sur pierres brûlantes reste coincé à mi-chemin entre la pantalonnade gay et la tragédie cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Michel Guilloux
(...) immaturité de l'oeuvre d'origine ? - ce Gouttes d'eau sur pierre brûlante laisse un goût d'inachevé, d'inabouti voire de torsion.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le résultat laisse perplexe, le travail de mise en scène paraissant souligner le caractère très convenu de certaines notations psychologiques et ne provoquant que rarement les décalages attendus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) Ozon (...) atteint ici une forme surprenante de légèreté. Il l'a doit notamment à l'inattendu Bernard Giraudeau qui se révèle hilarant dans ce registre toutefois largement déconseillé aux âmes pudiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Séguret
(...) ce qui manque le plus à ce film souvent charmant, c'est ce que promet son titre chaud et froid, solide et liquide: l'incarnation, la réalité palpable des éléments, la concrétude des faits.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
(...) ce petit théâtre de marionnettes n'amuse que celui qui y joue. Il arrache deux ou trois sourires (...) et le triple ou le quadruple de bâillements. A ce niveau de gratuité, d'artificialité et de redondance, il n'y a plus qu'à fermer les yeux en attendant que ça se passe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
(...) le réalisateur signe un film, en forme de huis - clos, bien plus personnel qu'il n'y paraît, en assumant parfaitement l'essence théâtrale du texte. Il a su, malgré tout, (...) nous offrir une mise en scène étonnante (...)
Fluctuat.net
(...) il (Ozon, Ndlr) renoue avec les artifices fassbindériens qui permettent l'intrusion de la vérité des personnages. (...) Ozon a suivi ce principe et sa mise en scène est là pour le confirmer.
L'Evénement
(...) tout concourt à rappeler les grands films des années 70 du cinéaste allemand. Mais chez Fassbinder, la cruauté était compensée par une humanité généreuse. Chez Ozon, elle tombe comme un couperet.
Le Monde
Gouttes d'eau sur pierres brûlantes est sur ce point la réponse la plus satisfaisante apportée à ce jour par le cinéaste : il filme contre le jeune cinéma français, contre son inclination au naturalisme, au marivaudage, à la finesse psychologique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Lenouveaucinema.com
Rarement on a dit, avec tant d'amertume, tant de retenue aussi, l'inconstance et l'inconsistance du désir, sa gratuité singulière dans un monde où nos peurs nous obligent à tous compter (...)
Positif
Respectant l'origine de son projet, François Ozon joue jusqu'au bout le jeu du huis clos, accentuant les effets d'écho entre les actes par récurrence de morceaux musicaux (...)
Première
François Ozon (...) adopte le "style Fassbinder", singulier cocktail de raideur théorique et de burlesque inquiétant. Si le disciple ne parvient pas à égaler le maître, il demeure que ce petit film détonne dans le contexte du "jeune" cinéma hexagonal.
Télérama
Si cette fantaisie fascine autant, c'est qu'elle recèle une terrible angoisse. Angoisse de passer à côté de la vie (...). Angoisse de mourir, alors qu'il serait tellement bon de rester au stade de l'enfance.
Chronic'art.com
L'alchimie ne s'étend malheureusement pas à l'ensemble du film et, au final, Gouttes d'eau sur pierres brûlantes reste coincé à mi-chemin entre la pantalonnade gay et la tragédie cruelle.
L'Humanité
(...) immaturité de l'oeuvre d'origine ? - ce Gouttes d'eau sur pierre brûlante laisse un goût d'inachevé, d'inabouti voire de torsion.
L'Obs
Le résultat laisse perplexe, le travail de mise en scène paraissant souligner le caractère très convenu de certaines notations psychologiques et ne provoquant que rarement les décalages attendus.
Le Parisien
(...) Ozon (...) atteint ici une forme surprenante de légèreté. Il l'a doit notamment à l'inattendu Bernard Giraudeau qui se révèle hilarant dans ce registre toutefois largement déconseillé aux âmes pudiques.
Libération
(...) ce qui manque le plus à ce film souvent charmant, c'est ce que promet son titre chaud et froid, solide et liquide: l'incarnation, la réalité palpable des éléments, la concrétude des faits.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) ce petit théâtre de marionnettes n'amuse que celui qui y joue. Il arrache deux ou trois sourires (...) et le triple ou le quadruple de bâillements. A ce niveau de gratuité, d'artificialité et de redondance, il n'y a plus qu'à fermer les yeux en attendant que ça se passe.