Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Libération
par Nathalie Dray
Au lyrisme poétique se conjugue l’impressionnante virtuosité du montage tout en rimes visuelles [...] ou en échappées abstraites [...], avec en point d’orgue le poison de la suspicion qui s’insinue dans le groupe comme un écho à la paranoïa du joug soviétique qui sévissait alors.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par La Rédaction
Nous étions jeunes combine harmonieusement les modèles du film noir, du mélodrame et du film de guerre, passant d’une mise en scène languienne du complot à un enregistrement néoréaliste des corps et des visages.
Critikat.com
par La Rédaction
Nous étions jeunes (1961), tourné par Zhelyaskova quatre ans plus tard [que La Vie s'écoule silencieusement] avec la même équipe, revisite la lutte partisane sur un mode plus ostensiblement célébratoire (quoique les querelles intestines menacent à nouveau la cohésion du groupe), mais sous une forme plus énergique, éclatée, rappelant tantôt les nouvelles vagues européennes, tantôt des influences soviétiques.
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
Un film manifeste donc pour une cinéaste souvent entravée dans son travail, censurée et inquiétée. Nous étions jeunes était donc l’un des sommets cinématographiques de la cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par La Rédaction
Débordant d’élan poétique et d’invention formelle, Nous étions jeunes évoque le cinéma de Mikhail Kalatozov, l’emphase en moins.
Le Monde
par La Rédaction
Quatre films splendides de Binka Jeliazkova (...) Nous étions jeunes (1961) évoque un autre fait de résistance : les activités d’une modeste cellule clandestine dans la Sofia occupée de la seconde guerre mondiale, marquée par l’arrivée de la jeune Veska (merveilleuse Rumyana Karabelova) parmi des garçons enthousiastes.
Télérama
par La Rédaction
Sa caméra peut embrasser dans un même travelling des résistants cachés dans deux lieux différents, puis les réunir en captant seulement des halos de lumière qui se superposent… Binka Jeliazkova réinvente l’espace, se joue des règles, n’en suivant qu’une : faire confiance à la puissance de l’art et du cinéma pour enchanter le réel.
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Malgré un esthétisme un peu trop appuyé, le charme du noir et blanc et celui des jeunes Bulgares incarnant de vrais personnages en construction rendent le film attachant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
Au lyrisme poétique se conjugue l’impressionnante virtuosité du montage tout en rimes visuelles [...] ou en échappées abstraites [...], avec en point d’orgue le poison de la suspicion qui s’insinue dans le groupe comme un écho à la paranoïa du joug soviétique qui sévissait alors.
Cahiers du Cinéma
Nous étions jeunes combine harmonieusement les modèles du film noir, du mélodrame et du film de guerre, passant d’une mise en scène languienne du complot à un enregistrement néoréaliste des corps et des visages.
Critikat.com
Nous étions jeunes (1961), tourné par Zhelyaskova quatre ans plus tard [que La Vie s'écoule silencieusement] avec la même équipe, revisite la lutte partisane sur un mode plus ostensiblement célébratoire (quoique les querelles intestines menacent à nouveau la cohésion du groupe), mais sous une forme plus énergique, éclatée, rappelant tantôt les nouvelles vagues européennes, tantôt des influences soviétiques.
Culturopoing.com
Un film manifeste donc pour une cinéaste souvent entravée dans son travail, censurée et inquiétée. Nous étions jeunes était donc l’un des sommets cinématographiques de la cinéaste.
L'Obs
Débordant d’élan poétique et d’invention formelle, Nous étions jeunes évoque le cinéma de Mikhail Kalatozov, l’emphase en moins.
Le Monde
Quatre films splendides de Binka Jeliazkova (...) Nous étions jeunes (1961) évoque un autre fait de résistance : les activités d’une modeste cellule clandestine dans la Sofia occupée de la seconde guerre mondiale, marquée par l’arrivée de la jeune Veska (merveilleuse Rumyana Karabelova) parmi des garçons enthousiastes.
Télérama
Sa caméra peut embrasser dans un même travelling des résistants cachés dans deux lieux différents, puis les réunir en captant seulement des halos de lumière qui se superposent… Binka Jeliazkova réinvente l’espace, se joue des règles, n’en suivant qu’une : faire confiance à la puissance de l’art et du cinéma pour enchanter le réel.
Les Fiches du Cinéma
Malgré un esthétisme un peu trop appuyé, le charme du noir et blanc et celui des jeunes Bulgares incarnant de vrais personnages en construction rendent le film attachant.