Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un superbe drame sentimental à l'image envoûtante.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le portrait juste et maîtrisé d'une jeune femme qui tente de se libérer de ce que la société réclame d'elle.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Yukiko Mishima par la seule expressivité des plans filme sa romance comme un thriller, suffisamment énigmatique pour mettre le spectateur dans un état d’alerte constant, toujours attentif au moindre détail ; à tout moment, le film pourrait vriller, déraper, ce qu’il ne fait pas.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Voix du Nord
par Catherine Painset
La Japonaise Yukiko Mishima nous raconte son réveil charnel et existentiel dans un film dense et déchirant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Sous ses dehors de mélo romantique façon In The Mood For Love, Yukiko Mishima filme la passion amoureuse avec une acuité et une délicatesse inouïes, de l’exaltation des sentiments aux étreintes charnelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Beau, sensible et féministe, le film explore la réaction d'une Japonaise pour se libérer de sa prison dorée.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela n’empêche pas le travail formel de Yukiko Mishima d’exercer une séduction certaine – par le cadre, la construction narrative, l’utilisation de la musique, le sens du détail, les jeux sur la couleur, le crépuscule, la nuit, la neige.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Le film n’évite pas le mélo, mais la question centrale demeure : dans une société ultra-traditionnelle, quid du désir de la femme ? Là, le film touche juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film fascinant est hélas plombé, par moments, par un recours trop appuyé au mélo qui gâche un peu le brillant de la réalisation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers une variation sur la figure du trio amoureux, Yukiko Mishima dresse le portrait d'une Japonaise d'aujourd'hui. Une mise en scène un peu trop apprêtée pour un film d'hiver délicat.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Éric Derobert
Alors qu’il installe un regard moderne sur une femme japonaise en quête de respiration et de lumière, il est dommage que ce film de rupture – par rapport à la vision de l’instinct maternel, notamment – s’amollisse sans cesse sous l’effet de musiques pianistiques douceâtres, comme si la réalisatrice éprouvait malgré tout le besoin de se fondre dans des canons romantiques balisés.
Première
par Thomas Baurez
Yukiko Mishima ose ici le mélodrame portant haut la fièvre des sentiments. The Housewife devient ainsi une magnifique danse macabre. Car, oser l’aventure pour se retrouver, c’est accepter de sacrifier une part de soi-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Pas sûr que les personnages existent vraiment sinon sous forme d’archétypes, mais « The Housewife », dans sa mélancolie même, ressemble à un long voyage à travers un bonheur inatteignable.
Le Monde
par Mathieu Macheret
L'intention louable d'érafler l'archétype de la ménagère japonaise est abordée de façon si scolaire qu'on sombre vite dans l'écueil inverse du roman à l'eau de rose.
Télérama
par Jacques Morice
Malgré des acteurs solides et quelques scènes originales, The Housewife a fâcheusement tendance à accumuler les notes de sensiblerie et à s’enliser dans le mélodrame convenu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Un superbe drame sentimental à l'image envoûtante.
CinemaTeaser
Le portrait juste et maîtrisé d'une jeune femme qui tente de se libérer de ce que la société réclame d'elle.
Culturopoing.com
Yukiko Mishima par la seule expressivité des plans filme sa romance comme un thriller, suffisamment énigmatique pour mettre le spectateur dans un état d’alerte constant, toujours attentif au moindre détail ; à tout moment, le film pourrait vriller, déraper, ce qu’il ne fait pas.
La Voix du Nord
La Japonaise Yukiko Mishima nous raconte son réveil charnel et existentiel dans un film dense et déchirant.
Le Journal du Dimanche
Sous ses dehors de mélo romantique façon In The Mood For Love, Yukiko Mishima filme la passion amoureuse avec une acuité et une délicatesse inouïes, de l’exaltation des sentiments aux étreintes charnelles.
Les Fiches du Cinéma
Beau, sensible et féministe, le film explore la réaction d'une Japonaise pour se libérer de sa prison dorée.
L'Humanité
Cela n’empêche pas le travail formel de Yukiko Mishima d’exercer une séduction certaine – par le cadre, la construction narrative, l’utilisation de la musique, le sens du détail, les jeux sur la couleur, le crépuscule, la nuit, la neige.
L'Obs
Le film n’évite pas le mélo, mais la question centrale demeure : dans une société ultra-traditionnelle, quid du désir de la femme ? Là, le film touche juste.
La Croix
Ce film fascinant est hélas plombé, par moments, par un recours trop appuyé au mélo qui gâche un peu le brillant de la réalisation.
Les Echos
A travers une variation sur la figure du trio amoureux, Yukiko Mishima dresse le portrait d'une Japonaise d'aujourd'hui. Une mise en scène un peu trop apprêtée pour un film d'hiver délicat.
Positif
Alors qu’il installe un regard moderne sur une femme japonaise en quête de respiration et de lumière, il est dommage que ce film de rupture – par rapport à la vision de l’instinct maternel, notamment – s’amollisse sans cesse sous l’effet de musiques pianistiques douceâtres, comme si la réalisatrice éprouvait malgré tout le besoin de se fondre dans des canons romantiques balisés.
Première
Yukiko Mishima ose ici le mélodrame portant haut la fièvre des sentiments. The Housewife devient ainsi une magnifique danse macabre. Car, oser l’aventure pour se retrouver, c’est accepter de sacrifier une part de soi-même.
Sud Ouest
Pas sûr que les personnages existent vraiment sinon sous forme d’archétypes, mais « The Housewife », dans sa mélancolie même, ressemble à un long voyage à travers un bonheur inatteignable.
Le Monde
L'intention louable d'érafler l'archétype de la ménagère japonaise est abordée de façon si scolaire qu'on sombre vite dans l'écueil inverse du roman à l'eau de rose.
Télérama
Malgré des acteurs solides et quelques scènes originales, The Housewife a fâcheusement tendance à accumuler les notes de sensiblerie et à s’enliser dans le mélodrame convenu.