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Votre avis sur Le Livre des solutions ?
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Quelle bonne surprise. Un film foutraque mais pétri de fantaisie et d’imagination, un comédien au meilleur de sa forme , de l’inventivité à chaque séquence , des dialogues très drôles. Mais aussi un bel hommage au cinoche d’antan et le portrait sans concession d’un réalisateur au fond du gouffre qui ne cherche jamais à se donner le beau rôle.
Une belle expérience en somme.
Une belle expérience en somme.
Le livre des solutions est un film clairement surprenant, déroutant à certains égards, parfois bizarre, qui ne laissera personne indiffèrent. Il n’y avait que Pierre Niney pour incarner à la perfection ce personnage autant imprévisible que touchant. On ne comprends pas toujours - j’ai même décroché à plusieurs reprises - mais le réalisateur a le talent pour savoir raconter les histoires. Celle ci est marquante. Au final, on ressort de la salle de cinéma avec le sentiment d’avoir vu un bon film.
D'autres critiques sur le compte IG : lecinema.clement
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Le livre des solutions raconte l’histoire d’un cinéaste qui cherche désespérément à réaliser son film, et à parvenir à le visionner.
On s’attache à ce personnage plutôt psychorigide et qui malmène ses employés.
Le film aborde plusieurs problèmes de société et on pense avoir saisi la plupart des idées mais quand la fin approche, cela se complique…
Le jeu de Pierre Niney et Blanche Gardin sont très appréciables et se marie bien ensemble.
On s’attache à ce personnage plutôt psychorigide et qui malmène ses employés.
Le film aborde plusieurs problèmes de société et on pense avoir saisi la plupart des idées mais quand la fin approche, cela se complique…
Le jeu de Pierre Niney et Blanche Gardin sont très appréciables et se marie bien ensemble.
martial7178
Il n'est pas toujours simple de pénétrer l'univers de Michel Gondry, le réalisateur de ce film, qui est empreint de poésie, de surréalisme et de délires obsessionnels, mais ce film est sans doute d'une approche plus facile que les précédents.
Certes, demeurent quelques incohérences (on ne devient pas maire comme ça du jour au lendemain, il y a quelque chose qui s'appelle une élection en démocratie), mais les personnages sont attachants, particulièrement Françoise Lebrun, dans le rôle très humain de Denise.
Le personnage principal, interprété par Pierre Niney, fou furieux de la création artistique, mais imbuvable avec les autres, est au centre de ce délire qui nous laisse tout de même un peu sur notre faim. Ce film se laisse malgré tout regarder avec un certain plaisir.
Certes, demeurent quelques incohérences (on ne devient pas maire comme ça du jour au lendemain, il y a quelque chose qui s'appelle une élection en démocratie), mais les personnages sont attachants, particulièrement Françoise Lebrun, dans le rôle très humain de Denise.
Le personnage principal, interprété par Pierre Niney, fou furieux de la création artistique, mais imbuvable avec les autres, est au centre de ce délire qui nous laisse tout de même un peu sur notre faim. Ce film se laisse malgré tout regarder avec un certain plaisir.
un film trop trop barré
il n'y a pas vraiment de scénario même si c'est très bien interprété
ça donne une impression très étrange un peu fourre-tout
bref je me suis pas attaché aux personnages et je suis resté sur ma faim impossible de rentrer dans le film : trop bizarre pour moi
il n'y a pas vraiment de scénario même si c'est très bien interprété
ça donne une impression très étrange un peu fourre-tout
bref je me suis pas attaché aux personnages et je suis resté sur ma faim impossible de rentrer dans le film : trop bizarre pour moi
Marc déborde d'énergie à la réalisation de son film. Son équipe va subir, à souhait, les solutions qu'il écrit sur un livre. La tante Denise (Françoise Lebrun) très juste dans le jeu. Un bon coté absurde, marrant qui n'est pas pour me déplaire.
Un univers (Gondry) et une vitalité d'acteur (Niney) à ne pas bouder. Sans doute pas un film parfait mais la drôlerie douce-amère du créateur en lutte avec sa bipolarité est touchante, sensible, et montre bien la complexité de l'entourage à gérer ces excès, toujours sur la crête entre génie et folie simple.
Juste un bon moment passé devant "Le Livre des Solutions", premier film de Michel Gondry depuis presque 10 ans.
On retrouve la patte caractéristique de ce fantastique réalisateur avec des vraies idées de réalisations, une envie de faire un cinéma qui sort des sentiers battus et un casting très en forme, Pierre Niney en tête. Quelque chose dans l'écriture, la façon de cadrer, le jeu des comédiens, respire une forme d'artisanat qu'il fait bon voir en ces temps d'uniformisation des productions. Enfin, loin des plateaux, du tapis rouge, on découvre de façon assez réaliste ce que c'est de porter un projet cinématographique sans énorme budget.
Malgré d'évidentes qualités, le film reste un petit peu parasité par une confusion dans ce qu'il essaie de raconter, à l'image de son personnage principal. Sans réel fil rouge ni climax, le film va parfois un peu loin dans son envie de nous montrer que son personnage est "fou", de façon déconnectée de l'intrigue. Si le message général est compris, l'ensemble manque de la maîtrise de la narration qui aurait pu en faire quelque chose de réellement excellent.
Le Livre des Solutions ou la plongée savoureuse mais confuse dans la tête de Michel Gondry, aussi créative que désagréablement décousue. C'est aussi le retour d'un univers qui malgré tout, nous avait beaucoup manqué au cinéma.
On retrouve la patte caractéristique de ce fantastique réalisateur avec des vraies idées de réalisations, une envie de faire un cinéma qui sort des sentiers battus et un casting très en forme, Pierre Niney en tête. Quelque chose dans l'écriture, la façon de cadrer, le jeu des comédiens, respire une forme d'artisanat qu'il fait bon voir en ces temps d'uniformisation des productions. Enfin, loin des plateaux, du tapis rouge, on découvre de façon assez réaliste ce que c'est de porter un projet cinématographique sans énorme budget.
Malgré d'évidentes qualités, le film reste un petit peu parasité par une confusion dans ce qu'il essaie de raconter, à l'image de son personnage principal. Sans réel fil rouge ni climax, le film va parfois un peu loin dans son envie de nous montrer que son personnage est "fou", de façon déconnectée de l'intrigue. Si le message général est compris, l'ensemble manque de la maîtrise de la narration qui aurait pu en faire quelque chose de réellement excellent.
Le Livre des Solutions ou la plongée savoureuse mais confuse dans la tête de Michel Gondry, aussi créative que désagréablement décousue. C'est aussi le retour d'un univers qui malgré tout, nous avait beaucoup manqué au cinéma.
Après le film : Be Kind, Rewind (Soyez, Sympa Rembobinez; en français) que j'avais vraiment bien aimé, je continue la filmographie de Michel Gondry avec son dernier film sorti en 2023.
Et, cette fois-ci encore, avec Le Livre Des Solutions, Michel Gondry a réussi son pari, le film est drôle, touchant, avec des scènes très loufoques mais a mourir de rire.
Un peu comme dans Be Kind, Rewind; Michel Gondry parle de cinéma, de la passion qu'on peut mettre dedans jusqu'à la folie que cela peut nous procurer et, c'est plutôt vers la folie qu'est tourné Le Livre Des Solutions.
Avec un Pierre Niney génial et une Blanche Gardin plutôt enthousiaste, on passe 1h40 a rigoler, pleurer ou même juste comprendre ce fabuleux métier de réalisateur…
Et, cette fois-ci encore, avec Le Livre Des Solutions, Michel Gondry a réussi son pari, le film est drôle, touchant, avec des scènes très loufoques mais a mourir de rire.
Un peu comme dans Be Kind, Rewind; Michel Gondry parle de cinéma, de la passion qu'on peut mettre dedans jusqu'à la folie que cela peut nous procurer et, c'est plutôt vers la folie qu'est tourné Le Livre Des Solutions.
Avec un Pierre Niney génial et une Blanche Gardin plutôt enthousiaste, on passe 1h40 a rigoler, pleurer ou même juste comprendre ce fabuleux métier de réalisateur…
Poésie des drames de la création, Gondry met la post-production et ses pressions en improvisation. En filigrane, se dessine son autoportrait : un Lagaffe à la créativité lubrique et à l'interprétation lunaire.
Gondry ne sublime pas son histoire à travers des thèmes sombres – l'arrêt des médicaments, la maladie mentale – en révélant ses peurs. Pourtant, c'est la tendresse et l'imagination débordante qui éclatent à nos yeux.
Malgré quelques défauts narratifs – des personnages secondaires fascinants mais peu exploités, une intrigue amoureuse confuse, et une justification ambiguë de la connardise des artistes – c'est de la reconnaissance des petites mains et des contraintes, que jaillit la plus belle des imaginations.
Gondry ne sublime pas son histoire à travers des thèmes sombres – l'arrêt des médicaments, la maladie mentale – en révélant ses peurs. Pourtant, c'est la tendresse et l'imagination débordante qui éclatent à nos yeux.
Malgré quelques défauts narratifs – des personnages secondaires fascinants mais peu exploités, une intrigue amoureuse confuse, et une justification ambiguë de la connardise des artistes – c'est de la reconnaissance des petites mains et des contraintes, que jaillit la plus belle des imaginations.
Pierre Niney nous entraine dans un tourbillon de folie, épiçant un film somme tout modeste dans une aventure en spirale ou la raison est en permanence déconnectée puis reconnectée; hyperthymie créatrice ,colère dévastatrice , hyperémotivité sombrant dans une sensiblerie puérile.
En mettant un Pierre Niney en tête d'affiche, Gondry se jette à corps perdu dans l'arène du grand public.
Personnellement j'ai plutôt apprécié le film bien qu'il ait quelques longueurs. Je l'ai regardé sous un oeil vierge de tout attente, me laissant embarquer dans un univers loufoque et décalé.
Pierre Niney dans le rôle d'anti héro dans toute sa splandeur en a bien revêtit la veste et m'a convaincu.
Alors oui ce n'est pas une comédie légère qui nous fait rire à gorge déployée mais c'est un autre genre cinématographique que nous propose Gondry et c'est à saluer.
Personnellement j'ai plutôt apprécié le film bien qu'il ait quelques longueurs. Je l'ai regardé sous un oeil vierge de tout attente, me laissant embarquer dans un univers loufoque et décalé.
Pierre Niney dans le rôle d'anti héro dans toute sa splandeur en a bien revêtit la veste et m'a convaincu.
Alors oui ce n'est pas une comédie légère qui nous fait rire à gorge déployée mais c'est un autre genre cinématographique que nous propose Gondry et c'est à saluer.
Le film du bricoleur a prolongé agréablement notre déambulation dans une brocante que nous avons parcourue avant la séance.
« Le livre des solutions » n’était qu’un gros cahier vierge, et au cours d’une mise au vert dans les Cévennes chez la tante du réalisateur foutraque, il va s’étoffer de trouvailles en pagaille du tyrannique héros à l’égo excentrique.
Il devra passer son temps en excuses, mais nous nous serons bien divertis pendant 1h 42 tant les inventions bonnes ou calamiteuses abondent.
Légèreté, modestie, originalité composent le portrait d’une valeur sûre et fragile, accessible et ambitieuse, amusante tout en témoignant des méandres de la création et des contours de la production.
« Le livre des solutions » n’était qu’un gros cahier vierge, et au cours d’une mise au vert dans les Cévennes chez la tante du réalisateur foutraque, il va s’étoffer de trouvailles en pagaille du tyrannique héros à l’égo excentrique.
Il devra passer son temps en excuses, mais nous nous serons bien divertis pendant 1h 42 tant les inventions bonnes ou calamiteuses abondent.
Légèreté, modestie, originalité composent le portrait d’une valeur sûre et fragile, accessible et ambitieuse, amusante tout en témoignant des méandres de la création et des contours de la production.
Film assez difficile à noter, naviguant entre les scènes brillamment drôles, le subtilement poétique et le touchant mais compliqué selon moi à interpréter et donc lier ses petits moments de grâce ensemble ce qui fait que l'on s'ennuie parfois, on attend des explications, même si Gondry aime faire dans le métaphorique et les références, il me manquait des connaissances ou autre chose, et donc rien n'arrive et on finit comme on a commencé, noyé dans l'océan..
j'ai bcp aimé...ça joue bien...les situations sont plausibles...dans la salle, les gens riaient et ont eu l'air d'avoir bcp aimé ...
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