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Votre avis sur Le Livre des solutions ?
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Que Michel Gondry ait réalisé ce film pour témoigner de ce qu'il a pu vivre, de ce qu'il est, je peux le recevoir. En revanche, en quoi nous faire partager, en tant qu'histoire, son incapacité permanente à stabiliser sa pensée, sa maladive recherche d'une porte de sortie aux impasses vers lesquelles le conduit sa bipolarité, alors là, je suis encore dans l'interrogation. Hormis Pierre Niney qui semble s'être parfaitement fondu dans son personnage (jeu très subtil en retenue lorsqu'il reprend ses cachets), les autres acteurs-actrices (dont Blanche Gardin) semblent être dans une partition décalée, contraints d'observer et de temporiser les tribulations du réalisateur. Quant à ce "livre des solutions", dont je veux bien qu'il ait été une thérapie personnelle utile à Michel Gondry, oserais-je dire que je l'ai trouvé bien pauvre en vraies "solutions" (son expérience perso a apparemment nourri "son" scénario : grand bien lui fasse, mais la matière est insuffisante pour tenir la distance ... je me suis assez vite sérieusement ennuyé vite tant le ressort est toujours le même) ! .. J'ai en revanche apprécié la scène finale : belle trouvaille visuelle pour rendre à l'image la peur du réalisateur,
Ca aurait pu être un film avec une fantaisie folle, attachant voire un peu foutraque... mais je n'y ai vu qu'une pathologie fatiguante pour tous.
les acteurs sont super, mais ça fait flop.
les acteurs sont super, mais ça fait flop.
Une fois passées les 3 premières minutes, le malaise devient vite envahissant. Pierre Niney incarne t il un psychotique ? Si oui, ce n'est pas drôle et si non alors....quoi ? Un film qui a enchanté la critique mais qui m'a laissé indifférent
OK...OK...
J'étais prévenu : le héros du film pouvait se révéler agaçant, voire "attachiant".
L'on m'avait induit en erreur : j'ai dû passer 1h45 à subir un personnage, certes malade, car bipolaire, mais surtout coléreux, insultant, tyrannique, violent... et le plus dérangeant est que le tout est enrobé sous le ton de la comédie, filmé avec beaucoup de tendresse, avec des personnages secondaires qui subissent sans broncher et à qui le réalisateur ne donne jamais les moyens d'avoir des réaction appropriées et à la hauteur de ce que le personnage principal leur inflige. J'ai trouvé cela dérangeant.
Je me suis également questionné sur que ce que le film apportait réellement, tant j'ai eu l'impression de rester à l'extérieur d'une histoire que je qualifierais de très autocentrée et ultra narcissique, sur les propres obsessions d'un réalisateur qui se servirait de son film comme d'une sorte de psychanalyse à l'écran.
Le problème est que la remise en question est indispensable pour qu'une psychanalyse fonctionne. Or, Michel Gondry semble davantage se servir de son film pour faire excuser son personnage/sa propre personne et faire passer ses abus pour de gentils petits caprices.
Je garde tout de même la créativité de certaines petites trouvailles, l'inventivité de la mise en scène (même si parfois un peu trop "gadget"), les bonnes performances de Pierre Niney et Blanche Gardin mais aussi et surtout Françoise Lebrun, qui irradie chaque scène dans laquelle elle se trouve.
Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
J'étais prévenu : le héros du film pouvait se révéler agaçant, voire "attachiant".
L'on m'avait induit en erreur : j'ai dû passer 1h45 à subir un personnage, certes malade, car bipolaire, mais surtout coléreux, insultant, tyrannique, violent... et le plus dérangeant est que le tout est enrobé sous le ton de la comédie, filmé avec beaucoup de tendresse, avec des personnages secondaires qui subissent sans broncher et à qui le réalisateur ne donne jamais les moyens d'avoir des réaction appropriées et à la hauteur de ce que le personnage principal leur inflige. J'ai trouvé cela dérangeant.
Je me suis également questionné sur que ce que le film apportait réellement, tant j'ai eu l'impression de rester à l'extérieur d'une histoire que je qualifierais de très autocentrée et ultra narcissique, sur les propres obsessions d'un réalisateur qui se servirait de son film comme d'une sorte de psychanalyse à l'écran.
Le problème est que la remise en question est indispensable pour qu'une psychanalyse fonctionne. Or, Michel Gondry semble davantage se servir de son film pour faire excuser son personnage/sa propre personne et faire passer ses abus pour de gentils petits caprices.
Je garde tout de même la créativité de certaines petites trouvailles, l'inventivité de la mise en scène (même si parfois un peu trop "gadget"), les bonnes performances de Pierre Niney et Blanche Gardin mais aussi et surtout Françoise Lebrun, qui irradie chaque scène dans laquelle elle se trouve.
Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
Décousu et charmant comme un film écrit par Michel Gondry mais pas de quoi crier au génie comme l'a fait la critique. Pierre Niney porte le film mais a bien du mal à défendre ce personnage fou plus encore que froutraque. Expérience spectateur un peu gênante en fait.
La personnalité du personnage principal est agaçante et plombe tout le film, la poésie cède la place à l'ennui.
Pas le meilleur de Gondry, ni le plus loufoque. Une solution s'invite, celle de quitter la projection au milieu, sans être amputé d'une histoire qui tourne vite en rond.
Ce film était un pari pour moi, j'ai tenté un cinéma que je ne regarde pas souvent. Ça a confirmé que ce n'étais pas le cinéma qui me correspond. Car je ne peux pas dire que le film est nul, il fourmille de bonnes idées, d'autres farfelues ou vraiment bizarres. Mais ce film a du sens et il tente de faire passer pleins de messages et d'idées. Je j'ai pas rigolé comme j'aurai cru mais je n'ai tout de même pas subi.
L'humour est globalement inefficace, on s'ennuie sans cesse, seuls les acteurs sont bons autant dire qu'il n'y a pas beaucoup de raisons d'aller voir Le livre des solutions, et c'est dommage.
Je me doutais que j'allais sortir fatigué de ce film compte-tenu du sujet d'un réalisateur bipolaire qui fait vivre un enfer à son équipe. Et de ce côté je n'ai pas été déçu. Mais il y a plus ou moins bonne fatigue. Et là, cela tire un peu en longueur malgré des moments vraiment drôles.
Pourquoi Y Aller :
Pour les acteurs, dont P.Niney excellent dans ce rôle difficile, et aussi B.Gardin et F.Wallach (repérée dans une pub EDF !) qui arrivent à le supporter.
Pour la scène de création de la musique avec Niney en chef d'orchestre improvisé qui fait jouer un orchestre avec son corps, culte !
Pourquoi Ne Pas Y Aller
L'hystérie du personnage principal tête à claque est fatiguante
La bonne idée du livre des solutions tourne en rond, avec des solutions contradictoires entre elles !
C'est un peu l'apologie de la maltraitance jutsifiée par la création, Marc restant sympathique malgré tout
Pourquoi Y Aller :
Pour les acteurs, dont P.Niney excellent dans ce rôle difficile, et aussi B.Gardin et F.Wallach (repérée dans une pub EDF !) qui arrivent à le supporter.
Pour la scène de création de la musique avec Niney en chef d'orchestre improvisé qui fait jouer un orchestre avec son corps, culte !
Pourquoi Ne Pas Y Aller
L'hystérie du personnage principal tête à claque est fatiguante
La bonne idée du livre des solutions tourne en rond, avec des solutions contradictoires entre elles !
C'est un peu l'apologie de la maltraitance jutsifiée par la création, Marc restant sympathique malgré tout
De ce film je retiendrai la scène de l'orchestre et le "- ça va ? - ça va et toi ?" à Sting. Le reste je ne suis pas sûre d'avoir tout compris. Mise en avant du génie toxique et fin expéditive. Dommage.
Le livre des solutions a tout pour plaire : une histoire de mise en abîme cinématographique douce-dingue, une distribution impliquée, amusante, dont un Pierre Niney ultra-investi et qui a l'air complètement dans son élément, et l'onirisme de Michel Gondry, déjà porté à son firmament dans Eternal sunshine of the spotlessmind. Je peux donc comprendre que l'on aime ce film. Pourtant habituellement sensible, je suis hélas restée hermétique à ce traitement fantaisiste de la créativité et de la santé mentale, sans pouvoir vraiment me l'expliquer.
Je suis partagé sur ce film. D un côté Pierre Niney est excellent,tout à son avantage.De l autre, hormis le montage d un film dans une ferme des Cévennes, peu de scénario.peu d histoire.Niney occupe le film et ..le sauve en fait.
Bien sûr, Pierre Niney est un très bon comédien ; mais va-t-il arriver à sauver ce film pour autant ?
Quand écrire un scénario revient à faire une psychanalyse : je trouve finalement le procédé un peu grotesque et voyeur, Oui le cinéaste a des problèmes psychologiques mais cela nous concerne assez peu finalement
Je ne vais pas au cinéma pour entrer à ce point dans le psychisme et les tourments d'un cinéaste, cela m'a mis assez mal à l'aise. La salle ce soir là a davantage ri que moi.
Et le film s'appelle le livre des solutions mais je pensais plus au livre des problèmes finalement.
Quand écrire un scénario revient à faire une psychanalyse : je trouve finalement le procédé un peu grotesque et voyeur, Oui le cinéaste a des problèmes psychologiques mais cela nous concerne assez peu finalement
Je ne vais pas au cinéma pour entrer à ce point dans le psychisme et les tourments d'un cinéaste, cela m'a mis assez mal à l'aise. La salle ce soir là a davantage ri que moi.
Et le film s'appelle le livre des solutions mais je pensais plus au livre des problèmes finalement.
Ce qui est intéressant à relever, c'est le décalage de lecture entre ceux qui voient dans ce film un chef-d'œuvre, ce qu'il n'est vraiment pas !, et ceux qui y voient là une daube, ce qui s'en rapproche...
J'ai trouvé ce film assez ennuyeux, pas drôle à part un ou deux rares moments. Le personnage de Blanche Gardin sans intérêt ( elle n'en est pas responsable, c'est le scénario ), Pierre Niney plutôt pas mal. La meilleure scène du film restant à mon avis, celle de l'orchestre sans partition. Très surfait par les critiques professionnels.
J'ai trouvé ce film assez ennuyeux, pas drôle à part un ou deux rares moments. Le personnage de Blanche Gardin sans intérêt ( elle n'en est pas responsable, c'est le scénario ), Pierre Niney plutôt pas mal. La meilleure scène du film restant à mon avis, celle de l'orchestre sans partition. Très surfait par les critiques professionnels.
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