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Votre avis sur Le Livre des solutions ?
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Un réalisateur survolté qui n'arrive pas à regarder son film décide de le terminer auprès de sa tante dans les Cévennes. Michel Gondry présente ici son œuvre peut-être la plus personnelle avec en alter ego un Pierre Niney frénétique. Comme à son habitude la poésie faite de bric et de broc du réalisateur fourmille d'idées, et d'humour. Et c'est aussi une jolie déclaration d'amour touchante à une grande dame du cinéma français : Françoise Lebrun.
Shawn777
Dernier film en date de Michel Gondry qui est nouvelle fois une sorte de film sur sa vie sans pour autant être un biopic, ce qui est particulièrement la mode en ce moment à Hollywood. Je sentais donc venir un peu le délire mégalo et j'y suis allé un peu à reculons même le film me tentais vraiment et puis finalement bonne surprise car nous avons là un Michel Gondry qui ne se prend pas au sérieux et qui n'hésite pas à montrer les pires facettes de sa personnalité. Alors évidemment que c'est romancé, Michel Gondry n'est pas Marc mais y a tout de même injecté beaucoup de sa personnalité, d'après ses dires. C'est donc ici l'histoire d'un réalisateur qui vole son propre film pour le monter dans une maison de campagne. Et il a pleins d'idées à la minute. Un peu moins décalé que certains films du réalisateur, la patte de ce dernier est tout de même très reconnaissable, notamment dans cet afflux d'idées, cette fois non pas visuelle (quoique certaines scènes sont tout de même originales, notamment la partie avec le chien) mais exprimées directement à travers le personnage principal dont l'esprit part dans tous les sens. Ce qui est rigolo car nous avons un personnage loufoque, dû à ses nombreuses névroses, mais qui est aussi quelques fois dérangeant, notamment dans son côté relationnel très problématique. En effet, le réalisateur n'a pas juste fait un film drôle, c'est également un film qui parle du rapport au cinéma, enfin plutôt tout ce qu'il se passe en coulisses et puis qui n'hésite pas à dépeindre un réalisateur tout aussi attachant que détestable, qui rappelle un peu d'ailleurs quelques fois Jean-Pierre Mocky, notamment dans le fameux strip-tease "Le parapluie de Cherbourg". Concernant les acteurs, nous retiendrons principalement Pierre Niney et Blanch Gardin qui jouent vraiment très bien ! "Le Livre des solutions" est donc un bon film, tout simplement, qui n'est pas si léger qu'il le laisse paraitre.
Les années passent et le côté bricoleur de Michel Gondry ne change pas et c'est tant mieux. Pour son dernier film dans lequel il parle de lui comme jamais, il nous concocte des petites séquences drôles et poétiques pour finalement dresser le portrait d'un réalisateur colérique et incontrôlable.
L'originalité est donc encore au rendez-vous du cinéaste et c'est tant mieux.
Coté interprétation, Pierre Niney en double du cinéaste est excellent, passant aisément de la fantaisie à la colère, réussissant à nous faire aimer un cinéaste au comportement parfois détestable. Face à lui, Françoise Lebrun dans le rôle de sa tante lucide et tolérante, est d'une humanité confondante, comme on n'en voit rarement sur grand écran.
L'originalité est donc encore au rendez-vous du cinéaste et c'est tant mieux.
Coté interprétation, Pierre Niney en double du cinéaste est excellent, passant aisément de la fantaisie à la colère, réussissant à nous faire aimer un cinéaste au comportement parfois détestable. Face à lui, Françoise Lebrun dans le rôle de sa tante lucide et tolérante, est d'une humanité confondante, comme on n'en voit rarement sur grand écran.
J’ai trouvé le film sympathique, et ce d’autant car j’ai été parfois déçu, par Michel Gondry, le réalisateur….J’y suis allé pour Blanche Gardin, qui me fait bien sourire, mais finalement c’est Pierre Niney, qui emporte les suffrages, car à un jeu virevoltant et sobre à la fois, passant par toutes sortes d’émotions et de pensées, un camaïeu de grimaces, de sourires et autres, bref un rôle de réalisateur totalement assumé, puisque dans le film c’est lui le réalisateur (director me parle plus)…Le film a fait rire souvent nombre de spectateurs, petite salle (une trentaine de spectateurs à 14h), et dégagé de la bonne humeur, dont la mienne….C’est à la fois poétique et ironique, drôle et émouvant, et l’on ne s’ennuie pas une seconde durant la projection…..Bravo donc, seul bémol, le dernier quart d’heure, où le film ne sait plus trop quoi raconter, mais vu ce qu’on a ressenti précédemment, on peut lui pardonner un peu…..Je conseille pour ceux qui veulent se changer les idées, un peu à la Woody Allen…..
"Un échec est une suite de solutions entrecoupée de problèmes. Un succès est une suite de problèmes entrecoupée de solutions."
8 ans après sa dernière expérience cinématographique («Microbe et Gasoil»), Michel Gondry nous revient avec ce «Livre des Solutions», autofiction perchée et assumée.
À travers ces coulisses de la création et ce portrait d'un artiste en crise, c'est aussi (et surtout) de lui qu'il parle : de ses idées comme de ses angoisses, de sa passion comme de ses travers.
Film artisanal et foutraque (reprenant l'esthétique "bouts de ficelle" de certains de ses anciens clips musicaux), il traduit la volonté d'un cinéaste de s'affranchir du cahier des charges de certains gros producteurs, de sortir d'un cadre imposé pour faire les choses à sa manière, en toute liberté.
Et cette sensation de liberté, on la ressent tout au long du film, quitte à ce que ça parte un peu trop dans tous les sens à certains moments, sans véritable fil conducteur.
Sorte de laboratoire d'expérimentation où Gondry nous rappelle (et se rappelle) que c'est en faisant que l'on apprend, le processus créatif, central dans le récit, y est traité avec cette fantaisie décalée et poétique, qui est propre à l'univers de son réalisateur.
À travers Marc (alter-ego de Gondry, impeccablement interprété par Pierre Niney, très drôle), réalisateur aux milles idées mais émotionnellement et socialement déphasé, la solitude créatrice et humaine est elle aussi toujours bien présente. Comme si dans sa tête, tout ressemblait à un bordel clair (à l'image de cette séquence très réussie avec l'orchestre), mais qu'il avait du mal à l'expliquer à ses proches, jusqu'à leur en valoir pour cela.
Malgré un dernier tiers plus confus et fragile (à partir du moment où l'on s'éloigne du film et de sa conception), Gondry met du cœur à l'ouvrage pour son retour en salles, et cela ne peut pas laisser indifférent.
Une mise à nu à la démarche sincère et spontanée, abordant la solitude et la détermination (en bien comme en mal), et qui vaut le coup d'être vue.
8 ans après sa dernière expérience cinématographique («Microbe et Gasoil»), Michel Gondry nous revient avec ce «Livre des Solutions», autofiction perchée et assumée.
À travers ces coulisses de la création et ce portrait d'un artiste en crise, c'est aussi (et surtout) de lui qu'il parle : de ses idées comme de ses angoisses, de sa passion comme de ses travers.
Film artisanal et foutraque (reprenant l'esthétique "bouts de ficelle" de certains de ses anciens clips musicaux), il traduit la volonté d'un cinéaste de s'affranchir du cahier des charges de certains gros producteurs, de sortir d'un cadre imposé pour faire les choses à sa manière, en toute liberté.
Et cette sensation de liberté, on la ressent tout au long du film, quitte à ce que ça parte un peu trop dans tous les sens à certains moments, sans véritable fil conducteur.
Sorte de laboratoire d'expérimentation où Gondry nous rappelle (et se rappelle) que c'est en faisant que l'on apprend, le processus créatif, central dans le récit, y est traité avec cette fantaisie décalée et poétique, qui est propre à l'univers de son réalisateur.
À travers Marc (alter-ego de Gondry, impeccablement interprété par Pierre Niney, très drôle), réalisateur aux milles idées mais émotionnellement et socialement déphasé, la solitude créatrice et humaine est elle aussi toujours bien présente. Comme si dans sa tête, tout ressemblait à un bordel clair (à l'image de cette séquence très réussie avec l'orchestre), mais qu'il avait du mal à l'expliquer à ses proches, jusqu'à leur en valoir pour cela.
Malgré un dernier tiers plus confus et fragile (à partir du moment où l'on s'éloigne du film et de sa conception), Gondry met du cœur à l'ouvrage pour son retour en salles, et cela ne peut pas laisser indifférent.
Une mise à nu à la démarche sincère et spontanée, abordant la solitude et la détermination (en bien comme en mal), et qui vaut le coup d'être vue.
N'ayant pas vu beaucoup de films de Michel Gondry mais aimant le personnage, je suis allé voir Le livre des solutions avec un certain enthousiasme.
Pour les cinéphiles, l'histoire autobiographique du film est captivante car elle est bordée par les écueils de la maladie et de la créativités sans limite. Le décalage réel quasiment constant du personnage principale est émouvant à voir, en miroir avec les autres protagonistes. Pierre Niney est très bon dans l'exercice, simple et cohérent. On y voit les difficultés et les fulgurances, les liens amicaux qui permettent une structure a cette forme de génie. La bande son est bien sûr très bien faite. Il est agréable de suivre l'avancée du projet d'un cinéaste authentique. Ce film qui peut être vu comme populaire ne l'est pas réellement, à voir avec un esprit ouvert.
Pour les cinéphiles, l'histoire autobiographique du film est captivante car elle est bordée par les écueils de la maladie et de la créativités sans limite. Le décalage réel quasiment constant du personnage principale est émouvant à voir, en miroir avec les autres protagonistes. Pierre Niney est très bon dans l'exercice, simple et cohérent. On y voit les difficultés et les fulgurances, les liens amicaux qui permettent une structure a cette forme de génie. La bande son est bien sûr très bien faite. Il est agréable de suivre l'avancée du projet d'un cinéaste authentique. Ce film qui peut être vu comme populaire ne l'est pas réellement, à voir avec un esprit ouvert.
selenie
Comment croire que les techniciens puissent subir autant ce qui s'apparente à du harcèlement professionnel, comment croire qu'ils pourraient croire à un quelconque talent de leur patron puisqu'on ne voit jamais le réalisateur travaillé sur le film en question, les quelques passages où il fait preuve d'imagination et d'instinct artistique certain sont rares (l'orchestre et puis c'est à peu près tout) et pourraient être pour tout autre chose que le film en cours. Surtout on constate que la comédie promise n'est pas si hilarante que ça, il y a 2-3 scènes drôles mais dans l'ensemble on est dans une comédie dramatique, une chronique de tournage douce-amère dans laquelle on souffre pour l'équipe technique, on a difficilement de l'empathie pour un cinéaste égocentrique qui aime se victimiser, et on est surtout ému par cette tante qui doit tout supporter. Pourtant le film est gondriesque à souhait, avec une collection de trouvailles et de créativité à tous les étages, il est juste dommage que la bipolarité soit source du gag et des soucis tournés en dérision sans qu'il y ait d'évolution ou de remise en question du personnage qu'on se doit d'excuser quoi qu'il se passe. Le rythme s'en retrouve un peu décousu. Reste Françoise Lebrun qui nous émeut, et surtout un Pierre Niney en grande forme dont l'abattage est impressionnant. Note indulgente.
Site : Selenie.fr
Site : Selenie.fr
j'ai bcp aimé...ça joue bien...les situations sont plausibles...dans la salle, les gens riaient et ont eu l'air d'avoir bcp aimé ...
Des comédiens (-nes) talentueux, vraiment!!
Dommage, la bande annonce livre trop ... on en voit mes moments-clés: et du coup, je suis restée un peu perplexe... comme un goût d'inachevé! A voir pour se faire son idée: on passe un bon moment!
Dommage, la bande annonce livre trop ... on en voit mes moments-clés: et du coup, je suis restée un peu perplexe... comme un goût d'inachevé! A voir pour se faire son idée: on passe un bon moment!
Un bon divertissement de Michel Gondry. Un univers loufoque et décalé où l'on se demande jusqu'où ira la fabrication improbable du film que cherche à monter Marc (Pierre Niney) aidé des patientes femmes qui l'épaulent : Charlotte (Blanche Gardin), Sylvia (Frankie Wallach et sa délicieuse tante Denise (Fançoise Lebrun). Des trouvailles immortalisées dans le "Livre des solutions" dont l'auteur, Marc, s'applique à consigner vu que sa mémoire lui fait souvent défaut. A voir !
Jusqu'où peut-on rire d'un cinéaste déjanté en pleine phase maniaque? Michel Gondry s'inspire en partie de son propre vécu à travers ce rôle "offert" à Pierre Niney. Si certaines scènes peuvent être malaisantes pour ceux qui sont touchés de près ou de loin par la bipolarité, Michel Gondry explore la folie créative avec un humour borderline tout à fait délicieux. On sent chez Pierre Niney un réel plaisir à interpréter ce rôle en y mettant une dose de folie narcissique. Même si ce derniers cabotine légèrement, cette comédie dénote par sa créativité et son côté déstabilisant. A vous de vous faire votre idée!
Des idées de mise en scène à foison, des acteurs excellents, seul bémol en ce qui me concerne, le public riait énormément du délire maniaque de Pierre Niney pourtant le perso harcèle, maltraite malgré lui son entourage. J'ai l'impression que Pierre Niney passe tout simplement pour un doux dingue sans que la bipolarité soit réellement traitée.
velocio
Lâché par ses producteurs qui ne croient plus en son projet, Marc décide de mettre la main sur tout le matériel nécessaire, rushes compris, pour aller monter son film chez sa tante Denise, au pied du Mont Aigoual, dans les Cévennes. Bien entendu, Charlotte, sa monteuse, Sylvia, son assistante, et Gabrielle, la coloc de Charlotte vont l’accompagner. Libéré de la tutelle castratrice de la production et en pleine phase maniaque de sa bipolarité, Marc n’avance guère dans ce travail de montage mais fait preuve d’une extraordinaire inventivité totalement incontrôlée tout en se montrant particulièrement tyrannique, désagréable, voire odieux, avec son entourage avec qui il ne cesse de de se disputer.. C’est ainsi qu’il se met en tête que le montage du film se fasse en commençant par la fin. C’est ainsi qu’il invente ce qu’il appelle le « camiontage » qui, comme son nom l’indique, doit se passer dans un véhicule à l’arrêt dans lequel un film en cours de montage est diffusé sur un moniteur et dont le volant et le klaxon sont détournés de leur usage normal : un coup de volant à gauche fait revenir le film en arrière, un coup de klaxon entraine une pause, etc.. C’est ainsi que, dans son cerveau, germe une illumination soudaine : s’attaquer en parallèle au montage de son film à l’écriture d’un « livre des solutions », un livre qui compilerait les solutions à tous les problèmes qu’on peut rencontrer, un livre qui permettrait de donner une réponse à tous les conflits. Face à un homme égocentré qui bouscule son entourage, qui n’hésite pas à clamer que Carlos, l’assistant de Charlotte, est le plus mauvais professionnel qu’il ait rencontré, nous, spectateurs, sommes un peu comme Sylvia, Charlotte et Gabrielle, partagé.e.s entre une forme de ressentiment et une tendre empathie tant on comprend combien, en fait, est grande la souffrance vécue par Marc. Quant à Denise, cette tante qui adore son neveu, elle fait tout pour arrondir les angles.Critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-le-livre-des-solutions/
Le livre des solutions nous pose plutôt plein de questions. Michel Gondry nous emmène dans une folie de réalisation menée par un Pierre Niney qui porte très bien le rôle. Cependant on ne sait jamais où on met les pieds, on comprend que le réalisateur nous livre une part de lui sans jamais qu'on l'intercepte vraiment, tout est flou et le spectateur est très peu guidé dans cette montagne qu'est l'esprit de Gondry. Alors on en ressort avec plus de questions que des solutions. Mais, cela n'est pas inintéressant pour autant, les moments d'humour sont excellents, et il y a de très belles scènes aussi dedans qui nous montre une beauté et une poésie de la création. C'est bien, mais c'est dommage.
Objet inclassable comme souvent avec ses films, "Le Livre des solutions" du français Michel Gondry se situe à mi chemin entre la performance d'acteur de "Yannick" et l'hommage à la fabrication du film de "Coupez!".
Marc s'enfuit avec toute son équipe dans un petit village des Cévennes pour finir son film chez sa tante Denise. Sur place, sa créativité se manifeste par un million d'idées qui le plongent dans un drôle de chaos. Marc se lance alors dans l’écriture du Livre des Solutions, un guide de conseils pratiques qui pourrait bien être la solution à tous ses problèmes…
Le film assume son statut de "roue libre" avec parfois des moments de pur burlesque et d'autres au 36ième degré.
Pierre Niney livre une véritable performance d'acteur, agaçant au possible dans le rôle de ce réalisateur tête à claque qui marche aux anti dépresseurs et fait régner la terreur sur sa petite équipe.
Double projeté de Michel Gondry dont on sait la passion pour l'aspect artisanal du cinéma depuis la réalisation des clips du groupe Oui-Oui ( avec Etienne Charry qui signe encore une fois la musique de son film).
A noter au générique l'actrice et réalisatrice FRANKIE WALLACH, que tout le monde connaît pour son apparition récurrente sous le nom d'éva dans les pubs EDF....et qui est également une actrice épcurienne sur grand écran.
Marc s'enfuit avec toute son équipe dans un petit village des Cévennes pour finir son film chez sa tante Denise. Sur place, sa créativité se manifeste par un million d'idées qui le plongent dans un drôle de chaos. Marc se lance alors dans l’écriture du Livre des Solutions, un guide de conseils pratiques qui pourrait bien être la solution à tous ses problèmes…
Le film assume son statut de "roue libre" avec parfois des moments de pur burlesque et d'autres au 36ième degré.
Pierre Niney livre une véritable performance d'acteur, agaçant au possible dans le rôle de ce réalisateur tête à claque qui marche aux anti dépresseurs et fait régner la terreur sur sa petite équipe.
Double projeté de Michel Gondry dont on sait la passion pour l'aspect artisanal du cinéma depuis la réalisation des clips du groupe Oui-Oui ( avec Etienne Charry qui signe encore une fois la musique de son film).
A noter au générique l'actrice et réalisatrice FRANKIE WALLACH, que tout le monde connaît pour son apparition récurrente sous le nom d'éva dans les pubs EDF....et qui est également une actrice épcurienne sur grand écran.
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