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Votre avis sur Le Livre des solutions ?
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Pierre Ninney donne tout dans ce film qui bénéficie également d'excellents seconds rôles. univers fantaisiste et graphique de Gondry. c'est un peu long malgré tout...
Il fallait oser cette autobiographie. Un grand bravo pour l'interprétation de chacun des acteurs....une merveille.
Un film touchant et intime sur les tracas et les angoisses de la PMD. Les interprètes, bien dirigés, donnent le meilleur d'eux-mêmes et sont brillants.
Et si, la solution c’était le rire ?
8 ans après son dernier film, Michel Gondry sort de ses gonds pour nous proposer le génialissime Le livre des solutions.
A travers ce récit quasi auto biographique, Pierre Niney enfile la veste de Michel Gondry pour nous conter le montage rocambolesque de son précédent film, l’écume des jours. Sous les traits de Marc, nous découvrons un réalisateur à l’ego surdimensionné que rien ni personne n’arrête et dont les désirs (voire délires) sont des ordres !
La performance hystérique de Pierre Niney permet de dévoiler habilement l’état maniaco-dépressif du réalisateur… tantôt comique, tantôt dramatique, son jeu oscille entre plusieurs registres et nous fait rire aux éclats !
Alors, parmi les solutions pour bien débuter ce début d’année, n’en retenez que 2 : 1. Riez 2. Foncez découvrir ou redécouvrir l’univers créatif et imaginatif de Monsieur Gondry !
8 ans après son dernier film, Michel Gondry sort de ses gonds pour nous proposer le génialissime Le livre des solutions.
A travers ce récit quasi auto biographique, Pierre Niney enfile la veste de Michel Gondry pour nous conter le montage rocambolesque de son précédent film, l’écume des jours. Sous les traits de Marc, nous découvrons un réalisateur à l’ego surdimensionné que rien ni personne n’arrête et dont les désirs (voire délires) sont des ordres !
La performance hystérique de Pierre Niney permet de dévoiler habilement l’état maniaco-dépressif du réalisateur… tantôt comique, tantôt dramatique, son jeu oscille entre plusieurs registres et nous fait rire aux éclats !
Alors, parmi les solutions pour bien débuter ce début d’année, n’en retenez que 2 : 1. Riez 2. Foncez découvrir ou redécouvrir l’univers créatif et imaginatif de Monsieur Gondry !
Autant je suis fan d'Eternal Sunshine... autant je n'aime pas tout Gondry. Celui là tient sur le charme et l'énergie de Pierre Niney comme toujours excellent.. Une fois qu'on dit ça il ne reste pas grand chose.
Juste un bon moment passé devant "Le Livre des Solutions", premier film de Michel Gondry depuis presque 10 ans.
On retrouve la patte caractéristique de ce fantastique réalisateur avec des vraies idées de réalisations, une envie de faire un cinéma qui sort des sentiers battus et un casting très en forme, Pierre Niney en tête. Quelque chose dans l'écriture, la façon de cadrer, le jeu des comédiens, respire une forme d'artisanat qu'il fait bon voir en ces temps d'uniformisation des productions. Enfin, loin des plateaux, du tapis rouge, on découvre de façon assez réaliste ce que c'est de porter un projet cinématographique sans énorme budget.
Malgré d'évidentes qualités, le film reste un petit peu parasité par une confusion dans ce qu'il essaie de raconter, à l'image de son personnage principal. Sans réel fil rouge ni climax, le film va parfois un peu loin dans son envie de nous montrer que son personnage est "fou", de façon déconnectée de l'intrigue. Si le message général est compris, l'ensemble manque de la maîtrise de la narration qui aurait pu en faire quelque chose de réellement excellent.
Le Livre des Solutions ou la plongée savoureuse mais confuse dans la tête de Michel Gondry, aussi créative que désagréablement décousue. C'est aussi le retour d'un univers qui malgré tout, nous avait beaucoup manqué au cinéma.
On retrouve la patte caractéristique de ce fantastique réalisateur avec des vraies idées de réalisations, une envie de faire un cinéma qui sort des sentiers battus et un casting très en forme, Pierre Niney en tête. Quelque chose dans l'écriture, la façon de cadrer, le jeu des comédiens, respire une forme d'artisanat qu'il fait bon voir en ces temps d'uniformisation des productions. Enfin, loin des plateaux, du tapis rouge, on découvre de façon assez réaliste ce que c'est de porter un projet cinématographique sans énorme budget.
Malgré d'évidentes qualités, le film reste un petit peu parasité par une confusion dans ce qu'il essaie de raconter, à l'image de son personnage principal. Sans réel fil rouge ni climax, le film va parfois un peu loin dans son envie de nous montrer que son personnage est "fou", de façon déconnectée de l'intrigue. Si le message général est compris, l'ensemble manque de la maîtrise de la narration qui aurait pu en faire quelque chose de réellement excellent.
Le Livre des Solutions ou la plongée savoureuse mais confuse dans la tête de Michel Gondry, aussi créative que désagréablement décousue. C'est aussi le retour d'un univers qui malgré tout, nous avait beaucoup manqué au cinéma.
En mettant un Pierre Niney en tête d'affiche, Gondry se jette à corps perdu dans l'arène du grand public.
Personnellement j'ai plutôt apprécié le film bien qu'il ait quelques longueurs. Je l'ai regardé sous un oeil vierge de tout attente, me laissant embarquer dans un univers loufoque et décalé.
Pierre Niney dans le rôle d'anti héro dans toute sa splandeur en a bien revêtit la veste et m'a convaincu.
Alors oui ce n'est pas une comédie légère qui nous fait rire à gorge déployée mais c'est un autre genre cinématographique que nous propose Gondry et c'est à saluer.
Personnellement j'ai plutôt apprécié le film bien qu'il ait quelques longueurs. Je l'ai regardé sous un oeil vierge de tout attente, me laissant embarquer dans un univers loufoque et décalé.
Pierre Niney dans le rôle d'anti héro dans toute sa splandeur en a bien revêtit la veste et m'a convaincu.
Alors oui ce n'est pas une comédie légère qui nous fait rire à gorge déployée mais c'est un autre genre cinématographique que nous propose Gondry et c'est à saluer.
Ça fait toujours plaisir de retrouver Lichel Gondry même si soyons francs, son scénario est un peu un prétexte à ses effets de mise en scène. Niney étant habité par son rôle et si bien secondé qu'on passe tout de même un agréable moment. Une fin très discutable cependant.
Déjanté ! Très drôle ! Fantaisiste !
Pierre Niney est parfait dans ce rôle qu'on dirait fait pour lui !
Pierre Niney est parfait dans ce rôle qu'on dirait fait pour lui !
Ce film est original car Pierre Niney interprète un réalisateur fou qui essaie de monter un film avec ses amis et sa grand-mère en plein campagne.
Cette comédie dramatique à de nombreux atouts comme quelques faiblesses, en effet un humour décalé et un bon casting font oublier quelques longueurs et un rythme un peu lent.
Cette comédie dramatique à de nombreux atouts comme quelques faiblesses, en effet un humour décalé et un bon casting font oublier quelques longueurs et un rythme un peu lent.
Avec ce portrait d’un cinéaste en crise, qui se pose en génie incompris et prétentieux, en enfant gâté et capricieux, en doux-dingue tyrannique et insupportable, et qui épuise fougueusement son entourage, Michel Gondry donne dans l’autoportrait. Autoportrait à la fois plein d’autodérision et de revendication passionnée d’un mode créatif unique, où tout devient possible. On navigue donc dans une zone un peu indécise, comme les aime le cinéaste. Ici entre autocritique et complaisance. On est aussi dans un registre très spécial, dans une forme de « metaGondry », puisque le réalisateur aborde avec sa science habituelle du délire et du bricolage sa propre matière faite… de délire et de bricolage. Et ça donne évidemment quelque chose d’inventif et surprenant. Mises à part quelques pistes narratives mal abouties, comme l’histoire avec le personnage de Max, l’ensemble est plutôt bien tenu en territoire foutraque et azimuté. Et puis c’est drôle, souvent très drôle, grâce à la qualité d’écriture et grâce aux interprètes, tous très bons, Pierre Niney en tête.
Yves G.
Quand ses producteurs lui annoncent qu’ils cessent de financer son dernier film, Marc Becker s’enfuit dans les Cévennes chez sa tante Denise (Françoise Lebrun, égérie de Jean Eustache) avec sa monteuse (Blanche Gardin) et son assistante (Frankie Wallach, égérie de EDF) pour en boucler le montage. Mais cette fuite à la campagne exacerbe la créativité débordante du réalisateur, au grand dam de ses proches.
Michel Gondry, le réalisateur le plus perché, le plus branque, le plus imaginatif qui soit, est de retour, huit ans après son dernier film "Microbe et Gasoil", quinze ans après "Soyez sympas, rembobinez", qui est le plus représentatif de son cinéma de la bricole, dix-neuf ans après "The Eternal Sunshine of a Spotless Mind", qui lui valut une gloire immédiate.
"Le Livre des solutions" est une autobiographie grinçante, un hommage à sa tante, mais surtout l’autoportrait de l’artiste en doux dingue. Michel Gondry, à soixante ans passés, n’est plus un jeune homme ; mais il a trouvé son alter ego chez Pierre Niney, jeune trentenaire vibrionnant qui n’a jamais été aussi à l’aise que dans ce cinéma là, où toute sa fougue, toute son inventivité, tout son charme fiévreux peuvent s’exprimer sans entraves.
"Le Livre des solutions" multiplie les trouvailles. les scènes cocasses ou tendres s’y succèdent sans temps mort. On ne s’y ennuie pas. On y rit parfois, on y sourit souvent, au camiontage ou à l’assistant catarrheux jusqu’au tout dernier plan qui met en abyme le réalisateur et son film. On se laisse attendrir dès que Françoise Lebrun, avec sa voix d’une douceur inimitable berce son remuant neveu. Seul point faible : l’absence de scénario à proprement parler, le montage du film de Marc constituant le prétexte plus que la raison d’être à cette succession de vignettes.
"Le Livre des solutions" a le défaut de ses qualités. Il est trop gentil. Et la gentillesse, c’est comme la crème chantilly : à petite dose, c’est délicieux, à grosse dose, ça devient vite écœurant.
Michel Gondry, le réalisateur le plus perché, le plus branque, le plus imaginatif qui soit, est de retour, huit ans après son dernier film "Microbe et Gasoil", quinze ans après "Soyez sympas, rembobinez", qui est le plus représentatif de son cinéma de la bricole, dix-neuf ans après "The Eternal Sunshine of a Spotless Mind", qui lui valut une gloire immédiate.
"Le Livre des solutions" est une autobiographie grinçante, un hommage à sa tante, mais surtout l’autoportrait de l’artiste en doux dingue. Michel Gondry, à soixante ans passés, n’est plus un jeune homme ; mais il a trouvé son alter ego chez Pierre Niney, jeune trentenaire vibrionnant qui n’a jamais été aussi à l’aise que dans ce cinéma là, où toute sa fougue, toute son inventivité, tout son charme fiévreux peuvent s’exprimer sans entraves.
"Le Livre des solutions" multiplie les trouvailles. les scènes cocasses ou tendres s’y succèdent sans temps mort. On ne s’y ennuie pas. On y rit parfois, on y sourit souvent, au camiontage ou à l’assistant catarrheux jusqu’au tout dernier plan qui met en abyme le réalisateur et son film. On se laisse attendrir dès que Françoise Lebrun, avec sa voix d’une douceur inimitable berce son remuant neveu. Seul point faible : l’absence de scénario à proprement parler, le montage du film de Marc constituant le prétexte plus que la raison d’être à cette succession de vignettes.
"Le Livre des solutions" a le défaut de ses qualités. Il est trop gentil. Et la gentillesse, c’est comme la crème chantilly : à petite dose, c’est délicieux, à grosse dose, ça devient vite écœurant.
Marc déborde d'énergie à la réalisation de son film. Son équipe va subir, à souhait, les solutions qu'il écrit sur un livre. La tante Denise (Françoise Lebrun) très juste dans le jeu. Un bon coté absurde, marrant qui n'est pas pour me déplaire.
Le dernier Gondry est aussi créatif que ses précédents, mais m'a laissée perplexe... des scènes qui sautent du coq à l'âne, une Denise parfaite en grand-mère bienveillante, un Niney excellent, mais le rire vient difficilement, si ce n'est dans une scène d'anthologie (l'orchestre). Le scénario ne tient pas la route. L'alter ego de Gondry refuse de voir son film monté, jusqu'à un final bâclé. 3 étoiles tout de même pour la créativité.
martial7178
Il n'est pas toujours simple de pénétrer l'univers de Michel Gondry, le réalisateur de ce film, qui est empreint de poésie, de surréalisme et de délires obsessionnels, mais ce film est sans doute d'une approche plus facile que les précédents.
Certes, demeurent quelques incohérences (on ne devient pas maire comme ça du jour au lendemain, il y a quelque chose qui s'appelle une élection en démocratie), mais les personnages sont attachants, particulièrement Françoise Lebrun, dans le rôle très humain de Denise.
Le personnage principal, interprété par Pierre Niney, fou furieux de la création artistique, mais imbuvable avec les autres, est au centre de ce délire qui nous laisse tout de même un peu sur notre faim. Ce film se laisse malgré tout regarder avec un certain plaisir.
Certes, demeurent quelques incohérences (on ne devient pas maire comme ça du jour au lendemain, il y a quelque chose qui s'appelle une élection en démocratie), mais les personnages sont attachants, particulièrement Françoise Lebrun, dans le rôle très humain de Denise.
Le personnage principal, interprété par Pierre Niney, fou furieux de la création artistique, mais imbuvable avec les autres, est au centre de ce délire qui nous laisse tout de même un peu sur notre faim. Ce film se laisse malgré tout regarder avec un certain plaisir.
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