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Cha
1 critique
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1,0
Publiée le 14 mars 2024
Décevant sera le maître mot après la visualisation de ce film. Sans aucun intérêt ! Imaginez vous une plonger dans la tête remplie de délires sans queue ni tête d'un patient en asile ou bien au milieu d'une soirée ou tout le monde a trop bu et que vous êtes le seul sobre... une pure perte de temps ! Passez votre chemin sera la meilleure des solutions
Je l'ai vu au cinéma à sa sortie je l'ai trouvé super. Je suis allée au cinéma s'en mettre trop me renseigner avant car je voulais être surpris. J'ai adoré comme toujours pierre niney qui joue a la perfection !? Je ne connaissais pas dutout ce réalisateur mais j'ai adoré son style les petits détails sont super comme le renard au milieu du film ou les petites mouches tout le long. Il a très bien réussi à nous montrer le trouble qu'il avait et même cette envie de faire de grandes choses. C'est un film super a voir en salle, car ça c'est du vrai cinéma !!
Superbe. De très beaux moments qui parlent de tout et à tous bien loin de la seule réalisation et bipolarité. Certains y ont vu de l’absurde, je n’en vois pas et c’est tant mieux, le propos est toujours très clair. C’était mon premier Gondry, malgré une réticence qui venait je ne sais d’où, j’ai particulièrement aimé la photographie et la manière de filmer, cette dernière était assez inédite à mes yeux. Ainsi que les rapports entre les personnages, vérité exacerbée par à la voix off. Humour très présent et entendable sur la première partie.
De ce film je retiendrai la scène de l'orchestre et le "- ça va ? - ça va et toi ?" à Sting. Le reste je ne suis pas sûre d'avoir tout compris. Mise en avant du génie toxique et fin expéditive. Dommage.
Avec Gondry, je partais méfiant, mais je dois avouer que la folie créatrice de Niney est assez contagieuse. On rit souvent de ses extravagances même si au final, on se fiche du film. Ce sont les péripéties qui sont amusantes et les petites piques que les personnages s’envoient.
Un réalisateur victime de ses névroses tente par tous les moyens (ou pas) de terminer son film… Michel Gondry dans toute sa splendeur, nous plie de rire tout en nous présentant -sûrement- ses propres névroses. Pierre Niney nous offre ce qu’il sait faire de mieux, c’est à dire tout. A la fois drôle, méchant, touchant, sa prestation dans certaines scènes les entraine dans un délire décalé qui fait mouche. Les seconds rôles non plus ne sont pas en reste. Seules une certaine justification du comportement du personnage de Pierre Niney avec la médicamentation, et une histoire d’amour en trop viennent peut-être entacher ce joli moment rempli de sincérité et d’amour pour le DIY.
J'ai du mal à définir ce film tragi comique que pierre niney tient à bout de bras. Son interprétation y est remarquable et confirme ses grands talents d'acteur. Le problème est qu'il est seul et que l'hsitoire tient sur un timbre poste. Dommage.
Avec Le Livre des solutions, Michel Gondri signe un film quasi autobiographique, mettant en scène ses troubles psychologiques, sa bipolarité, et comment cela a saborder son travail lors du tournage de l'Ecume des Jours. Le film est bien sûr porté par un Pierre Niney formidable, mais également des personnages secondaires tous brillamment écrits et brillamment interprétés. L'oeuvre est à la fois incroyablement drôle, et bouleversante, en conservant un équilibre parfait entre les deux.
Véritable coup de cœur, j'ai adoré Le livre des solutions. Léger, rafraîchissant et sans pretention, ce film montre le rêve de ce jeune réalisateur (Pierre Niney) un peu perché, entouré de son équipe technique, qui tente de finir son film. Il faut reconnaître l'immense talent de Pierre Niney, capable de jouer et de s'adapter à toutes les situations émotionnelles. Il y a beaucoup de tendresse et quelques pointes d'humour dans ce scénario accrocheur et plaisant. Les autres acteurs (actrices) sont très bon aussi et tous participent à cette histoire décalée et encore une fois pleine de tendresse.
Quel délice que ce fragment autobiopique de Michel Gondry. Ninet grâce à son interprétation tout en justesse nous ouvre les portes secrètes de l’esprit créatif et bouillonnant de Gondry. Un cerveau qui foisonne, qui ne veut pas dormir, qui se perd et saute du coq à l’âne car une idée en appelle une autre. Le film nous parle de Marc (pour ne pas l’appeler Michel - sans doute une petite marque de pudeur de la part de Gondry). Marc est un réalisateur de film mais pas comme les autres. Marc décontenance, agace, épuise mais Marc émerveille, touche, attendri et subjugue. Tantôt dictateur tyrannique, tantôt narcissique prétentieux, tantôt enfant adorable, tantôt génie magicien… Les plus hypersensibles s’y reconnaîtront peut être. Merci à Michel Gondry d’avoir tenter de nous faire entrer dans sa tête qui ne fonctionne pas comme celle des autre. Alors forcément quand ca sort du cadre ça provoque des réactions, de l’incompréhension et même du rejet. On le constate facilement en lisant les mauvaises critiques. Et puis il a ceux comme moi que ça amuse, que ça attendri et que ça émerveille. Mention spéciale pour la scène de création de la bande originale du film qui est incroyable.
On s'ennuie du début à la fin, je trouve que le jeu de niney manque de profondeur et tout le reste est de l'ordre du quotidien, on regarde pas un film pour voir une grand mère dans les cévennes...
Ben non j'ai pas super aimé. Je suis restée un peu en dehors du sujet. Les acteurs sont formidables, mais heureusement que j'ai vu et entendu beaucoup d'interview. Cela m'a permis de comprendre mais surtout d'être attendri pour l'histoire. Je ne sais plus comment cela se termine. Pierre Niney est incroyable.
« Le livre des solutions » est une sorte d’autoportrait de Michel Gondry incarné ici par un Pierre Niney au sommet de son art. Si le protagoniste principal est complètement foutraque mais proche du génie car il a mille idées à la seconde, il peut aussi se montrer détestable au possible avec son entourage. Toutefois, ça fait partie du personnage : il faut le prendre comme il est ! Nanti d’un très bon casting, ponctué de scènes loufoques, de disputes ou de séquences fabuleuses (cf. celle avec un invité surprise ou bien encore celle avec l’orchestre), ce film de Gondry, sorte de catharsis du cinéaste, est à son image : un peu borderline mais hyper attendrissant, un peu comme la tante Denise, volant presque la vedette à Marc ! Pas le meilleur du réalisateur certes qui a fait plus grandiose avec son chef-d’œuvre « Eternal Sunshine of the Spotless Mind », mais bien sympa au visionnage !