"C'est une sorte d'hymne à la connaissance, au Savoir qui aide l'humanité à échapper à l'obscurité de la bureaucratie et à l'âge des ténèbres", explique le réalisateur.
S'il met en scène deux marginaux qui tentent de trouver leur place dans le monde, L'Éducation d'Ademoka n'est pas pour autant un film sombre, comme le souligne Adilkhan Yerzhanov : "Les films sociaux ne doivent pas forcément être lourds et tristes, le public et les réalisateurs ont le choix d’embrasser une certaine légèreté, quelque soit l’importance du sujet."
Le réalisateur revendique une simplicité dans la mise en scène, afin de se concentrer sur les personnages : "Un minimum d'effets, de musique et d'action : rien ne doit détourner l'attention du spectateur des gens. Leurs sentiments et leurs luttes intérieures passent en premier".