Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Singulier, donc forcément précieux.
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’art poétique d’Adilkhan Yerzhanov dans toute sa splendeur et sa folie douce.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Ma. Mt
L’Education d’Ademoka abouche un maître défaillant et une pupille butée dans les termes d’un coaching aussi aberrant que burlesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier Bruyn
Quelque part entre Jacques Tati et Aki Kaurismäki, Adilkhan Yerzhanov examine en souriant l'absurdité de l'existence, la violence du monde et nous surprend avec son style toujours inventif.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film bienfaisant, magique, d’une immense beauté esthétique.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une grande œuvre de cinéma au charme pétillant et poétique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Tout semble évident comme dans une fable chaplinienne dans "L'Education d'Ademoka" [...]. Et c'est peut-être justement cette évidence qui en fait une œuvre plutôt mineure dans la filmographie de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une satire politique un peu mécanique mais qui sonne juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Eithne O’Neill
[Avec "Assaut"] Voici deux thrillers proches de pièces de théâtre hiératiques qui secouent.
Première
par Gael Golhen
L’interprétation magistrale de ses deux losers et la mise en scène très stylisée (qui évoque en vrac Kusturica ou Roy Andersson) rappelle que ce Yerzhanov possède un don de cinéma totalement unique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par La Rédaction
Fable parfois trop naïve, L’Éducation d’Ademoka évoque sans détour le sort réservé aux Lyulis, nomades souvent maltraités en Asie centrale. Reste le portrait attachant d’un professeur et sa jeune élève, déterminée à étudier malgré ses origines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Yerzhanov a [...] le goût de la fable et de la farce, et son problème serait [de] faire résonner trop fort les saillies de figures bouffonnes, tel le professeur à moitié sourd (Daniyar Alshinov), criant citation après citation à sa fidèle élève Ademoka (Adema Yerzhanova).
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Récit léger, qui repose essentiellement sur sa galerie de personnages d’outre-espace, avançant à coups de tableaux à l’absurdité forcée et de gags assez vite fatigants. C’est parfois tordant, mais bien trop balourd et apprêté pour que la folie prenne vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
Singulier, donc forcément précieux.
L'Humanité
L’art poétique d’Adilkhan Yerzhanov dans toute sa splendeur et sa folie douce.
Le Monde
L’Education d’Ademoka abouche un maître défaillant et une pupille butée dans les termes d’un coaching aussi aberrant que burlesque.
Les Echos
Quelque part entre Jacques Tati et Aki Kaurismäki, Adilkhan Yerzhanov examine en souriant l'absurdité de l'existence, la violence du monde et nous surprend avec son style toujours inventif.
Les Fiches du Cinéma
Un film bienfaisant, magique, d’une immense beauté esthétique.
aVoir-aLire.com
Une grande œuvre de cinéma au charme pétillant et poétique.
Culturopoing.com
Tout semble évident comme dans une fable chaplinienne dans "L'Education d'Ademoka" [...]. Et c'est peut-être justement cette évidence qui en fait une œuvre plutôt mineure dans la filmographie de son auteur.
L'Obs
Une satire politique un peu mécanique mais qui sonne juste.
Positif
[Avec "Assaut"] Voici deux thrillers proches de pièces de théâtre hiératiques qui secouent.
Première
L’interprétation magistrale de ses deux losers et la mise en scène très stylisée (qui évoque en vrac Kusturica ou Roy Andersson) rappelle que ce Yerzhanov possède un don de cinéma totalement unique.
Télérama
Fable parfois trop naïve, L’Éducation d’Ademoka évoque sans détour le sort réservé aux Lyulis, nomades souvent maltraités en Asie centrale. Reste le portrait attachant d’un professeur et sa jeune élève, déterminée à étudier malgré ses origines.
Cahiers du Cinéma
Yerzhanov a [...] le goût de la fable et de la farce, et son problème serait [de] faire résonner trop fort les saillies de figures bouffonnes, tel le professeur à moitié sourd (Daniyar Alshinov), criant citation après citation à sa fidèle élève Ademoka (Adema Yerzhanova).
Libération
Récit léger, qui repose essentiellement sur sa galerie de personnages d’outre-espace, avançant à coups de tableaux à l’absurdité forcée et de gags assez vite fatigants. C’est parfois tordant, mais bien trop balourd et apprêté pour que la folie prenne vraiment.