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Entre les murs d’un immeuble de bureaux déserts, quelque part en banlieue parisienne, Nicolas Silhol opère avec minutie, sans colère, sans misérabilisme et sans désespérance. Il filme la réalité brute de la pauvreté et la déshumanisation, dans une forme de polar social acéré.
Nicolas Silhol décrit avec un scrupuleux réalisme le mécanisme légal mais retors de la « protection par l’occupation » qui vise à empêcher les squatteurs d’occuper des logements provisoirement désertés. Ce film glaçant, au plus près d’une héroïne ordinaire, raconte quelques unes des dérives de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L’exploitation des plus précaires par d’autres qui le sont un peu moins. Décors étranges, mise en scène froide à souhait… Nicolas Silhol signe un thriller social réussi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Construit comme un thriller, servi par une mise en scène qui nous enferme comme ses habitants dans ce bâtiment sans âme, porté par le jeu tout en nuances de son actrice principale, le film dans sa volonté d’édification cède parfois à quelques facilités – le fils rebelle et ses raps maladroits – sans toutefois nuire à son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Tirant habilement parti de son décor glacial, il met en scène une Louise Bourgoin convaincante en trentenaire ambivalente partagée entre la morale et la nécessité.
Si le scénario patine par moments, Nicolas Silhol peut exploiter le décor d'une tour à l'abandon. On se croit parfois dans les ruines d'une civilisation rendue à la végétation. Image d'une guerre de territoires et d'un monde où s'impose la loi de la jungle.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Après "Corporate", Nicolas Silhol dénonce une nouvelle fois l'exploitation des individus, en évoquant le mal-logement. Sous ses allures de thriller social, le film se montre habile dans la théorie, mais son didactisme limite, par endroits, la portée de son propos.
Cinéaste engagé, Nicolas Silhol construit un angoissant huis clos sur le droit au logement et, malgré un récit parfois convenu, réussit, en empruntant au thriller, une fable originale sur la violence sociale.
Dans une mise en scène soignée, "Anti-Squat" aborde avec méthode un sujet original, avec pour mérite de mettre en lumière et de pointer les incohérences d'un dispositif encore peu connu, mais il ne parvient pas à nous émouvoir.
Si Nicolas Silhol tenait un dispositif dont on aurait pu attendre beaucoup d’idées visuelles, sa mise en scène préfère rester accrochée à sa plate dissertation politique sur capitalisme et la banalité du mal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Louise Bourgoin [est] impeccable en mère jonglant avec ses intérêts et ses principes. Et seule argument d'un film qui se perd entre un scénario filandreux et des poncifs sur le libéralisme et les « méchants propriétaires ».
Si Nicolas Silhol offre un rôle de composition sur mesure à Louise Bourgoin, la mise en scène froide, à la limite de l’invraisemblance, ne parvient pas à convaincre totalement de l’intérêt de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Entre mise en scène vide et absence de rythme, le film de Nicolas Silhol avec Louise Bourgoin sur les occupations d’immeuble ne parvient pas à prendre vie et verse parfois dans l’affreux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Nicolas Filhol, réalisateur de « Corporate », signe un film passionnant autour d’un personnage plus complexe qu’il n’y paraît.
CNews
Un film glaçant et poignant sous le signe du réalisme social.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Entre les murs d’un immeuble de bureaux déserts, quelque part en banlieue parisienne, Nicolas Silhol opère avec minutie, sans colère, sans misérabilisme et sans désespérance. Il filme la réalité brute de la pauvreté et la déshumanisation, dans une forme de polar social acéré.
La Voix du Nord
"Anti-Squat" fait partie de ces films qui nous donnent l’impression d’avoir appris des choses en sortant de projection.
Le Figaro
L'intrigue très actuelle frôle la dystopie et rappelle par bien des aspects le formidable cinéma d'Alain Jessua (Les Chiens, Paradis pour tous…).
Marianne
Nicolas Silhol décrit avec un scrupuleux réalisme le mécanisme légal mais retors de la « protection par l’occupation » qui vise à empêcher les squatteurs d’occuper des logements provisoirement désertés. Ce film glaçant, au plus près d’une héroïne ordinaire, raconte quelques unes des dérives de notre époque.
Télérama
L’exploitation des plus précaires par d’autres qui le sont un peu moins. Décors étranges, mise en scène froide à souhait… Nicolas Silhol signe un thriller social réussi.
CinemaTeaser
Après "Corporate", Nicolas Silhol continue d'explorer l'impossibilité des relations humaines dans un monde capitaliste.
L'Obs
Cinéma militant, juste et émouvant, austère mais nécessaire.
La Croix
Construit comme un thriller, servi par une mise en scène qui nous enferme comme ses habitants dans ce bâtiment sans âme, porté par le jeu tout en nuances de son actrice principale, le film dans sa volonté d’édification cède parfois à quelques facilités – le fils rebelle et ses raps maladroits – sans toutefois nuire à son sujet.
Le Journal du Dimanche
Tirant habilement parti de son décor glacial, il met en scène une Louise Bourgoin convaincante en trentenaire ambivalente partagée entre la morale et la nécessité.
Le Parisien
Même si le scénario s’inspire de faits réels [...] il s’avère si maladroit qu’il nous perd en cours de route.
Les Echos
Si le scénario patine par moments, Nicolas Silhol peut exploiter le décor d'une tour à l'abandon. On se croit parfois dans les ruines d'une civilisation rendue à la végétation. Image d'une guerre de territoires et d'un monde où s'impose la loi de la jungle.
Les Fiches du Cinéma
Après "Corporate", Nicolas Silhol dénonce une nouvelle fois l'exploitation des individus, en évoquant le mal-logement. Sous ses allures de thriller social, le film se montre habile dans la théorie, mais son didactisme limite, par endroits, la portée de son propos.
Ouest France
Sur une excellente idée, une réalisation et une interprétation très froides, y compris quand l’héroïne se met à douter.
Première
Malgré sa narration parfois mécanique, cette fable engagée nous plonge ainsi jusqu’au dernier plan dans une zone moralement trouble et captivante.
Télé 7 Jours
Cinéaste engagé, Nicolas Silhol construit un angoissant huis clos sur le droit au logement et, malgré un récit parfois convenu, réussit, en empruntant au thriller, une fable originale sur la violence sociale.
Voici
Creusant sa veine de cinéma social, Nicolas Silhol offre à Louise Bourgouin un rôle de mère courage tout en nuances.
Franceinfo Culture
Dans une mise en scène soignée, "Anti-Squat" aborde avec méthode un sujet original, avec pour mérite de mettre en lumière et de pointer les incohérences d'un dispositif encore peu connu, mais il ne parvient pas à nous émouvoir.
Le Monde
Si Nicolas Silhol tenait un dispositif dont on aurait pu attendre beaucoup d’idées visuelles, sa mise en scène préfère rester accrochée à sa plate dissertation politique sur capitalisme et la banalité du mal.
Télé 2 semaines
Louise Bourgoin [est] impeccable en mère jonglant avec ses intérêts et ses principes. Et seule argument d'un film qui se perd entre un scénario filandreux et des poncifs sur le libéralisme et les « méchants propriétaires ».
aVoir-aLire.com
Si Nicolas Silhol offre un rôle de composition sur mesure à Louise Bourgoin, la mise en scène froide, à la limite de l’invraisemblance, ne parvient pas à convaincre totalement de l’intérêt de l’histoire.
Libération
Entre mise en scène vide et absence de rythme, le film de Nicolas Silhol avec Louise Bourgoin sur les occupations d’immeuble ne parvient pas à prendre vie et verse parfois dans l’affreux.