Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film militant mais utile. Très efficace.
Public
par Sarah-Lévy Laithier
Tout simplement magistral !
Ecran Large
par La rédaction
Film aussi radical dans sa prise de position que nécessaire, Nos frangins use ainsi d'une esthétique glaciale, presque moribonde, et d'un montage impeccable en vue d'amorcer un dialogue entre les images d'archives, celles reconstruites pour les besoins du film et celles suivant les retors politiques et intimes de cette affaire sinistre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Camille Belsoeur
En définitive, Nos Frangins traite des mêmes faits que la série Oussekine d'Antoine Chevrollier, mais Rachid Bouchareb y ajoute un parti pris plus radical avec un focus supplémentaire sur les "victimes oubliées".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Mais, en faisant dialoguer des images d’archives avec la part de fiction du récit, il crée l’illusion de rapporter fidèlement les faits. De ce point de vue, c’est une réussite, souvent sidérante, bien rythmée et intelligemment construite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Admirablement construit, le film sonde les angles morts de ce double drame pour mieux en souligner l’injustice.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Françoise Dargent
Un récit traité avec finesse, qui remet en lumière la mort d’un autre jeune, moins médiatisée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Cau.
Tout en œuvrant au devoir de mémoire, Nos frangins, par sa lumière crépusculaire, nous plonge dans une nuit sans fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Avec « Nos Frangins », Rachid Bouchareb réalise un film poignant, qui se focalise sur la douleur des familles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Mis en scène avec sobriété et incarné par des acteurs irréprochables, ce film épuré honore la mémoire de deux garçons fauchés dans leur jeunesse et évoque avec pertinence les coulisses de deux affaires liées de façon inextricable et dramatique. Puissant et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Sobre et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Jacques Morice
Le meurtre d’un beur par un policier, la même nuit que la mort de Malik Oussekine.... L’autopsie sidérante d’une colère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un plaidoyer sobre, universel mais intimiste et solidement interprété (...).
L'Obs
par S. G.
Bouchareb sait faire jaillir l’émotion à travers l’affaissement d’un père (Samir Guesmi), la poésie d’un griot veillant les deux corps à la morgue ou des images retrouvées d’Abdel Benyahia.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un film qui va droit au but, pour ne pas oublier.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par E.M.
Dans la lignée d’Indigènes et Hors-la-loi, Rachid Bouchareb continue d’explorer les pages sombres de l’histoire coloniale et post-coloniale française avec ce film sobre, à la fois intime (la douleur des proches) et politique (la mécanique d’un mensonge d’État).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Comme encore meurtri par l’immense charge émotionnelle de cette affaire, la mise en scène de Bouchareb autrefois teintée d’un esthétisme excessivement glacé se pare d’une sobriété nouvelle et bienvenue. Sa caméra se met à juste distance pour capter la vive émotion de ces acteurs et actrices en même temps que la sordide mécanique de l’État pour cacher la vérité de cette affaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Par une série de choix discutables (invention d’un policier de l’Inspection générale de la police nationale confronté aux deux affaires, maquillage de plans de fiction en documents d’archives), le film neutralise sa portée politique jusqu’à devenir un étrange objet, empreint d’un didactisme maladroit mais troué ça et là de belles séquences qui touchent par la sobriété du trait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pierre Eisenreich
Un équilibre cinématographique difficilement tenu pour un sujet impérieux dont le souvenir et l’actualité sont toujours très prégnants.
Première
par Thomas Baurez
Avec pudeur et retenue, Rachid Bouchareb signe un long-métrage très documenté qui rappelle que le 6 décembre 1986, c’était malheureusement hier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un réquisitoire puissant et pertinent.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un film sobre et mesuré, Rachid Bouchareb rend un hommage appuyé à Malik Oussekine. Le propos est intéressant malgré un manque de rythme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
“Comme personnages, les Oussekine consistent à peine malgré la qualité de leurs interprètes (Reda Kateb et Lyna Khoudri entre autres), et Raphaël Personnaz demeure atone quand il se veut sans doute mystérieux en imperméable melvillien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le souci sincère de Rachid Bouchareb de rendre justice et hommage à Malik Oussekine et Abdel Benyaha, sa volonté de dénoncer un passé honteux et la brutalité policière, trouve ainsi sa limite dans sa nature hybride, mi-documentaire, mi-fiction, où la vérité factuelle serait percutée par quelques petits arrangements avec les faits.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Malik Oussekine est le mort connu de l’histoire politique contemporaine et de ce film, sur lequel Rachid Bouchareb n’apporte pas grand-chose de nouveau, même si la violence policière doit toujours être dénoncée et que l’histoire doit être racontée toujours aux jeunes générations qui n’ont pas vécu les événements.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Trente-six ans après l’affaire Oussekine / Benyahia, Rachid Bouchareb signe un hommage bancal : s’il voudrait remuer la mémoire collective et faire écho à des actualités récentes, le film reste malheureusement à la surface des choses.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Un film militant mais utile. Très efficace.
Public
Tout simplement magistral !
Ecran Large
Film aussi radical dans sa prise de position que nécessaire, Nos frangins use ainsi d'une esthétique glaciale, presque moribonde, et d'un montage impeccable en vue d'amorcer un dialogue entre les images d'archives, celles reconstruites pour les besoins du film et celles suivant les retors politiques et intimes de cette affaire sinistre.
Franceinfo Culture
En définitive, Nos Frangins traite des mêmes faits que la série Oussekine d'Antoine Chevrollier, mais Rachid Bouchareb y ajoute un parti pris plus radical avec un focus supplémentaire sur les "victimes oubliées".
L'Humanité
Mais, en faisant dialoguer des images d’archives avec la part de fiction du récit, il crée l’illusion de rapporter fidèlement les faits. De ce point de vue, c’est une réussite, souvent sidérante, bien rythmée et intelligemment construite.
La Croix
Admirablement construit, le film sonde les angles morts de ce double drame pour mieux en souligner l’injustice.
Le Figaro
Un récit traité avec finesse, qui remet en lumière la mort d’un autre jeune, moins médiatisée.
Le Monde
Tout en œuvrant au devoir de mémoire, Nos frangins, par sa lumière crépusculaire, nous plonge dans une nuit sans fin.
Le Parisien
Avec « Nos Frangins », Rachid Bouchareb réalise un film poignant, qui se focalise sur la douleur des familles.
Les Echos
Mis en scène avec sobriété et incarné par des acteurs irréprochables, ce film épuré honore la mémoire de deux garçons fauchés dans leur jeunesse et évoque avec pertinence les coulisses de deux affaires liées de façon inextricable et dramatique. Puissant et émouvant.
Marianne
Sobre et émouvant.
Télérama
Le meurtre d’un beur par un policier, la même nuit que la mort de Malik Oussekine.... L’autopsie sidérante d’une colère.
Voici
Un plaidoyer sobre, universel mais intimiste et solidement interprété (...).
L'Obs
Bouchareb sait faire jaillir l’émotion à travers l’affaissement d’un père (Samir Guesmi), la poésie d’un griot veillant les deux corps à la morgue ou des images retrouvées d’Abdel Benyahia.
La Voix du Nord
Un film qui va droit au but, pour ne pas oublier.
Le Journal du Dimanche
Dans la lignée d’Indigènes et Hors-la-loi, Rachid Bouchareb continue d’explorer les pages sombres de l’histoire coloniale et post-coloniale française avec ce film sobre, à la fois intime (la douleur des proches) et politique (la mécanique d’un mensonge d’État).
Les Inrockuptibles
Comme encore meurtri par l’immense charge émotionnelle de cette affaire, la mise en scène de Bouchareb autrefois teintée d’un esthétisme excessivement glacé se pare d’une sobriété nouvelle et bienvenue. Sa caméra se met à juste distance pour capter la vive émotion de ces acteurs et actrices en même temps que la sordide mécanique de l’État pour cacher la vérité de cette affaire.
Libération
Par une série de choix discutables (invention d’un policier de l’Inspection générale de la police nationale confronté aux deux affaires, maquillage de plans de fiction en documents d’archives), le film neutralise sa portée politique jusqu’à devenir un étrange objet, empreint d’un didactisme maladroit mais troué ça et là de belles séquences qui touchent par la sobriété du trait.
Positif
Un équilibre cinématographique difficilement tenu pour un sujet impérieux dont le souvenir et l’actualité sont toujours très prégnants.
Première
Avec pudeur et retenue, Rachid Bouchareb signe un long-métrage très documenté qui rappelle que le 6 décembre 1986, c’était malheureusement hier.
Télé 7 Jours
Un réquisitoire puissant et pertinent.
aVoir-aLire.com
Dans un film sobre et mesuré, Rachid Bouchareb rend un hommage appuyé à Malik Oussekine. Le propos est intéressant malgré un manque de rythme.
Cahiers du Cinéma
“Comme personnages, les Oussekine consistent à peine malgré la qualité de leurs interprètes (Reda Kateb et Lyna Khoudri entre autres), et Raphaël Personnaz demeure atone quand il se veut sans doute mystérieux en imperméable melvillien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le souci sincère de Rachid Bouchareb de rendre justice et hommage à Malik Oussekine et Abdel Benyaha, sa volonté de dénoncer un passé honteux et la brutalité policière, trouve ainsi sa limite dans sa nature hybride, mi-documentaire, mi-fiction, où la vérité factuelle serait percutée par quelques petits arrangements avec les faits.
Le Dauphiné Libéré
Malik Oussekine est le mort connu de l’histoire politique contemporaine et de ce film, sur lequel Rachid Bouchareb n’apporte pas grand-chose de nouveau, même si la violence policière doit toujours être dénoncée et que l’histoire doit être racontée toujours aux jeunes générations qui n’ont pas vécu les événements.
Les Fiches du Cinéma
Trente-six ans après l’affaire Oussekine / Benyahia, Rachid Bouchareb signe un hommage bancal : s’il voudrait remuer la mémoire collective et faire écho à des actualités récentes, le film reste malheureusement à la surface des choses.