AlloCiné
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Irritant et complaisant
J’avais bien aimé Brooklyn Village et Love is strange d’Ira Sachs, avant de déchanter avec le prétentieux Frankie de 2019. C’est donc dans la plus complète incertitude que je suis allé voir ces nouvelles 92 minutes. L'histoire de deux hommes qui sont ensemble depuis quinze ans et ce qui se passe quand l'un d'eux a une liaison avec une femme. Le postulat paraît simple, hélas, il n’est que simpliste. Ce scénario voudrait nous imposer une vision des choses comme une évidence qui s’appliquerait pour tous et en toute occasion. Heureusement c’est loin d’être le cas, aussi les mésaventures amoureuses d’un « héros » plus qu’antipathique m’ont totalement laissé froid. Dommage pour les acteurs qui font tout pour défendre l’indéfendable.
La gageure était de nous passionner au drame vécu par un type qui nous laisse totalement indifférent, tellement il est désagréable, égoïste, capricieux, manipulateur, narcissique et d’une immaturité crasse… Fermez le ban ! La gageure n’est évidemment pas tenue. Et les revirements sentimentaux de Thomas nous agacent beaucoup plus qu’ils ne nous intéressent. Quand je pense qu’on entend ici ou là parler d’un Jules et Jim de 2023. Ça me hérisse un tantinet le poil. Il n’y a là ni le talent, ni la poésie, ni la magie du chef d’œuvre de Truffaut. Il y a même un abîme entre les deux films. Et pour couronner le tout, quelle complaisance à filmer les scènes de sexe ! Ce n’est évidemment pas de la pudibonderie de ma part mais un simple attachement à discerner ce qui est utile ou pas dans l’évolution d’une histoire. La suggestion consiste à faire dans l'esprit des autres une petite incision où l'on met une idée à soi. Au passage, merci à Monsieur Victor Hugo qui a sûrement vu ce film désagréable à tout point de vue sauf ce lui du casting.
Franz Rogowski, très demandé en ce moment – et depuis 2018 avec Valse dans les allées où il était formidable, suivi de Great Freedom, Freaks out, Disco Boy -, nous la joue « James Cagney » pour faire croire à son personnage détestable. A ses côtés Ben Whishaw et Adèle Exarchopoulos, m’ont moins fait regretté d’être entré dans cette salle. Plus toxique, tu meurs ! Bref, prétentieux et narcissique, donc ennuyeux.
J’avais bien aimé Brooklyn Village et Love is strange d’Ira Sachs, avant de déchanter avec le prétentieux Frankie de 2019. C’est donc dans la plus complète incertitude que je suis allé voir ces nouvelles 92 minutes. L'histoire de deux hommes qui sont ensemble depuis quinze ans et ce qui se passe quand l'un d'eux a une liaison avec une femme. Le postulat paraît simple, hélas, il n’est que simpliste. Ce scénario voudrait nous imposer une vision des choses comme une évidence qui s’appliquerait pour tous et en toute occasion. Heureusement c’est loin d’être le cas, aussi les mésaventures amoureuses d’un « héros » plus qu’antipathique m’ont totalement laissé froid. Dommage pour les acteurs qui font tout pour défendre l’indéfendable.
La gageure était de nous passionner au drame vécu par un type qui nous laisse totalement indifférent, tellement il est désagréable, égoïste, capricieux, manipulateur, narcissique et d’une immaturité crasse… Fermez le ban ! La gageure n’est évidemment pas tenue. Et les revirements sentimentaux de Thomas nous agacent beaucoup plus qu’ils ne nous intéressent. Quand je pense qu’on entend ici ou là parler d’un Jules et Jim de 2023. Ça me hérisse un tantinet le poil. Il n’y a là ni le talent, ni la poésie, ni la magie du chef d’œuvre de Truffaut. Il y a même un abîme entre les deux films. Et pour couronner le tout, quelle complaisance à filmer les scènes de sexe ! Ce n’est évidemment pas de la pudibonderie de ma part mais un simple attachement à discerner ce qui est utile ou pas dans l’évolution d’une histoire. La suggestion consiste à faire dans l'esprit des autres une petite incision où l'on met une idée à soi. Au passage, merci à Monsieur Victor Hugo qui a sûrement vu ce film désagréable à tout point de vue sauf ce lui du casting.
Franz Rogowski, très demandé en ce moment – et depuis 2018 avec Valse dans les allées où il était formidable, suivi de Great Freedom, Freaks out, Disco Boy -, nous la joue « James Cagney » pour faire croire à son personnage détestable. A ses côtés Ben Whishaw et Adèle Exarchopoulos, m’ont moins fait regretté d’être entré dans cette salle. Plus toxique, tu meurs ! Bref, prétentieux et narcissique, donc ennuyeux.
"Passages" relate le parcours d'un séducteur narcissique, à un moment donné de son existence. Cédant à ses envies sans le moindre égard pour son époux, revenant en arrière sans la plus banale des considérations pour sa nouvelle compagne, il va et vient au gré de ses humeurs, prend mais donne peu, manipule parfois les uns et les autres sans aucune remise en question ou analyse de son propre comportement. Supportant difficilement la contrariété et la concurrence, il fait fi des conséquences et des douleurs qu'il inflige autour de lui. Dans ce rôle de moins en moins charmant à mesure que le film se déroule, Franz Rogowski est impeccable. Vampirisant l'écran, suintant de sensualité et érotisant chacune de ses apparitions, le comédien allemand trouve en Ben Whishaw et en Adèle Exarchopolous deux partenaires subtils mais leur partition sont parfois diluées dans des scènes sans intérêt qui font alors baisser le rythme d'un récit forcément intéressant mais pas inoubliable.
Excellent film, je ne comprends pas les critiques, même si c'est un peu rocambolesque, c'est tellement bien filmé et les acteurs sont convaincants.
Un récit convenu mais bien interprété. Un film qui sonne vrai qui n'arrive pour autant à se départir de certaines longueurs.
Film d'une platitude intersidérale ! Scénario ennuyeux, un soit disant égocentrique qui change d'avis toutes les quatres matins , jeux d'acteurs qui tombent dans le vide , mais qu'est venir fait Ben Wishaw là dedans ! Bref que ce soit au niveau du scénario, et de l'ensemble de l'intrigue , je l'ai regardé en location , à éviter !Nul!
bon film, des le début on sait à quoi s en tenir , film touchant sur les relations humaines, j ai aimé le fait de mixer anglais et francais ( dommage qu au cinema ce n est pas plus souvent le cas on serait tous bilingues :-) plus vite ), et que les acteurs ne parlent pas trop vite , film très suggestif qui donne à réfléchir sur le couplé, la famille , les relations et leurs désirs.... merci pour ce film qui nous aide à apprivoiser nos désirs et à savoir ce que l on voudrait d une relation. et si on passage pn peut parler mieux anglais c est parfait !
Tous ces français qui parlent anglais dans leur vie quotidienne à Paris... pas crédible. Les scènes dans la salle de classe... pas crédible non plus.
L'amour physique ,le désir, l'égoïsme, l'amour qui ne résiste pas à la médiocrité d'un quotidien, l'amour partagé, l'amour et sa jalousie, l'amour toxique ,l'amour fantasmé et impossible .
Des acteurs,trice, formidables qui nous embarquent avec leur sincérité et leur sensualité dans cette histoire dévorante.
Des acteurs,trice, formidables qui nous embarquent avec leur sincérité et leur sensualité dans cette histoire dévorante.
Un navet ! que dis-je une grosse daube! De la mauvaise soupe.
Bref une cuisine indigeste sans tenue ni rien pour tenir au corps
Scénario vide
Histoire pipi caca sans intérêt
Bref une cuisine indigeste sans tenue ni rien pour tenir au corps
Scénario vide
Histoire pipi caca sans intérêt
Film long à démarrer, intrigue pas terrible mais les acteurs arrivent a nous captiver. Il y a beaucoup de scènes inutiles et crues.
Des lenteurs et des incongruités comme l'usage de l'anglais dans des scènes où les personnages sont visiblement français. Avec un accent marqué. Plutôt absurde.
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