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    Passages
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    Aubert T.
    Aubert T.

    126 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    Mon Dieu que ce cinéma nombriliste et prévisible est vieillot... On reste à la porte de ce mélo risible où le spectateur n'est pas convié.
    N'est pas Bergman qui veut.
    Mélany T
    Mélany T

    32 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2023
    Merveilleux film au récit prenant et intelligent, à la mise en scène soignée et délicate et aux acteur.trice.s magistraux.ale.s qui nous emportent totalement.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    382 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2023
    Ce film qui a pour thème la complexité des rapports amoureux est assez réussi. Le scénario est parfaitement bien maitrisé. On suit avec intérêt les relations complexes entre un cinéaste et son ami puis avec une jeune femme. Tout cela est fort bien raconté dans ce film où les situations s’enchainent avec beaucoup de fluidité dans l’écriture. L’interprétation d’Adèle EXARCHOPOULOS toujours aussi convaincante contribue beaucoup à la qualité de ce film.

    Bernard CORIC
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 décembre 2023
    "Passages" s'apparente à un triangle amoureux avec comme personnage central, Tomas, marié à Martin, qui va changer d'orientation sexuelle en tombant sous le charme de la belle Agathe (Adèle Exarchopoulos). Filmé en anglais au coeur de la Capitale, Ira Sachs s'inspire clairement des codes de la nouvelle vague. Entre scènes assez crues et revirements amoureux, on peut voir en Tomas (Franck Rogowski), une sorte de pervers narcissique un peu paumé dans ses contradictions. Dommage que le film met autant de temps à se mettre en place car la fin est assez réussie. Pas inoubliable.
    FaRem
    FaRem

    8 770 abonnés 9 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 octobre 2023
    On dit qu'il y a toujours une personne qui aime plus que l'autre dans une relation et Tomas donne l'impression qu'il pense que Martin est cette personne dans leur couple. Il se permet donc des choses comme s'il pensait que Martin resterait là bien gentil à attendre et surtout à subir. Lorsqu'il prend conscience que ce n'est pas le cas, il remet en question ses choix. Je fais peut-être fausse route, mais c'est lui qui se dit égocentré par moment sauf que le monde ne tourne pas qu'autour de lui. Ce triangle relationnel construit autour de Tomas montre donc un personnage indécis et narcissique qui se moque du mal qu'il fait aux autres. Il veut quelque chose un jour et une autre le lendemain... Cette chronique sentimentale bien que convenue scénaristiquement parlant prend vie grâce à la bonne interprétation de Franz Rogowski et Adèle Exarchopoulos. Ils rendent ce triangle relationnel vivant et engageant alors même que l'histoire est simpliste et assez superficielle. J'ai bien aimé le film, mais il aurait pu être beaucoup plus puissant.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 386 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juillet 2023
    "Passages" est un triangle amoureux improbable sur le papier : la française Adèle Exarchopoulos, le britannique Ben Whishaw et l'allemand Franz Rogowski. Finalement, la dramaturgie autour de la toxicité des relations fonctionne et très ancré dans un contexte de réalisme. Mais c'est peut-être ce dernier point qui finalement, nous désintéresse peu à peu de leurs "je t'aime, moi non plus".
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mars 2024
    Un triangle amoureux toxique, assez terne et suscitant au final peu d’émotion, malgré un casting prometteur. 2,25
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 2 999 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 février 2024
    Partant d'un couple à la dérive et d'un quasi trio amoureux, Ira Sachs évoque la confusion des sentiments. L'enchaînement du récit est chaotique, la mise en scène minimaliste, l'unité de temps absente. Avec des personnages guère attachants, un ensemble creux, qui ne convainc pas.
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juillet 2023
    Tomas (Franz Rogowski) est un réalisateur allemand qui achève à Paris le tournage de son dernier film. En couple avec Martin (Ben Whishaw), un imprimeur d'art, il a une liaison avec Agathe (Adèle Exarchopoulos), une - bien improbable - enseignante. Va-t-il quitter Martin pour Agathe ou former avec Agathe, qui leur donnera peut-être un enfant, et Martin, un trouple à l'équilibre toujours instable ?

    Ira Sachs est un réalisateur américain à la solide filmographie, sorte de Woody Allen gay. Comme son illustre voisin, il a réalisé plusieurs films indépendants mettant en scène New-York et ses habitants si originaux. Comme son aîné, il vagabonde depuis quelques années en Europe. En 2019, il tourne au Portugal "Frankie" avec des acteurs français (Isabelle Huppert, Pascal Greggory), belge (Jérémie Rénier), britannique, irlandais (Brendan Gleeson), portugais, américain (Marisa Tomei, Greg Kinnear). Le casting de "Passages" est tout aussi cosmopolite avec son trio d'acteurs franco-anglo-allemand.

    Le résultat n'est qu'en partie réussi. Franz Rogowski campe un réalisateur irascible et omnipotent, dans lequel on se demande quelle dose de masochisme Ira Sachs a mis de lui-même, qui rappelle les ogres fassbindériens pervers et manipulateurs. On se demande aussi lequel, de Martin ou d'Agathe, sera le plus blessé par les changements d'humeur de ce monstre d'égoïsme. Tomas alterne avec eux les enflammements les plus pressants et les rebuffades les plus cinglantes.

    N'eût été le charme incandescent d'Adèle Exarchopoulos, face à qui je perds toute objectivité, et celui non moins troublant de Ben Whishaw, qui ébranlerait presque mon hétérosexualité tellement woke, ce film m'aurait été insupportable, comme m'ont été insupportables l'interprétation de Franz Rogowski, ses tenues de minet et sa diction chuintante.
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2023
    C'est marrant le regard que portent les américains sur le cinéma français, sorte de Nouvelle Vague qui ne se serait jamais vraiment terminée et où la France se résume à Paris. C'est en tout cas le film que signe Ira Sachs nous présentant deux gays américains qui vivent à Paris (du coup, tout le monde parle anglais, ce qui ne fait qu'accroitre ce côté film d'auteur mélange culturel artsy insupportable) qui font la rencontre d'une femme dont l'un d'eux tombe amoureux. Bon, on ne peut être plus dans du film d'auteur, c'est une sorte de "Jules et Jim" mais avec deux gays, le genre de triangle amoureux qu'on a vu dix fois au cinéma, que ce soit dans des films d'auteur, grand public ou sulfureux ; enfin bref, le film qui avait tout pour ne pas me plaire ! Mais au vu du casting et ma curiosité me poussant à aller plus loin que l'affiche et le synopsis, j'ai quand même tenté et je dois bien avouer que je ne regrette pas. En effet, même si on y retrouve tous les poncifs du film d'auteur intello (mais alors dont les codes sont poussés x10 quoi !), je dois dire que je n'ai pas forcément passé un mauvais moment car si le fond n'a rien d'original, l'histoire est en réalité plutôt bien traitée. C'est-à-dire qu'elle ne prend pas son spectateur de haut, ce n'est pas une histoire intello avec des plans super longs que seul un cinéphile averti pourrait comprendre ou aimer, on reste dans quelque-chose de très accessible et tout simplement dans un film qui ne se contente que de simplement dérouler son histoire sans artifices inutiles. De plus, la courte durée du film permet au film de ne pas s'éparpiller et de rester concentrer sur ses trois personnages principaux et sur son histoire qui est certes clichée et remplie de stéréotypes (surtout venant d'un américain, c'est décuplé) mais qui fascine étrangement son spectateur. Concernant le casting, nous retrouvons donc Adèle Exarchopoulos qui a décidée de faire pleins de trucs en 2023, Franz Rogowski et Ben Whishaw qui jouent bien. "Passages" peut donc en agacer plus d'un pour son côté très cinéma d'auteur faussement libéré car finalement très formaté mais m'a personnellement séduit par son histoire que j'ai trouvé sincère.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juillet 2023
    Ira Sachs restitue bien l’écartèlement synonyme de dilemme permanent que suppose la bisexualité, qui contraint Tomas à « passer » comme l’annonce le titre de son film, qui est également celui du nôtre. Le personnage ne cesse d’aller et venir, de monter les escaliers un vélo sous le bras pour mieux les redescendre, chargé de ce même vélo ainsi que d’affaires diverses (catalogues d’art, cadres…) qu’il déplace d’un foyer à l’autre, depuis l’homme vers la femme et inversement ; les plans en caméra embarquée suivant le cycliste lancé à toute allure dans les rues de Paris comptent parmi les plus belles et les plus émouvantes d’un film qui tend à se perdre dans les incertitudes de son protagoniste principal jusqu’à une certaine complaisance dans son malheur – le voilà genoux sur le sol à demander pardon à celle qu’il aime, dans une posture de repentance que le réalisateur laisse durer avec impudeur – que jalonnent des séquences de sexe explicites parfois gratuites, notamment celle captée de dos qui continue encore et encore sans ajouter à la réconciliation et aux retrouvailles qu’elle doit incarner.
    Ira Sachs témoigne néanmoins d’une inventivité visuelle, qui transparaît dans la superbe séquence d’ouverture sous forme de mise en abyme du long métrage tout entier ainsi que dans l’attention portée à l’espace où s’incarnent des rapports de pouvoir : l’appartement de Martin où s’invite Tomas quitte à le déranger et à briser son intimité, ce qui lui rappelle qu’il est sexuellement passif ; la maison de campagne achetée à deux, que Martin souhaite vendre en dépit de l’idéal communautaire (déboulonné par la souffrance d’Agathe qui assiste, en qualité d'auditrice, aux ébats de son compagnon) ; la salle de classe enfin, lieu qui appartient à Agathe par la souveraineté qu’elle exprime en congédiant Tomas. Passages constitue donc une œuvre intelligente et vibrante d’humanité, forte d’une direction d’acteurs remarquable.
    Nicolas N.
    Nicolas N.

    30 abonnés 770 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Ma critique pour ce film de Ira Sachs va être peut être sévère pour certains, cependant j'ai trouvé ce film tres mauvais et ce malgré Adèle Exarchopoulos que j'adore vraiment, ce film mélange dejà deux langue ce qui est ennuyant à suivre, allez y soit en français, soit en anglais mais pas les deux svp. Franz Rogowki est un peu spécial également. Le sujet du film est pas abouti et va pas au fond je trouve.
    Fiers R.
    Fiers R.

    109 abonnés 441 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2023
    Il faut avouer que le personnage principal du nouveau film d’Ira Sachs, celui qui est le plus mis en avant dans ce triangle amoureux, est hautement détestable. Ses actions, son narcissisme exacerbé, son inconséquence et son égoïsme en font un personnage toxique, agaçant et déplaisant. Mais comme lorsque le méchant d’un film est le héros, au hasard et dans un tout autre registre « Pitch Black » par exemple, cela n’empêche pas pour autant une œuvre d’être réussie. On ne cautionne donc pas les actions de ce Tomas, on ne l’apprécie pas mais on apprécie le film dont il est le héros. « Passages » parvient également à rendre son canevas amoureux vu et revu, notamment dans un certain cinéma français passéiste dont il s’inspire, moins classique que prévu. C’est d’ailleurs un peu grâce au côté queer de cette œuvre et à la patte d’un auteur étranger posant sa caméra dans la ville Lumière. Un auteur du cinéma indépendant américain dont on sait à quel point il aime à sonder le couple dans tous ses états.

    Il l’a fait dans quasiment toutes ses œuvres que ce soit en mode hétéro (« Married life ») ou gay (« Love is strange ») et toujours sur un mode plus dramatique que léger. Ce « Passages » ne déroge pas à la règle mais en allant chatouiller cette fois la bisexualité puisqu’on a affaire à un couple gay marié dont l’un d’eux va tomber amoureux d’une jeune femme. Amoureux de la France et de son cinéma, Sachs y tourne son premier film après avoir fait jouer Isabelle Huppert à Lisbonne dans le sympathique « Frankie », son film précédent. S’il n’évite pas certains clichés parisiens (et du cinéma d’auteur tricolore y afférant), le film ne sombre pas pour autant dans la caricature. Que ce soit dans sa peinture du milieu artistique (l’un des deux hommes est réalisateur, l’autre imprimeur et leurs amis sont dans la littérature), dans celle d’un certain milieu bourgeois ou même sur le versant queer tout de même un peu poussé. On échappe donc au Paris de carte postale, au communautarisme et au microcosme de personnages qui n’existent que dans un cinéma indépendant fantasmé.

    Curieusement, le long-métrage peine à nous faire ressentir la ou les passion(s) ressentie(s) par les trois personnages. L’osmose entre eux laisse parfois à désirer mais l’électron libre Franz Rogowski et son timbre de voix si singulier emportent le morceau bien que l’on ait envie de gifler son personnage toutes les cinq minutes. C’est paradoxalement ce qui nous fait dire que sa prestation de dans le rôle de ce presque pervers narcissique est réussie. Adèle Exarchopoulos, décidément de plus en plus passionnante, et Ben Wishaw sont plus effacés et presque engloutis par leur partenaire mais cela semble fait exprès. Le film est captivant et toujours juste dans sa peinture d’une relation toxique et certaines scènes sont très réussies (le dîner avec les parents). Ces flux incessants entre les trois personnages, dont deux dépendent du troisième, sont admirablement dépeints et si Sachs ne réalise pas là son meilleur film, il nous convainc néanmoins.

    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    @placeoflucas
    @placeoflucas

    27 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juillet 2023
    Un film qui prend (trop) son temps pour nous montrer ce que les personnage peuvent développés. Pourtant tout le long du film, jusqu'à la toute fin, on s'accroche à un trio amoureux assez envoûtant et plus que bien interprété.

    Mais cette construction de personnages est, pendant une large partie du film, annihilée ou dans un moindre mesure découse par une mise en scène fastidieux.

    Globalement, le film manque d'une espèce de magie qui aurait pu faire qu'on ressorte du film quelque peu touché... Mais cette touche d'émotion, terriblement nécessaire pour ce genre de film, n'est jamais assez présente.
    Lil Sprite
    Lil Sprite

    43 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 août 2023
    Le film a sûrement pas mal de qualités . Mais je n'ai vraiment pas aimé. Qu'est ce que je m'en fou des histoires de fesses d'un bobo bourgeois qui pense que la terre tourne autour de lui. Pas intéressé et pas intéressant. Même Adèle Exarchopoulos n'a pas rendu le métrage un minimum divertissant....
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