Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Zoé Lhuillier
Et c’est bien l’instabilité de sa fuite en avant qui rythme le film, transformée en moteur dramaturgique de ses va-et-vient et de ses coups de reins.Toute ébauche de portrait est alors avortée par les enjeux formels de la mise en scène du passage, qui transforment les personnages en forces désirantes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ce drame cru et impitoyable plonge dans les abîmes tristes des relations toxiques et chaotiques : il est élevé par la performance intense et déchirante de l’acteur allemand.
Elle
par Françoise Delbecq
Un très beau film sur l'illusion de vivre ensemble qui repose beaucoup sur le jeu des acteurs (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ira Sachs crée des ambiances sur un script subtil, destiné à une mise en scène élégante, car discrète et vraie. En fin observateur, il capte les sentiments humains au-delà des particularismes, mais à travers eux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par S. G.
L’Américain Ira Sachs, admirateur de Pialat, ne cède jamais à l’attendu dans ce précis des douleurs à la douceur empoisonnée engendrées par un narcisse électrique. Chacun (même si Rogowski règne sans conteste) y joue admirablement sa partition.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tout en nuances subtiles, incarnant un réalisateur narcissique et imprévisible, Franz Rogowski, érotisé et sexy comme jamais, vit et aime selon son bon plaisir : un homme (Ben Whishaw) et une femme (Adèle Exarchopoulos).
Le Figaro
par É.S.
Chaque personnage, homme ou femme, se bat avec ses armes. La jalousie circule entre les êtres. Si la trame est convenue, le récit n'est jamais prévisible. Passages est presque un film à suspense.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Chronique sentimentale poignante, Passages excelle à dresser le portrait d’un personnage tendu à miner ses relations.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Un triangle amoureux dans le Paris des cafés. Où le cinéaste new-yorkais met à nu les émotions des protagonistes, formidablement interprétés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Il faut attendre (trop) longtemps avant que "Passages" ne dépasse les scènes attendues pour vraiment creuser ses personnages et leurs dilemmes. Un Ira Sachs en mode mineur donc, malgré quelques très beaux moments.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le trio que tente de former Tomas, dans Passages, est un courant d’air : le réalisateur narcissique passe des bras de l’un à l’autre, fait sa loi et prend les commandes du récit, le film s’articulant autour du pur désir, au risque parfois de rester dans une surface cosmétique – tout le monde est beau et tendance, comme la décoration des appartements.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Et le reste du film délaisse les plateaux de cinéma pour l’intimité des chambres à coucher et le balancement du cœur de Tomas entre ses deux amant·es. Le triangle amoureux plutôt que la mise en abyme du cinéma, "Jules et Jim" plutôt que "La Nuit américaine".
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par A. A. B.
Le film, malgré un scénario assez simpliste, ne laisse pas indifférent.
Critikat.com
par Josué Morel
La mise en scène en pointillé d'Ira Sachs affiche ici pleinement ses limites.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
"Passages" possède les apparats d’un simulacre de film d’auteur français tel que peuvent se l’imaginer des cinéphiles étrangers. [...] Le film se voudrait moderne, dans l’air du temps, mais à l'image des derniers Mikhaël Hers, il est phagocyté par ses amours cinéphiles et son désir de ressembler aux modèles du passé.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce film, qui scrute l’indécision d’un homme partagé entre son amour pour son mari et pour une femme, ne parvient pas plus que son personnage à trouver un équilibre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Laura Tuillier
Le long métrage d’Ira Sachs, élégant mais schématique, ne parvient pas à faire émerger de réel enjeu entre les trois faces de son triangle amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un mélo amoureux, hélas englué dans ses références à la Nouvelle Vague et les poncifs.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Dommage que les personnages manquent de chair et de profondeur, pourtant défendus brillamment par l’incandescent Franz Rogowski et le subtil Ben Whishaw.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Prétentieux et narcissique, Passages répète une tentation d’un certain cinéma d’auteur à raconter des histoires totalement décalées de la réalité quotidienne et sociale des spectateurs. Ira Sachs réalise un film hélas aussi invraisemblable qu’orgueilleux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par La Rédaction
Premier film tourné en France du cinéaste indépendant américain Ira Sachs, « Passages » fatigue rapidement tant son récit s’avère sinistre, sa mise en scène plate, et sa cinématographie d’une fadeur déroutante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le réalisateur américain Ira Sachs signe un film français… qui, malgré ses comédiens, rassemble tous les clichés du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Frédéric Foubert
Le "marivaudage façon Nouvelle Vague réalisé par un Américain à Paris" est l'un genres les plus redoutables qui soit et Ira Sachs, à l'exception de quelques belles scènes de sexe, accumule les poncifs touristiques, qui sont peut-être exotiques vus de New York, mais totalement disqualifiants ici.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Et c’est bien l’instabilité de sa fuite en avant qui rythme le film, transformée en moteur dramaturgique de ses va-et-vient et de ses coups de reins.Toute ébauche de portrait est alors avortée par les enjeux formels de la mise en scène du passage, qui transforment les personnages en forces désirantes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce drame cru et impitoyable plonge dans les abîmes tristes des relations toxiques et chaotiques : il est élevé par la performance intense et déchirante de l’acteur allemand.
Elle
Un très beau film sur l'illusion de vivre ensemble qui repose beaucoup sur le jeu des acteurs (...).
Franceinfo Culture
Ira Sachs crée des ambiances sur un script subtil, destiné à une mise en scène élégante, car discrète et vraie. En fin observateur, il capte les sentiments humains au-delà des particularismes, mais à travers eux.
L'Obs
L’Américain Ira Sachs, admirateur de Pialat, ne cède jamais à l’attendu dans ce précis des douleurs à la douceur empoisonnée engendrées par un narcisse électrique. Chacun (même si Rogowski règne sans conteste) y joue admirablement sa partition.
Le Dauphiné Libéré
Tout en nuances subtiles, incarnant un réalisateur narcissique et imprévisible, Franz Rogowski, érotisé et sexy comme jamais, vit et aime selon son bon plaisir : un homme (Ben Whishaw) et une femme (Adèle Exarchopoulos).
Le Figaro
Chaque personnage, homme ou femme, se bat avec ses armes. La jalousie circule entre les êtres. Si la trame est convenue, le récit n'est jamais prévisible. Passages est presque un film à suspense.
Les Fiches du Cinéma
Chronique sentimentale poignante, Passages excelle à dresser le portrait d’un personnage tendu à miner ses relations.
Télérama
Un triangle amoureux dans le Paris des cafés. Où le cinéaste new-yorkais met à nu les émotions des protagonistes, formidablement interprétés.
Ecran Large
Il faut attendre (trop) longtemps avant que "Passages" ne dépasse les scènes attendues pour vraiment creuser ses personnages et leurs dilemmes. Un Ira Sachs en mode mineur donc, malgré quelques très beaux moments.
Le Monde
Le trio que tente de former Tomas, dans Passages, est un courant d’air : le réalisateur narcissique passe des bras de l’un à l’autre, fait sa loi et prend les commandes du récit, le film s’articulant autour du pur désir, au risque parfois de rester dans une surface cosmétique – tout le monde est beau et tendance, comme la décoration des appartements.
Les Inrockuptibles
Et le reste du film délaisse les plateaux de cinéma pour l’intimité des chambres à coucher et le balancement du cœur de Tomas entre ses deux amant·es. Le triangle amoureux plutôt que la mise en abyme du cinéma, "Jules et Jim" plutôt que "La Nuit américaine".
Télé 2 semaines
Le film, malgré un scénario assez simpliste, ne laisse pas indifférent.
Critikat.com
La mise en scène en pointillé d'Ira Sachs affiche ici pleinement ses limites.
Culturopoing.com
"Passages" possède les apparats d’un simulacre de film d’auteur français tel que peuvent se l’imaginer des cinéphiles étrangers. [...] Le film se voudrait moderne, dans l’air du temps, mais à l'image des derniers Mikhaël Hers, il est phagocyté par ses amours cinéphiles et son désir de ressembler aux modèles du passé.
La Croix
Ce film, qui scrute l’indécision d’un homme partagé entre son amour pour son mari et pour une femme, ne parvient pas plus que son personnage à trouver un équilibre.
Libération
Le long métrage d’Ira Sachs, élégant mais schématique, ne parvient pas à faire émerger de réel enjeu entre les trois faces de son triangle amoureux.
Ouest France
Un mélo amoureux, hélas englué dans ses références à la Nouvelle Vague et les poncifs.
Paris Match
Dommage que les personnages manquent de chair et de profondeur, pourtant défendus brillamment par l’incandescent Franz Rogowski et le subtil Ben Whishaw.
aVoir-aLire.com
Prétentieux et narcissique, Passages répète une tentation d’un certain cinéma d’auteur à raconter des histoires totalement décalées de la réalité quotidienne et sociale des spectateurs. Ira Sachs réalise un film hélas aussi invraisemblable qu’orgueilleux.
Le Parisien
Premier film tourné en France du cinéaste indépendant américain Ira Sachs, « Passages » fatigue rapidement tant son récit s’avère sinistre, sa mise en scène plate, et sa cinématographie d’une fadeur déroutante.
Les Echos
Le réalisateur américain Ira Sachs signe un film français… qui, malgré ses comédiens, rassemble tous les clichés du cinéma français.
Première
Le "marivaudage façon Nouvelle Vague réalisé par un Américain à Paris" est l'un genres les plus redoutables qui soit et Ira Sachs, à l'exception de quelques belles scènes de sexe, accumule les poncifs touristiques, qui sont peut-être exotiques vus de New York, mais totalement disqualifiants ici.