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Dans un film noir captivant, Stéphane Demoustier détricote les clichés cinématographiques associés à l'île de beauté. Cette fiction magistrale s'impose comme l'une des plus belles réussites de l'année du côté du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ce tableau en creux d’une criminalité régionale passionne d’autant plus que d’excellents seconds rôles (notamment le débutant Louis Memmy, Moussa Mensali et Pablo Pauly) rendent chaque protagoniste crédible.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
S’éloignant du démontage des mécanismes d’un piège, Demoustier s’efforce de rendre visible la logique d’une liberté individuelle qui finit par brouiller les rapports entre vérité et mensonge, fidélité et trahison.
Dans l'énigme qu'est Hafsia Herzi, réside une perfection idéale. Il fallait son mystère indéchiffrable, sa complexité remarquable, et évidemment son talent de grande actrice, pour servir ce rôle d'une gardienne de prison qui bascule en une héroïne des marges, complice d'un crime dont elle-même semble étonnée.
Pas de folklore ici. Juste un engrenage insidieux qui fait d’un agent de l’État la complice de dangereux truands, par l’entremise d’un jeune ex-détenu au visage angélique. Mais à la détermination glaçante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
D'une écriture sèche, brute, Stéphane Demoustier exploite avec finesse un fait divers réel, en s'alliant un consultant de choix, l’avocat Pascal-Pierre Garbarini.
« Borgo » immerge le spectateur dans cette prison pas comme les autres, avec ses codes et ses propres règles. Les scènes carcérales sont fascinantes, parfois drôles, d’une justesse saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Inspiré d’un fait divers, le film de S. Demoustier s’appuie sur une mise en scène sobre et l’interprétation - toujours très juste - de Hafsia Herzi. À défaut d’édifier, la proposition convainc.
Hitchcockien par excellence, le renversement du voyeur ou de la voyeuse devenu·e objet du regard lance avec force toute la matière de thriller de Borgo.
Faisant un sort aux clichés habituels sur la Corse, Stéphane Demoustier signe un film à la tension sourde où il rend sans cesse crédible et prenante la lente descente aux enfers de cette matonne, peu à peu dépassée par les services de plus en plus importants qu’on lui demande.
La critique complète est disponible sur le site Première
Stéphane Demoustier a su créer de subtils décalages entre les personnages de Borgo et leurs interprètes : Saveriu, incarné par Louis Memmi, a l’air d’un bon garçon, pas d’un petit voyou, et le commissaire campé par Michel Fau n’a rien, lui non plus, de typique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si la représentation qui est faite de la Corse par Stéphane Demoustier est assez calamiteuse, le film dégage une puissance narrative digne des meilleurs thrillers.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Une volonté anti spectaculaire irrigue le film qui privilégie la précision discrète de la mise en scène afin de dépeindre l’étouffement lent et progressif de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Point central de l’action pour un personnage bord-cadre, insaisissable, jamais complètement explicité, et dont les nombreuses zones de mystères et les dilemmes moraux repartent avec elle à l’issue de ce piège infernal.
Ce que le film a de meilleur tient dans la révélation de cet engrenage insidieux qui, tant dans la réalité carcérale qu’insulaire, prend appui sur une nécessaire culture du compromis pour conduire à la transgression pure et simple de la loi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dans la peau de cette femme tentée par le gangstérisme, Hafsia Herzi est à nouveau épatante, maman poule pour les prisonniers qui finissent par se brûler les ailes et la conscience.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le film ne trouvera pas la clé des agissements de Mélissa. Moins par finesse dans la mise en œuvre de son mystère que par lacunes dans la construction du personnage, petite mère des taulards qu’on finit par trouver incroyablement irréfléchie. Le naturel harmonieux du casting reste seul à déborder du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Echos
Stéphane Demoustier signe un film noir magistral et offre à Hafsia Herzi l'un des plus beaux rôles de sa carrière.
Marianne
Dans un film noir captivant, Stéphane Demoustier détricote les clichés cinématographiques associés à l'île de beauté. Cette fiction magistrale s'impose comme l'une des plus belles réussites de l'année du côté du cinéma français.
Ouest France
Une histoire aussi dépaysante que haletante, qui mélange avec brio les codes du film social et du polar.
Sud Ouest
Brillant, haletant, implacable : l’un des chocs de ce mois d’avril dans les salles obscures.
20 Minutes
Ce tableau en creux d’une criminalité régionale passionne d’autant plus que d’excellents seconds rôles (notamment le débutant Louis Memmy, Moussa Mensali et Pablo Pauly) rendent chaque protagoniste crédible.
Bande à part
Un double meurtre mystérieux. Une île dont la beauté ne saurait faire oublier la violence. D'entrée, Borgo nous plonge en immersion totale.
Cahiers du Cinéma
S’éloignant du démontage des mécanismes d’un piège, Demoustier s’efforce de rendre visible la logique d’une liberté individuelle qui finit par brouiller les rapports entre vérité et mensonge, fidélité et trahison.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans l'énigme qu'est Hafsia Herzi, réside une perfection idéale. Il fallait son mystère indéchiffrable, sa complexité remarquable, et évidemment son talent de grande actrice, pour servir ce rôle d'une gardienne de prison qui bascule en une héroïne des marges, complice d'un crime dont elle-même semble étonnée.
Femme Actuelle
L'histoire semble crédible, et surtout elle bénéficie beaucoup du jeu habité de Hafsa Herzi, puissant par sa retenue.
Franceinfo Culture
Stéphane Demoustier n'est pas corse, mais son film est incroyablement réaliste sur l'atmosphère parfois tendue et les usages locaux.
L'Obs
Un polar carcéral passionnant porté par Hafsia Herzi.
La Croix
Un thriller subtil, dénué d’artifices et de clichés.
La Voix du Nord
Pas de folklore ici. Juste un engrenage insidieux qui fait d’un agent de l’État la complice de dangereux truands, par l’entremise d’un jeune ex-détenu au visage angélique. Mais à la détermination glaçante.
Le Dauphiné Libéré
D'une écriture sèche, brute, Stéphane Demoustier exploite avec finesse un fait divers réel, en s'alliant un consultant de choix, l’avocat Pascal-Pierre Garbarini.
Le Figaro
Un film qui vise juste.
Le Journal du Dimanche
Hafsia Herzi impose un beau mélange de solidité physique et de fragilité morale dans un univers très masculin.
Le Parisien
« Borgo » immerge le spectateur dans cette prison pas comme les autres, avec ses codes et ses propres règles. Les scènes carcérales sont fascinantes, parfois drôles, d’une justesse saisissante.
Le Point
Un thriller sobre et prenant.
Les Fiches du Cinéma
Inspiré d’un fait divers, le film de S. Demoustier s’appuie sur une mise en scène sobre et l’interprétation - toujours très juste - de Hafsia Herzi. À défaut d’édifier, la proposition convainc.
Les Inrockuptibles
Hitchcockien par excellence, le renversement du voyeur ou de la voyeuse devenu·e objet du regard lance avec force toute la matière de thriller de Borgo.
Marie Claire
Complexe, le film interroge le système carcéral, ses failles et ses injustices.
Première
Faisant un sort aux clichés habituels sur la Corse, Stéphane Demoustier signe un film à la tension sourde où il rend sans cesse crédible et prenante la lente descente aux enfers de cette matonne, peu à peu dépassée par les services de plus en plus importants qu’on lui demande.
Télérama
Stéphane Demoustier a su créer de subtils décalages entre les personnages de Borgo et leurs interprètes : Saveriu, incarné par Louis Memmi, a l’air d’un bon garçon, pas d’un petit voyou, et le commissaire campé par Michel Fau n’a rien, lui non plus, de typique.
Voici
Un polar intime et carcéral troublant.
aVoir-aLire.com
Si la représentation qui est faite de la Corse par Stéphane Demoustier est assez calamiteuse, le film dégage une puissance narrative digne des meilleurs thrillers.
Culturopoing.com
Une volonté anti spectaculaire irrigue le film qui privilégie la précision discrète de la mise en scène afin de dépeindre l’étouffement lent et progressif de son héroïne.
La Septième Obsession
Point central de l’action pour un personnage bord-cadre, insaisissable, jamais complètement explicité, et dont les nombreuses zones de mystères et les dilemmes moraux repartent avec elle à l’issue de ce piège infernal.
Le Monde
Ce que le film a de meilleur tient dans la révélation de cet engrenage insidieux qui, tant dans la réalité carcérale qu’insulaire, prend appui sur une nécessaire culture du compromis pour conduire à la transgression pure et simple de la loi.
Paris Match
Dans la peau de cette femme tentée par le gangstérisme, Hafsia Herzi est à nouveau épatante, maman poule pour les prisonniers qui finissent par se brûler les ailes et la conscience.
Télé 2 semaines
Un scénario prenant.
Télé 7 Jours
Cultivant habilement le mystère de son personnage, Hafsia Herzi en impose.
Télé Loisirs
Malgré des acteurs inégaux et parfois décevants, le film, porté par une Hafsia Herzi convaincante, séduit grâce à un scénario prenant.
Libération
Le film ne trouvera pas la clé des agissements de Mélissa. Moins par finesse dans la mise en œuvre de son mystère que par lacunes dans la construction du personnage, petite mère des taulards qu’on finit par trouver incroyablement irréfléchie. Le naturel harmonieux du casting reste seul à déborder du cadre.