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    Venus
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    Fabrice C.
    Fabrice C.

    22 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mars 2024
    Jusqu a la moitié, bien, ca donne envie d' aller plus loin..... et plus le film avance plus ca devuent du grand grand n importe quoi, limite honteux....
    Spider cineman
    Spider cineman

    162 abonnés 2 067 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Si le début semble prometteur le scénario dans l immeuble en plus d être improbable devient réellement n importe quoi … ce n est tellement plus crédible que l on décroche
    eldarkstone
    eldarkstone

    231 abonnés 2 100 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2024
    Ce Realisateur nous a habitué à mieux. Ici un film des plus simples, avec des scènes des airs de déjà vu, trop de lenteurs et peu de surprises. Juste pas mal.
    Fiers R.
    Fiers R.

    114 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 avril 2024
    S’il n’a certes pas proposé que des œuvres mémorables, le cinéaste espagnol Jaume Balaguero est un incontournable du cinéma de genre hispanique. On lui dont le terrifiant « La Secte sans nom », son premier film, la saga « REC » dont les deux premiers épisodes sont devenus cultes et des modèles du genre ou encore l’excellent suspense malsain « Malveillance ». Il a aussi pas mal de ratés à son actif mais de le voir s’associer ici à un autre cinéaste espagnol rompu (et reconnu) dans le domaine du film de genre, Alex de la Iglesia, est alléchant. Ce dernier, plus connu pour ses propositions qui marient fantastique, horreur ou suspense à de l’humour noir (« Nos chers voisins » ou « Le jour de la bête ») agit ici en tant que producteur. L’alliance des deux est intrigante surtout qu’ils prennent comme actrice principale, la jeune comédienne espagnole qui monte : Ester Exposito. Découverte dans les premières saisons de la série Netflix « Elite » (les seules dignes d’intérêt) et ayant bien élargi ses horizons depuis entre cinéma d’auteur et série à gros budget, elle ajoute à la curiosité que peut entraîner ce « Venus » ...

    Alors si cette série B n’est pas parfaite, loin s’en faut, elle est assez originale, folle et imprévisible pour qu’on y passe un bon moment de détente et de frissons. La première partie est aussi captivante qu’inattendue et prépare un mélange des genres plutôt galvanisant. En effet, on marie ici une intrigue de polar à base de trafic d’ecstasy dans un club techno avec une gogo danseuse en fuite dans le rôle principal couplée à une sorte de huis-clos fantastique à base de sorcellerie dans une vieille tour délabrée et tout cela baigné dans le contexte particulier d’une éclipse imprévisible avec un corps céleste en approche de la Terre (!). Beau programme azimuté, même si la seconde partie a un peu de mal à mixer convenablement tout cela et part un peu dans tous les sens, avec certaines directions et idées convaincantes et d’autres frôlant le ridicule.

    L’univers dans lequel prend place cette histoire est convaincant. Faire venir des personnages de malfrats ou de gangsters dans un contexte où horreur ou fantastique sont présents devient de plus en plus utilisé, comme si le massacre de ces derniers apportait du plaisir au spectateur. Mais, ici, il faudra attendre le dernier acte pour cela car toute l’attention est braquée sur la fuyarde qui retrouve sa sœur et sa nièce durant les prémisses donnant de l’humanité et un ancrage réel au film. Et durant près d’une heure, Exposito est presque de tous les plans et impressionne en femme de poigne qui ne va pas se laisser faire. En plus d’être d’une beauté renversante, elle est crédible quand vient le moment de donner des coups. Et les traumas du personnage sont bien approfondis pour un film du genre. La mise en scène à la photographie grisâtre de Balaguero d’où seul le rouge du sang semble ressortir est plutôt racée et en adéquation avec la proposition. C’est donc prenant, tendu et intrigant puisqu’on se demande où ces indices étranges vont nous mener (la servante que l’on ne voit pas et qui apporte des cadeaux, les cauchemars, la traque des trafiquants, la disparition de la sœur et les étranges voisines du dessus, tout cela avec cet astre en approche que l’on entend sur les télés...).

    Malheureusement, le dernier acte qui compile enfin tout cela est quelque peu chaotique. Il lâche peut-être un peu trop la bride et nous balance tous ces éléments dans une mixture visuelle et narrative pas toujours très digeste. Si des fulgurances formelles viennent nous flatter la rétine comme les séquences de magie noire et que des idées viennent nous heurter (lorsque la fameuse servante apparaît, on peut dire qu’on n’a pas vu telle monstruosité malaisante depuis des lustres!), c’est tout de même souvent un peu trop poussif et cela frôlerait presque à maintes reprises le ridicule avec certaines scènes n’ayant ni queue ni tête (Lucia qui ne meure pas après certaines blessures reste l’exemple le plus improbable). Si on enlève ce final grand-guignolesque souvent dans le mauvais sens du terme, c’est assez perché, original et généreux dans la terreur et ses expressions pour passer un petit moment sympa.

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    DavY Croquette
    DavY Croquette

    54 abonnés 1 203 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mars 2024
    J'ai rien compris... Malgré ça, dans l'ensemble le film n'est pas trop mal. Mais le mélange des genres est problématique pour la compréhension globale. Les 29 dernièresinutes sont wtf...
    Henri M
    Henri M

    54 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 avril 2024
    Déjà ce film n’est pas un film d'’horreur, ce n’est RIEN.
    Un argument qui semble pas où il va, et en fait, il ne sait pas où il va.
    C'est la première et mauvaise version d'un scénario qu'un adolescent étudiant en cinéma écrirait en un week-end .
    Bien sûr, la fin n’est pas du tout prévisible, mais si elle ne l’est pas du tout c'est malheureusement pour une mauvaise raison : C'est sans aucun doute la pire partie du film.
    C'est un scénario de mauvais étudiant.

    Dès le début ça ne prend pas : une gogo danseuse de la discothèque "Fabrik" de Madrid décide de voler des pilules (le seul motif du film c'est peut-être de permettre à l'actrice à la mode d'être sexy tout le temps) dans la boîte de nuit où elle travaille et abandonnant sa voiture et son téléphone portable à environ trois mètres de la salle... pour marcher jusqu'à un immeuble d'où, inexplicablement, elle ne repart plus. Et bien, après avoir longtemps attendu que quelque chose d’excitant se produise, plus des trois quart du film, il semble que quelque chose va se passer...

    Il y a de la secte satanique dans l'air, une pleine lune semble sur le point de déclencher une invasion extraterrestre, une déesse du mal approche, et puis finalement pshitte, à peu près rien.

    Rien ne marche, rien n'est même correct, ce n'est pas de l'horreur, ce n'est plus du thriller, les méchants semblent provenir des télétubbies, qui sont sûrement plus intelligents!

    Dix minutes avant la fin l'héroïne , badasse s'exclame : Et maintenant on va danser; On se dit qu'aux moins ces dix dernières minutes vont tourner au règlement de comptes efficace contre les méchants, les sorcières, la servante monstrueuse, la déesse du mal...


    On a droit à un combat minimaliste avec un des méchants, et à un tir au fusil sur une vieille !

    Et la fin, oui j'y reviens encore est tellement stupide que j'en est ressenti de la gêne pour le réalisateur. Car on a du mal à croire que le réalisateur de Rec ait pu commettre un film aussi vide Parfois, il vaut mieux prendre sa retraite à temps. Avec un scénario aussi mal construit, il est difficile de proposer quelque chose de décent qui ne puisse même pas être décrit comme du gore adolescent bon marché. Un autre grand échec du cinéma espagnol qui prétend faire du cinéma d’horreur et fait honte.

    Ne perdez pas votre temps là-dessus.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    218 abonnés 2 871 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 avril 2024
    Sans grande proposition, Jaume Balagueró flirte sur son dernier film qui l'amenait pourtant à se renouveler côté filmo. Venus 2024, le ramène à ses sources, sans grande leçon et le braquage devient Horreur ou presque. Ce qui en soit aurait pu être grandement fun façon REC, premier grand succès pour lui, est ici plutôt inspiré du cinéma italien façon Giallo, posé et théâtral. La fin était d'ailleurs attendue pour être des plus mordante mais il n'en est rien.
    pfloyd1
    pfloyd1

    136 abonnés 2 117 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2024
    C'est un film tout en intensité tant dans son histoire que dans sa palette de personnages charismatiques, des "gueules" bien choisies. Lorsque Lucia, danseuse de boite de nuit, décide de changer sa vie en volant la drogue de son patron, tout s’accélère, tensions vives, l'histoire prend une tournure angoissante et réussie mêlée à une affection soudaine qui sera la rencontre de sa petite nièce qu'elle ne connais pas. Joli tour de force, les rythme est fort et les différents personnages de l'histoire accentue cette fuite pour la survie. Le brin de fantastique ne dénature heureusement pas le ton de l'histoire...
    Le pirate 70
    Le pirate 70

    1 abonné 66 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mars 2024
    Mou mal realisé des erreurs partout... Pas assez de tension... l actrice joue bien mais la realisation et le scénario ne sont pas à la hauteur de cette dernière.... 1,5 sur 5 ne perdez pas votre temps
    Marc L.
    Marc L.

    47 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 novembre 2024
    Cette fois, j’avais vraiment envie d’y croire : la carrière post-[REC] de Jaume Balaguero a été une succession de rendez-vous manqués et de satisfactions mitigées et ‘Venus’, en proposant de mixer le huis-clos lovecraftien avec de vrais morceaux de maison hantée dedans (‘Venus’ est librement inspiré de ‘Dream in the witch house’, une de mes nouvelles favorites de cet auteur) et le film de gangsters à la sauce EuropaCorp, deals de drogue, gros flingues et sales trognes, me semblait à même de relever le niveau, en tout cas de proposer quelque chose de différent. Quand on a regardé quelques films d’horreur ibériques ces dernières années, spécifiquement ceux de Balagueró mais aussi de son ancien complice Paco Plaza, on en repère d’instinct les marqueurs : la petite fille, les soeurs qui ont du mal à communiquer, les vioques trop avenantes pour être honnêtes, les résidus du franquisme…et dans ‘Venus’, à côté de ça, on découvre une pègre madrilène brossée à si gros traits qu’elle ferait passer la caractérisation des gangsters chez Besson pour du Proust. A défaut d’être d’une franche originalité, l’atmosphère de cet immeuble à moitié abandonné est assez convaincante et ‘Venus’ parvient à ménager ses effets en repoussant au maximum le moment de découvrir ce qui s’y trame…mais quand il décide que c’est le moment, il y va franco et le pot-aux-roses, il le balance aux murs en poussant des cris sauvages : tous les éléments qui éveillaient des soupçons se retrouvent précisément là où on le pensait, Lovecraft copule frénétiquement avec Clive Barker, les bandits débarquent avec leurs gros sabots et leurs punchlines mongolo et l’héroïne blessée et traumatisée se transforme en Terminator. Précisons que le scénario balance aux orties toute la cohérence qu’il s’était efforcé de respecter à peu près jusque là et ne recule plus devant aucun excès. A mes yeux, l’agencement foireux n’est jamais très éloigné de l’expertise en syncrétisme, et les grands (ou petits) films malades ont toujours eu mes faveurs et je sens bien que ‘Venus’, même s’il est objectivement bancal et de plus en plus bâclé à mesure qu’on avance dedans, même avec une scène finale dont je ne parviens pas à m’expliquer le côté ridicule et auto-parodique (on a l’impression qu’il s’agit d’un autre film) me restera sans doute plus en mémoire que d’autres films d’horreur plus solides mais aussi plus impersonnels et timorés.
    Clint B
    Clint B

    54 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Jaume Balaguero a aussi fait de la daube en barre, force est de constater que j'ai trouvé Venus plutôt sympa. J'ai aimé ce mélange des genres, et quand cela doit être bourrin, ça l'est ! Il y a quelques longueurs mais au final on passe un bon moment, parfois déjanté, mais c'est fun. Bref, ça passe crème.
    Louise D.
    Louise D.

    4 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2023
    Ça commence comme une très bonne série B et ça se dégrade de façon très régulière jusqu'à finir comme un épouvantable navet. Rien d'autre à ajouter.
    Lil Sprite
    Lil Sprite

    44 abonnés 563 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2023
    Vu en Avant première au festival de Gérardmer, Venus est un film qui est divertissant mais qui a le cul entre plusieurs chaises. C'est à la fois un Thriller mafieux, un film de sorcellerie, un survival....bref. Il aurait dû se tenir à un seul choix pour une meilleure cohérence.
    Reste que Ester Exposito est incroyable dans son rôle.
    Tragmuab E
    Tragmuab E

    8 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2024
    spoiler: C'est l'histoire de Lucia une danseuse exotiques qui décide de voler un sac rempli de drogue au mafieux qui est le patron de la boite ou elle danse, tout ne va pas se passer comme elle le voulait, elle va donc être obligée de ce réfugié chez sa sœur qui vie dans un immeuble qui semble être habité par une entité maléfique. Histoire/scénario : mélanger des mafieux et un film avec des entités maléfiques, oui, pourquoi pas, même si cela a déjà été fait, ça reste intéressant.


    Acteurs : un film espagnol, donc pas la peine de vous dire que les acteurs sont loin d'être connus, même s'ils se débrouillent plutôt bien.

    Effets spéciaux : il n'y en a pas de vraiment d'impressionnants, mais ils sont plutôt convaincants, surtout au niveau des plaies et du sang. Le tout rend bien et les décors bien glauques vont bien avec le film.

    VF/Bande son : la VF est bonne et rien à signaler côté bande son.

    Le film est dans l'ensemble plutôt pas trop mal avec un suspens qui s'installe, car ont ne sait pas ce qui se passe dans cette immeuble, mais ensuite ça retombe très vite et le pire reste la fin, mais complètement débile et qui fini en queue de poisson comme pas mal de films d'horreurs.
    Kowalski
    Kowalski

    2 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2023
    Le succès critique et public du réalisateur espagnol Jaume Balagueró ne s’est jamais vraiment démenti depuis qu’il est sélectionné dans tous les festivals fantastiques européens (depuis La Secte Sans Nom, REC... et bien d’autres). Venus ne déroge pas à la règle d’un cinéma de genre de haute tenue et d’excellente facture.
    Si, selon certains, il échoue sur le terrain du film d’horreur, il réussit brillamment sur celui du thriller (mafieux de type drug/deal) mixé avec un fantastique de malédiction infernale (la tour Vénus), qui rappelle au moins autant la trilogie des trois mères (Argento, le giallo donc) que les sorcières de Rob Zombie (The Lords of Salem, auquel on pense forcément).
    Bien sûr, Balagueró ne transcende pas le genre, mais il joue avec tel un virtuose, ne laissant rien au hasard, et parvient à maintenir une tension dramatique jusqu’au bout. Le scénario est donc un modèle du genre, avec twists inventifs, violence poisseuse... et incarnation ardente d’Ester Expósito, superbe révélation du film !
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