Une incursion assez courageuse dans un mélange des genres audacieux: la science-fiction et le film de banlieue! Ce n'est pas toujours très heureux dans ses choix, c'est parfois maladroit ou confus et ça n'a pas toujours les moyens de ses ambitions, mais le film a toutefois l'énorme mérite d'être volontaire, généreux et décomplexé. On ressent un côté Carpenter assez jouissif, un amour pour la série B et les comics et l'envie d'offrir un film inattendu qui claque! Pas une réussite totale mais mérite toutefois le détour!
Un film original, qui ose quitte à se casser parfois la gueule (le coup du fauteuil Iron Man m a laissé pour le moins dubitatif). Nerveux il casse un peu les codes du film social pour s aventurer dans le cinéma de genre et y trouver une vraie personnalité, même si son image des personnages qui sont ramenés systématiquement à ce quartier peut paraître simpliste. Loin d être parfait, il est intrigant et atypique et ce sont là des qualités.
Un mélange de genre assez réussi avec pour ma part des maladresses dans le scénario et sur les dialogues qui sonnent parfois faux. Mais l intention est bonne, et assez original avec une unité de lieu dans une banlieue où l on ne sait pas à quelle période se déroule l action dans le futur ou les temps actuels qui peut s apparenter à une dystopie. On flippe beaucoup de cette bande de jeunes qui dirige cette banlieue en ayant chassé les anciens avec des pratiques assez mystérieuses et ésotériques presque comme une secte qui nous fait basculer vers la science-fiction. Un début encourageant du réalisateur Cédric ido.
Un univers étrange qui aurait pu être passionnant mais qui est tellement mal traité ! quelle déception ! Et avec des acteurs discutables. Un film qui pourra faire penser au très bon "la Horde". ----Décembre 2023----
1/5 c est quoi ce film serieux? et ca sort au cinema ça? bon en meme temps meme pas 15mille entrée et c est normal
bon deja ils ont un mini mini budget et c est pas ,un probleme quand ca se voit pas a l ecran mais ici ça ce voit
deja la mise en scene,la realisation fait tres amateur..je parlais du mini budget mais quand il y a derriere une mise en scene ou un vrai bon real on s en fout
mais ici encore une fois tout fait amateur,l ambiance ,les acteurs ,les dialogues .. meme Hafsia Herzi qui est une bonne actrice ici elle est super mal dirigée et les quelques scenes avec elle sont risible et pas credible meme sur un simple dialogue
je vous passe la scene vers la fin avec le frere et sa chaise roulante façon robocop et le combat qui s en suit ,
je me suis dit mais je suis devant quoi la ? On aurait dit une bagarre façon production AB production pour ceux qui connaissent
ou un court metrage youtube avec 500euro de budget.. et encore sur youtube on peut voir des courts metrages bien mieux realiser que ce film bref casting qui fait ce qu il peut mais avec une mise en scene et une real d amateur comme j ai dit au debut de cette critique c est quoi ce film serieux?
La posture victimaire et les clichés sociaux inhérents au film de banlieue en moins, “La Gravité” de Cédric Ido peut faire évoluer sa meute de jeunes lascars de la cité en survêtement - surnommés “Les Ronins” - dans une atmosphère étrange sous fond d’alignement de planètes et de ciel rougeâtre pesant au-dessus des têtes comme une sorte d'Armageddon. Les Ronins voient en ces manifestations célestes, la fin de règne des grands frères du quartier représentés entre autres par Christophe (Jean-Baptiste Anoumon), un taulard fraîchement libéré de prison et Joshua (Steve Tiencheu), un dealer sur fauteuil roulant depuis une chute lorsqu’il était un gamin. Le business de Joshua ne peut se faire qu’avec l’aide de son frère valide Daniel (Max Gomis). Daniel, coureur de fond de haut niveau que l’on nous présente sur une piste d’athlétisme, essaye tant bien que mal de s’émanciper de sa condition, mais il doit aider son frère. Encore une journée et il quittera le pays pour le Canada avec sa compagne Sabrina (Hafsia Herzi) et la fille de celle-ci, pour une nouvelle vie loin des tours et du béton. Mais pour l’heure, les Ronins se font de plus en plus présents dans la zone. A la manière d’un bataillon de Bikers - enfourchant motos et scooters - les jeunes s’organisent autour d’un certain Tino (Bilel Chegrani), semblant être leur leader. Le long-métrage se fait mystérieux au fur et à mesure de flash infos capitalisants sur ce ciel magnifique et menaçant à la fois. Le ton monte entre Joshua, Christophe, Daniel et la jeune génération par l’entremise de Jovic (Olivier Rosemberg), un paumé jouant double-jeu. La confrontation sera inévitable dans une dernière partie surprenante qui fait de “La Gravité”, une œuvre à part, oscillant entre le film catastrophe - sur lequel pèse une atmosphère de fin du monde - le film d’art martiaux, le drame social, le comic book, et le polar urbain. Un drôle de mélange qui est aussi audacieux qu’imparfait !
Ce film est tout simplement médiocre. Scénario ayant aucun sens, jeux d’acteur a désirer. La fin du film n’a aucun rapport avec l’histoire, d’ailleurs il n’y a pas vraiment d’histoire. Si vous voulez perdre votre temps regardez ce film
Un film sur une histoire de jeune de banlieue et de gang très originale que j'ai vraiment bien aimé. Mais le gros point noir de ce film est la fin qui me semble être vraiment bâclée, ou alors c'est moi qui n'ai rien compris à l'histoire de la planète, des étoiles.
La Gravité. Un bon opus parmi les dernières productions Françaises, filmés dans les cités. Le côté mystique ajouté à l'histoire donne un plus sympathique. Trois étoiles et demie.
J'ai pour ma pars trouvé le film extrêmement mauvais tant sur le scénario que sur la réalisation du film de plus l'interprétation des comédiens et les dialogues laissent à désirer bref passer votre tour ...
La Cité vue de l'intérieur opposant deux générations de caïds et de sauvageons (les "Ronins" samouraïs). L'ambiance est inquiétante artificiellement car tous ces "gangsters" s'inquiètent d'un alignement de planètes qui rougit anormalement le ciel. Les 3 caïds trentenaires sont dépassés mais ils résistent bien par des artifices ingénieux : sacré grabuge après transformation du fauteuil roulant... La photographie est intéressante et les plans rapprochés obligent à proposer des mouvements de caméra audacieux. Le final est inracontable mais très astucieux, transformant le film en une fable métaphorique.