AlloCiné
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Votre avis sur En même temps ?
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Ce film est un ovni bien sûr, on s'y attendait, mais après un début poussif et de mise en place, il est carrément génial. Cet humour et dérision, critique de notre société sur ce nombreux plans est hilarante. Des woke, de l'inclusif dont on se bidonne, des politiques et tyrannie du changement climatique, peu de choses échappent au regard corrosif de Kerven et Delepine.
On se sent mal ... Jonathan Cohen nous fait pourtant rire d'habitude mais là le film est gênant ... On n'aurait pu imaginer une coopération de ces deux hommes de manière humoristique sans avoir à leur coller la bite dans le dos toute la durée du film.
On se sent nous aussi collé au siège partagé entre l'envie de quitter la salle et de rester dans l'espoir qu'enfin quelque chose ne se dégage du film. C'est un échec.
On se sent nous aussi collé au siège partagé entre l'envie de quitter la salle et de rester dans l'espoir qu'enfin quelque chose ne se dégage du film. C'est un échec.
Nous étions clairement seul dans la salle avec ma famille, il n'y a eu aucun rire...
C'est un film composé quasiment de plans séquence.
On s'ennuyait, pourtant la bande annonce était vraiment pas mal, mais tous les gags tombaient à l'eau.
JE DÉCONSEILLE A TOUT LE MONDE CETTE CATASTROPHE A VITE OUBLIER
C'est un film composé quasiment de plans séquence.
On s'ennuyait, pourtant la bande annonce était vraiment pas mal, mais tous les gags tombaient à l'eau.
JE DÉCONSEILLE A TOUT LE MONDE CETTE CATASTROPHE A VITE OUBLIER
AZZZO
Gustave Kervern et Benoît Délépine forment un duo d'auteur dont l'humour et le cynisme sont indispensables. Leur film sont drôles, décapants, parfois déroutants, mais souffrent pour la plupart du même mal : une mauvaise fin. Et c'est malheureusement encore le cas pour ce nouvel opus. L'idée de départ est géniale, on rit beaucoup... puis l'histoire piétine et la confrontation des valeurs de Jonathan Cohen avec celles de Vincent Macaigne finit par ne plus créer d'amusement ou d'agacement. C'est dommage.
Bien sûr que C est génial ! Comme d habitude et même mieu encore ! Pas étonnant qu il ne passe que dans de toutes petites salles tant il tape sur tout le monde. Puis C est beau, et décalé visuellement parlant aussi ! Continuez à nous régaler ! Merci !
A part quelques scènes interessantes très ponctuellement, le film est très long pour en arriver là où il veut en arriver. C'est plutôt un film que j'aurai regardé à la télé en faisant autre chose plutôt qu'au cinéma.
Si je mets deux étoiles à ce laborieux délire, c'est pour l'idée de base et son potentiel comique, c'est pour la pertinence du propos auquel j'adhère totalement (qu'il s'agisse de l'urgence écologique ou du patriarcat sous toutes ses formes) et surtout parce que j'aime bien le duo Kervern/Delépine, tellement leur folie douce a fait mouche souvent sur moi.
Mais je n'irai pas plus loin. Cette fois j'ai dû me forcer pour sourire franchement et si c'est arrivé cinq fois sur la longueur du film, c'est tout le bout. Le reste du temps je regardais deux gugusses et trois nanas faire leur taf, ramer pour donner du peps à un scénario manquant de rythme, balancer quelques répliques bien senties et un tas de messages écolo-socio-politiques, pertinents mais surlignés au marqueur bien trop fluo.
Très vite et jusqu'au bout, je me suis demandé quand le comique allait enfin commencer à...décoller !
Mais je n'irai pas plus loin. Cette fois j'ai dû me forcer pour sourire franchement et si c'est arrivé cinq fois sur la longueur du film, c'est tout le bout. Le reste du temps je regardais deux gugusses et trois nanas faire leur taf, ramer pour donner du peps à un scénario manquant de rythme, balancer quelques répliques bien senties et un tas de messages écolo-socio-politiques, pertinents mais surlignés au marqueur bien trop fluo.
Très vite et jusqu'au bout, je me suis demandé quand le comique allait enfin commencer à...décoller !
Je n ai pas aimé.
Les sketchs grotesques s'enchaînent et m'ont très vite ennuyé.
Avec beaucoup de générosité, la fin du film semble un peu interessante puisque les 2 acteurs principaux échangent et partagent leus idées et leur vision de la politique.
J'ai perdu mon temps d'aller voir ce film.
Les sketchs grotesques s'enchaînent et m'ont très vite ennuyé.
Avec beaucoup de générosité, la fin du film semble un peu interessante puisque les 2 acteurs principaux échangent et partagent leus idées et leur vision de la politique.
J'ai perdu mon temps d'aller voir ce film.
Une nouvelle réussite du tandem Kervern-Delépine. Comme à leur habitude, ils passent à la moulinette les tics et travers de l'époque, toujours justes, toujours percutants. La mise en scène est recherchée, jouant sur les arrières-plans, comme dans la séquence d'ouverture où la caméra est focalisée sur le chauffeur du maire de droite (Hakim Amokrane, hilarant). Cette comédie féministe vaut aussi par le jeu des activistes (India Hair, Jehnny Beth et Doully), les apparitions de François Damiens, Yolande Moreau, Laetitia Dosch et Anna Mouglalis ainsi que celles de Kervern et Délépine, respectivement en patron de bistrot inconsolable et photographe animalier. Un régal.
Comme souvent avec ce duo de réalisateurs, quelques bonnes idées mais peu de rigueur au niveau du scénario et beaucoup de redites... En même temps, ils ont convoqué ici deux excellents comédiens (l'inénarrable Macaigne en tête) et la toujours étonnante India Hair en activiste pas complètement convaincue, et leur mise en relation fonctionne assez bien. Après avoir vilipendé l'uberisation forcenée dans leur précédent opus, ce nouveau film, sorti pendant cette période d'élections, tombe donc à pic, à défaut de tomber toujours juste.
Drôle. Satirique. Rabelaisien. Très réussi. Des idées folles improbables qui poussent la dérision dans des métaphores sans ménagement à l'encontre des ecolos, de la Droite et de la société machiste et en même temps des excès et des contradictions des féministes.
Yves G.
Après une soirée bien arrosée lors de laquelle le premier (Jonathan Cohen), élu macroniste cynique, était censé arracher l'accord du second (Vincent Macaigne), écologiste bon teint, pour la construction d'un parc de loisirs à l'emplacement d'une forêt centenaire, deux maires de province se retrouvent suite à l'action d'un commando féministe collés l'un à l'autre. Comment se sortiront-ils de cette situation embarrassante ?
Le dixième film du tandem Kervern-Délépine est sorti sur les écrans quatre jours avant le premier tour de la présidentielle. Une échéance qui décidément a aimanté la production cinématographique dont on a vu plusieurs films de plusieurs genres sortirent autour de cette date ("Les Promesses", "La Campagne de France", "Le Monde d'hier"...). En même temps emprunte à la comédie sinon à la parodie. Le projet était séduisant et la présence derrière la caméra de ce duo de réalisateurs, parmi les plus incisifs que le cinéma français connaisse, dont les précédents films ("Effacer l'historique", "I Feel Good", "Saint-Amour"...), grâce à un cocktail unique d'humour absurde et de poésie misérabiliste, avaient réussi à merveille à croquer la "France d'en bas", mettait l'eau à la bouche.
Les critiques pourtant faisaient grise mine et le public n'a pas suivi. En même temps a fait un bide et n'était plus à l'affiche, quatre semaines après sa sortie, que dans quelques rares salles parisiennes. cela ne m'a pas empêché d'aller l'y voir et de m'y amuser.
Même si son scénario est un peu faiblard qui, une fois les deux héros collés l'un après (après une scène hilarante que je vous laisse découvrir), se borne à leur faire enchaîner une succession de rencontres improbables (avec un vétérinaire, une naturopathe, des policiers étonnamment gauchistes, etc.), les situations sont drôles et les gagas font mouche. J'ai souvent souri, j'ai parfois ri et, cul-serré comme je suis, c'est suffisamment rare pour ne pas être salué !
Car "En même temps" fait mouche en se moquant gentiment du macronisme (Jonathan Cohen caricature avec férocité ces petits maires clientélistes qui naviguent à vue entre l'extrême droite et l'extrême centre), de l'écologisme (Vincent Macaigne a la lourde responsabilité d'incarner une écologie obligée de se frotter au réel - sa voiture électrique tombe en panne, sa secrétaire de mairie aimerait payer son plein d'essence avec sa "prime vélo"...) et du féminisme (India Hair joue avec sa folle énergie une féministe radicale qui a bien du mal avec l'écriture inclusive).
Aux côtés de ce trio d'acteurs ont été invités pour des caméos plus ou moins brefs, une brochette de seconds rôles attachants : Yolande Moreau, Laetitia Dosch, François Damiens, Anna Mouglalis (dont la voix grave suffit à m'envoûter aussi courte que soit sa scène)
Le dixième film du tandem Kervern-Délépine est sorti sur les écrans quatre jours avant le premier tour de la présidentielle. Une échéance qui décidément a aimanté la production cinématographique dont on a vu plusieurs films de plusieurs genres sortirent autour de cette date ("Les Promesses", "La Campagne de France", "Le Monde d'hier"...). En même temps emprunte à la comédie sinon à la parodie. Le projet était séduisant et la présence derrière la caméra de ce duo de réalisateurs, parmi les plus incisifs que le cinéma français connaisse, dont les précédents films ("Effacer l'historique", "I Feel Good", "Saint-Amour"...), grâce à un cocktail unique d'humour absurde et de poésie misérabiliste, avaient réussi à merveille à croquer la "France d'en bas", mettait l'eau à la bouche.
Les critiques pourtant faisaient grise mine et le public n'a pas suivi. En même temps a fait un bide et n'était plus à l'affiche, quatre semaines après sa sortie, que dans quelques rares salles parisiennes. cela ne m'a pas empêché d'aller l'y voir et de m'y amuser.
Même si son scénario est un peu faiblard qui, une fois les deux héros collés l'un après (après une scène hilarante que je vous laisse découvrir), se borne à leur faire enchaîner une succession de rencontres improbables (avec un vétérinaire, une naturopathe, des policiers étonnamment gauchistes, etc.), les situations sont drôles et les gagas font mouche. J'ai souvent souri, j'ai parfois ri et, cul-serré comme je suis, c'est suffisamment rare pour ne pas être salué !
Car "En même temps" fait mouche en se moquant gentiment du macronisme (Jonathan Cohen caricature avec férocité ces petits maires clientélistes qui naviguent à vue entre l'extrême droite et l'extrême centre), de l'écologisme (Vincent Macaigne a la lourde responsabilité d'incarner une écologie obligée de se frotter au réel - sa voiture électrique tombe en panne, sa secrétaire de mairie aimerait payer son plein d'essence avec sa "prime vélo"...) et du féminisme (India Hair joue avec sa folle énergie une féministe radicale qui a bien du mal avec l'écriture inclusive).
Aux côtés de ce trio d'acteurs ont été invités pour des caméos plus ou moins brefs, une brochette de seconds rôles attachants : Yolande Moreau, Laetitia Dosch, François Damiens, Anna Mouglalis (dont la voix grave suffit à m'envoûter aussi courte que soit sa scène)
Nous avons failli ne pas aller voir ce film à cause des avis négatifs.
Nous avons bien fait d'y aller. Nous avons ri de bon cœur ainsi que d'autres personnes dans la salle.
Bien sûr, il s'agit d'une comédie avec ce qu'elle comporte de peu probable : genre se faire coller !
Néanmoins, il y a plein de gags si on ne prend pas tout très au sérieux.
Le titre aurait plutôt être gauche-droite ...
Tout le monde (plus les politiciens de droite que l'écolo qui s'est fait un peu abuser) en prend pour son grade
À voir pour passer un bon moment
Nous avons bien fait d'y aller. Nous avons ri de bon cœur ainsi que d'autres personnes dans la salle.
Bien sûr, il s'agit d'une comédie avec ce qu'elle comporte de peu probable : genre se faire coller !
Néanmoins, il y a plein de gags si on ne prend pas tout très au sérieux.
Le titre aurait plutôt être gauche-droite ...
Tout le monde (plus les politiciens de droite que l'écolo qui s'est fait un peu abuser) en prend pour son grade
À voir pour passer un bon moment
Dans la veine de Coluche, ce film brille par son intelligence. Les acteurs sont top et le dialogues, les dialogues, mamamiiia, accrochez vous, restez concentrés, ça fuse, ça pète, ça claque.
Chacun en prend pour son grade, et même le spectateur qui n'est pas caressé dans le sens du poil.
Un excellent moment.
La grande classe. Il y a de la belgitude dans ce film, ça ce sent.
Merci !
À voir plusieurs fois...
Chacun en prend pour son grade, et même le spectateur qui n'est pas caressé dans le sens du poil.
Un excellent moment.
La grande classe. Il y a de la belgitude dans ce film, ça ce sent.
Merci !
À voir plusieurs fois...
Je me suis regale , un peu de légèreté dans cette periode , ca fait pas de mal....le duo macaigne.cohen ca marche....un regard amusant sur le monde politique...quelques bonnes scenes.....apres beaucoup aime et flashe sur la scene devant la station service..regarder bien..c est eloquent et feroce
En resume bon petit film pour se remettre de ce dimanche d'election
Un bon 3 plus
En resume bon petit film pour se remettre de ce dimanche d'election
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