« 𝘼𝙣𝙖𝙩𝙤𝙢𝙞𝙚 𝙙’𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙝𝙪𝙩𝙚 »:“Son péché était simplement d'avoir réussi alors que son mari avait échoué.”
«𝘼𝙣𝙖𝙩𝙤𝙢𝙞𝙚 𝙙’𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙝𝙪𝙩𝙚 » est sorti en Chine le 29 mars et je suis allée le voir au cinéma au premier instant. Le film propse un suspense autour que si la mort du mari de Sandra est un accident, un homicide ou un suicide, dans un point de vue de l’inversion des sexes.
Le rythme de l'intrigue est en fait très lent. Ce film dure deux heures et demie, mais il est très facile de regarder et de suivre l'intrigue. L’intrigue du film est très bien construite et la logique des détails est bien développée, ce qui est peut-être une caractéristique unique de la réalisatrice. Ce film est délicatement tourné, utilisant des flashbacks et des flashforwards. L’application de la couleur dans le film est également remarquable, car la réalisatrice, Justine Triet, aime tourner des scènes du restaurant chinois dans ses films parce qu'elle pense que les couleurs de la cuisine chinoise sont vives.
Sandra est une image très tridimensionnelle, elle est une mère qui aime son fils (Elle pensait son fils malvoyant comme un enfant normale, mais elle renoncait à passer du temps avec son fils pour sa carrière.) , une bisexuelle, une immigrant qui habitait dans le pays de son mari, une voleuse qui a plagié les inspirations pour l’ écriture de son mari, elle aime son mari mais elle le trompe, tout en provoquant une réflexion sur la relation entre mari et femme (Mais je ne suis pas mariée, donc je ne sais pas vraiment ToT), dans le contexte de l'homme et de la femme dans le statut familial et de l'inversion de la famille traditionnelle.
Dans le film, le procureur s'appuie à plusieurs fois sur l'orientation sexuelle de Sandra, son incident de tromperie, l’identité de l'écrivain et le contenu de son roman pour monter une preuve, et les témoins de la police croient que le bruit dans l'enregistrement doit être le bruit de la femme frappant son mari. Ils tous ont les perspectives profondément préjugées. C'est la même chose que le procureur dans un autre film français, « Mon crime » de François Ozon.
Comme le dit le témoin du film: « With no witnesses or confessions, we must interpret. » Il est facile pour la pensée de l’homme de tomber dans des idées préconçues et dans le sens commun qui sont présumés à l'avance. Les faits sont écrasants, et les possibilités des suppositions subjectives ne sont pas réels dans tous les temps. Lorsque la vérité fait défaut, elle doit être prouvée par des preuves solides et elle ne remplacée jamais par des suppositions subjectives, même si ces préjugés sont la vérité, on ne peut pas le prouver et le prononcé coupable.