AlloCiné
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Votre avis sur Anatomie d’une chute ?
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je m'attendais à mieux....2h30 de film pour savoir meurtre ou suicide..... c'est lent, ....
le jeu des acteurs est caricaturé, surtout le procureur qui en fait trop.
l'actrice principale allemande qui parle anglais, qui aime son mari à sa manière, un fils non voyant qu'on protège, un avocat trop mou.... pour une fin tellement attendue, sans vrai rebondissements, juste le souvenir et l'interprétation d'une discussion qui va faire tourner le verdict ... bof
le jeu des acteurs est caricaturé, surtout le procureur qui en fait trop.
l'actrice principale allemande qui parle anglais, qui aime son mari à sa manière, un fils non voyant qu'on protège, un avocat trop mou.... pour une fin tellement attendue, sans vrai rebondissements, juste le souvenir et l'interprétation d'une discussion qui va faire tourner le verdict ... bof
Les bonnes critiques sont largement exagérées. Tout ça à cause de la palme d'or !
J'ai mis une bonne note à ce film car j'aime ce genre mais aucun point fort ne se dégage. L'esthétique de l'image est volontairement massacrée ! Il n'y a pour moi pas de suspense. Je craignais un autre dénouement qui aurait été une folie bien à la mode de nos jours. Mais non, la fin se dessine très vite et la cohérence est respectée.
J'ai mis une bonne note à ce film car j'aime ce genre mais aucun point fort ne se dégage. L'esthétique de l'image est volontairement massacrée ! Il n'y a pour moi pas de suspense. Je craignais un autre dénouement qui aurait été une folie bien à la mode de nos jours. Mais non, la fin se dessine très vite et la cohérence est respectée.
Film très looong. L'intrigue est inintéressante et on a vraiment beaucoup de mal à se passionner pour cette histoire et le sort des personnages.
Le personnage principal antipathique a une vie personnelle sordide et met bien peu d'énergie pour prouver son innocence.
C'est filmé comme un téléfilm français des années 70.
Mais peut-être que c'est ce qu'il faut faire aujourd'hui pour plaire aux critiques et rafler des prix...
Le personnage principal antipathique a une vie personnelle sordide et met bien peu d'énergie pour prouver son innocence.
C'est filmé comme un téléfilm français des années 70.
Mais peut-être que c'est ce qu'il faut faire aujourd'hui pour plaire aux critiques et rafler des prix...
Lourd, ininterressant et vide de sens.
Un film qui decredibilise la "palme d'or" et les critiques du cinema français en général.
La cerise sur le gateau: les dialogues en langue anglaise ... Quelle idee!
Un film qui decredibilise la "palme d'or" et les critiques du cinema français en général.
La cerise sur le gateau: les dialogues en langue anglaise ... Quelle idee!
J’ai trouvé l’intrigue longue et sans trop d’intérêt … l’ambiance est plutôt bonne mais ça manque de rebondissements … quelques échanges entre acteurs restent cependant mémorables
Très beau film, j ai adoré les personnages, la façon dont l histoire est racontée.
C est humain et me vraisemblable.
C est humain et me vraisemblable.
Un film incontestablement puissant, intriguant mais qui laisse un peu de marbre tant il ne dégage que peu d'émotion. On ressent un sentiment de malaise devant la froideur de Sandra Huller dont le personnage et à la limite de l'antipathie, quand au jeune comédien qui joue son fils il parait beaucoup trop réfléchi et trop intelligent. La palme à Swan Arlaud et à l'excellent acteur qui joue l'avocat général.
Un film lourd, interminable, prétentieux, inesthétique !
L’image est moche comme tout, on envierait presque un épisode d’Alex Hugo pour profiter des paysages de montagne.
L’intérieur du chalet est tout aussi vilain, on dirait que le postulat était : je fais les images les plus laides possibles.
Quand un film est faible voir mauvais on se rattrape un peu des fois sur l’image ou la musique ! Ici rien !
Les acteurs sont affreux , l’avocat général , la présidente du tribunal pas crédibles .
Tout est mauvais ! Des tonnes de téléfilms sur France Télévision lui sont supérieurs.
Si une palme d’or à Cannes et un film multi récompensé aux Césars c’ est ça ? Alors l cinéma est tombé bien bas .
L’image est moche comme tout, on envierait presque un épisode d’Alex Hugo pour profiter des paysages de montagne.
L’intérieur du chalet est tout aussi vilain, on dirait que le postulat était : je fais les images les plus laides possibles.
Quand un film est faible voir mauvais on se rattrape un peu des fois sur l’image ou la musique ! Ici rien !
Les acteurs sont affreux , l’avocat général , la présidente du tribunal pas crédibles .
Tout est mauvais ! Des tonnes de téléfilms sur France Télévision lui sont supérieurs.
Si une palme d’or à Cannes et un film multi récompensé aux Césars c’ est ça ? Alors l cinéma est tombé bien bas .
D'abord, il y a eu le film et l'état de sidération dans lequel il m'a laissé. L'impression d'avoir été roué de coups pendant quelques heures. Ensuite j'ai essayé de comprendre pourquoi le film avait eu cet effet sur moi. C'est étrange parce que j'ai d'abord trouvé l'image laide. Et puis je me suis lentement fait happer.
L'état de choc est dû à plusieurs éléments, l'écriture incroyable, chirurgicale, des personnages, de leur couple, de leur histoire, des acteurs incroyables de justesse, d'intensité. C'est filmé comme un documentaire, c'est aussi exhaustif et complet qu'un documentaire, sans pour autant ennuyer, le film se tient debout, serré, au cordeau, donnant l'impression de pouvoir basculer à tout moment. Sans cesse au bord de l'abyme.
Et puis cette fin, somptueuse, floue et d'une vraie force. Sans galvauder le mot, un chef d'oeuvre.
Et pourtant, je ne suis pas certain d'avoir envie de voir le prochain film de Justine Triet.
L'état de choc est dû à plusieurs éléments, l'écriture incroyable, chirurgicale, des personnages, de leur couple, de leur histoire, des acteurs incroyables de justesse, d'intensité. C'est filmé comme un documentaire, c'est aussi exhaustif et complet qu'un documentaire, sans pour autant ennuyer, le film se tient debout, serré, au cordeau, donnant l'impression de pouvoir basculer à tout moment. Sans cesse au bord de l'abyme.
Et puis cette fin, somptueuse, floue et d'une vraie force. Sans galvauder le mot, un chef d'oeuvre.
Et pourtant, je ne suis pas certain d'avoir envie de voir le prochain film de Justine Triet.
Excellente performance du chien qui est de loin le meilleur acteur.
Sérieusement ce film est une purge intégrale.
L’image est ignoble, la musique insupportable, l’intrigue famélique, les personnages absolument pas crédibles (en particulier l’avocat général totalement pitoyable), les dialogues ridicules (l’enfant tiens des discours d’adultes proches de la retraite. Le tout avec une lenteur probablement forcée pour se donner un genre (ou remplir le vide de ces 2h30 de néant et d’ennui.
Si vous êtes sujet aux insomnies ce film peut vous aider.
Sérieusement ce film est une purge intégrale.
L’image est ignoble, la musique insupportable, l’intrigue famélique, les personnages absolument pas crédibles (en particulier l’avocat général totalement pitoyable), les dialogues ridicules (l’enfant tiens des discours d’adultes proches de la retraite. Le tout avec une lenteur probablement forcée pour se donner un genre (ou remplir le vide de ces 2h30 de néant et d’ennui.
Si vous êtes sujet aux insomnies ce film peut vous aider.
« Anatomie d’une chute » de Justine Triet avait reçu la Palme d’Or à Cannes en 2023 mais à l’époque le pitch, la bande annonce et le battage médiatique ne m’avaient pas inspiré. Un an plus tard, après une avalanche de spectateurs (plus 1,6 millions d’entrées) et de prix dont il y a quelques jours 6 Césars, je me suis décidé à aller le voir.
Le scénario comporte des manques et nous révèle au fur et à mesure – comme dans un feuilleton – des éléments nouveaux alors que logiquement l’enquête est close. spoiler: Durant le procès, Daniel, le fils de Sandra et Samuel, 11 ans, est constamment accompagné par Marge, une assistante judiciaire, pour éviter que sa mère libérée sous caution ne lui parle du procès en cours … alors que tous deux ont vécu seuls un an dans un grand chalet en Savoie où la famille n’a pas d’amis. La veille du verdict, Marge lui dira même qu’il doit « décider » du sort de sa mère … et Daniel, mal voyant et avec ses incertitudes (« je suis certain devant les gendarmes puis « je ne sais plus » devant le juge) de faire à la fin une déclaration à huis clos assez ambiguë. Curieusement 2 expertises judiciaires apparemment indépendantes ne peuvent avancer que comme « plausible » l’hypothèse d’un suicide – thèse soutenue par la défense - ou l’hypothèse d’un homicide. Durant le procès le psychiatre qui a suivi Samuel fait une déclaration assez claire… mais curieusement on n’a pas de rapport d’expertise psychiatrique de Sandra, (Swann Arlaud), actrice allemande francophone mais parlant anglais dans le film ?), qui une romancière éditée et pour ma part et plutôt psychorigide et narcissique. L’avocat de Sandra (Swann Arlaud) est un ex-de Sandra et il tient encore une relation de séduction avec sa cliente. Enfin curieusement la marraine de Samuel, assez proche du couple et de son filleul, ne fait aucune déposition lors du procès.
S’il est clair que Sandra Hüller de « La zone d’intérêt » de Jonathan Glazer écrase par son interprétation le film, celui-ci est in fine assez fade, et filmé comme un téléfilm sans grande prouesse technique !
Un film militant côté #MeToo qui parle plus de la chute de la famille que de du procès et on est loin des films de suspense d’Alfred Hitchcock… Un film trop long avec ses 2 h 31 qui nous mènent souvent en bateau alors que nous sommes censés pouvoir trancher entre les 2 hypothèses avancée
Le scénario comporte des manques et nous révèle au fur et à mesure – comme dans un feuilleton – des éléments nouveaux alors que logiquement l’enquête est close. spoiler: Durant le procès, Daniel, le fils de Sandra et Samuel, 11 ans, est constamment accompagné par Marge, une assistante judiciaire, pour éviter que sa mère libérée sous caution ne lui parle du procès en cours … alors que tous deux ont vécu seuls un an dans un grand chalet en Savoie où la famille n’a pas d’amis. La veille du verdict, Marge lui dira même qu’il doit « décider » du sort de sa mère … et Daniel, mal voyant et avec ses incertitudes (« je suis certain devant les gendarmes puis « je ne sais plus » devant le juge) de faire à la fin une déclaration à huis clos assez ambiguë. Curieusement 2 expertises judiciaires apparemment indépendantes ne peuvent avancer que comme « plausible » l’hypothèse d’un suicide – thèse soutenue par la défense - ou l’hypothèse d’un homicide. Durant le procès le psychiatre qui a suivi Samuel fait une déclaration assez claire… mais curieusement on n’a pas de rapport d’expertise psychiatrique de Sandra, (Swann Arlaud), actrice allemande francophone mais parlant anglais dans le film ?), qui une romancière éditée et pour ma part et plutôt psychorigide et narcissique. L’avocat de Sandra (Swann Arlaud) est un ex-de Sandra et il tient encore une relation de séduction avec sa cliente. Enfin curieusement la marraine de Samuel, assez proche du couple et de son filleul, ne fait aucune déposition lors du procès.
S’il est clair que Sandra Hüller de « La zone d’intérêt » de Jonathan Glazer écrase par son interprétation le film, celui-ci est in fine assez fade, et filmé comme un téléfilm sans grande prouesse technique !
Un film militant côté #MeToo qui parle plus de la chute de la famille que de du procès et on est loin des films de suspense d’Alfred Hitchcock… Un film trop long avec ses 2 h 31 qui nous mènent souvent en bateau alors que nous sommes censés pouvoir trancher entre les 2 hypothèses avancée
Un chef d’œuvre. Thriller psychologique particulièrement abouti, scénario au cordeau, jeu des acteurs époustouflant, mise en scène brillante et précise. Rien à jeter, récompenses méritées. Bravo!
Difficile de critiquer un film porté au pinacle depuis sa Palme d'Or à Cannes et qui a accumulé les récompenses depuis. Il est vrai qu'à son visionnage, on est rapidement emporté par le jeu tout à fait exceptionnel de Sandra Hüller qui porte le poids du film sur ses épaules. On assiste à la dissection au scalpel d'un couple, entre mari impuissant, dans tous les sens du terme, entre sentiment de culpabilité et d'être un raté, face à une femme à la forte personnalité. En ce sens, Anatomie d'une Chute en dit plus sur notre époque car tout film est le reflet de celle dans laquelle il a été conçu. Pouvoir des femmes, tant ici le mari nous semble minable, et portrait de la vie de couple. À ce titre, nul doute qu'Anatomie d'une Chute figurera parmi les films emblématiques de la nôtre, au même titre que Easy Rider a pu l'être pour la sienne...
Quelle déception....pour ce téléfilm si ennuyeux.
sûrement fait pour les intellos bobos du monde cinématographique...et c'est tout.
Ce n'est sûrement pas du grand du beau du vrai Cinéma. Pas de spectacle pas d'émotion pas de réflexion ne ressort de ce film.
A oublier
sûrement fait pour les intellos bobos du monde cinématographique...et c'est tout.
Ce n'est sûrement pas du grand du beau du vrai Cinéma. Pas de spectacle pas d'émotion pas de réflexion ne ressort de ce film.
A oublier
C'est un documentaire regional pas un film.
Aucune recherche dans les plans, du realisme oui mais quel est l'intérêt sur une histoire aussi plate ?
Ça n'a rien à faire dans un palmarès de festival !
Aucune recherche dans les plans, du realisme oui mais quel est l'intérêt sur une histoire aussi plate ?
Ça n'a rien à faire dans un palmarès de festival !
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