Mon compte
    Le Port de l'angoisse
    Note moyenne
    4,0
    895 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Port de l'angoisse ?

    89 critiques spectateurs

    5
    20 critiques
    4
    32 critiques
    3
    24 critiques
    2
    7 critiques
    1
    5 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 octobre 2020
    Bien mal vieilli ne profite jamais! Indubitablement la mise en scène ainsi que les contrastes de couleurs n'ont pas de secret pour Hawks; de même, le couple formé par Bacall et Bogart suinte de complicité tandis que chacun incarne un type auquel il prête d'indéniables charmes. Cependant cette ambiance très surannée, illustrée par les numéros musicaux et un script fort bavard empêche d'installer un suspense prenant, tandis que les personnages secondaires manquent d'épaisseur, notamment l'agaçant Eddie. Les nostalgiques de cette atmosphère faussement jazzy y trouveront leur plaisir; les autres se contenteront de l'intérêt cinématographique historique. Ce n'est déjà pas si mal!
    Starwealther
    Starwealther

    75 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2021
    Ce film de Howard Hawks tourné en 1944 est inspiré du plus mauvais roman de Ernest Hemmingway "To have and have not". Celui-ci traite de l'affrontement entre l'administration vichyste nazie et la résistance française en Martinique. Le thème du film, bien qu'assez intéressant, n'est pas notre préoccupation première. Notre intérêt se dirige surtout sur la première collaboration entre Humphrey Bogart et Lauren Bacall qui permet la naissance du couple le plus célèbre de l'histoire hollywoodienne. "Le port de l'angoisse" brille par la prestance de ses personnages. D'abord, par Harry Morgan (Humphrey Bogart), toujours clope au bec, accoudé au bar et avec sa casquette de pêcheur puis par Slim (Lauren Bacall) en tailleur et cigarette au bord des lèvres. Tous les deux sont vraiment très classes. Le film vaut le coup d'être vu rien que pour l'alchimie du couple dans leur tout premier duo au cinéma. Enfin, l'ambiance est vraiment agréable, bien que le climat devrait être tendu en raison de l'occupation allemande, l'atmosphère est parfois très légère grâce à de nombreux passages musicaux très agréables où Lauren Bacall chante. Un film à voir au moins une fois dans sa vie.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2021
    Hawks n’a pas fait que Rio Bravo. Deux monstres sacrés jouent au chat et à la souris. H. Bogart, je ne résiste pas: sa dégaine, sa liberté infinie, son sourire irrésistible. J’ai aimé le pianiste de boogie qui donne le rythme des soirées en revenant régulièrement à l’écran. Ambiance guerre, style Casablanca, avec en décor une milice vichiste tournée en ridicule, quoique la résistance fait aussi très amateur…

    Laureen Bacall qui balance des hanches et Humphrey Bogart, qui fait rouler une allumette entre ses dents: on en redemande des films d’atmosphère de cette qualité, évoquant un endroit à la marge pendant les hostilités, en l’occurrence Fort de France. Plus facile à imaginer pour un grand metteur en scène américain! TV1-aout 2015
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 067 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2011
    La magie du cinéma, c'est aussi de pouvoir reconstituer plus de 60 ans après, le visage radieux, d'une beauté rare, de Lauren Bacall, qui non seulement est magnifique, mais en plus, rayonne dans tout le film par son jeu d'actrice, alors qu'elle en est seulement à ses débuts. Bogart, a toujours autant la classe, et puis cette atmosphère mêlant à la fois Casablanca (pour le côté WWII et romance), et seuls les anges ont des ailes (pour le côté un peu aventureux, avec une femme qui débarque et tombe amoureuse) (même si je préfère ces deux films là au port de l'angoisse), ça fait vraiment plaisir à voir, le tout avec un côté un peu plus sombre, plus policier. De plus c'est de ce film que vient le fameux "tu as déjà été piqué par une abeille morte" phrase excellente, reprise par Godard dans notre musique et nouvelle vague, et rien que ça, ça me met dans le bain pour passer une heure quarante de film totalement réjouissante, malgré que justement ça ne soit pas aussi abouti que d'autres films du genre, ça reste un divertissement de haute volée, plein d'humour, des dialogues aux petits oignons, des personnages excellents. Je ne suis pas déçu, au contraire.
    Eselce
    Eselce

    1 392 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 février 2018
    La rencontre du couple mythique Bacall-Bogart est ici ! Echange de regard, charisme qui crève l'écran pour chacun, grande gueule, répliques cultes... Sifflement, petite claque de la barbe... Beaucoup de réalisateurs piochent encore dans ce petit bijou du cinéma américain dans lequel l'ennui n'est pas permis. A découvrir !
    Acidus
    Acidus

    720 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2017
    Howard Hawks réalise ici son "Casablanca" en inscrivant son histoire (adaptée librement d'un roman d'Ernest Hemingway) non pas au Maroc comme dans le film de Michael Curtiz mais dans un autre territoire contrôlé par le gouvernement du régime de Vichy : la Martinique. Rien à redire sur ce film dont l'histoire, la réalisation et les acteurs sont bons. Néanmoins, cela reste un film formaté sans grosses surprises mais qui assure le divertissement et fait passer au spectateur un agréable moment.
    Roub E.
    Roub E.

    952 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2021
    Humphrey Bogart, la seconde guerre mondiale, un américain solitaire dans une colonie française, ça rappelle Casablanca mais c’est le port de l’angoisse. Et c’est la naissance sous nos yeux dans des volutes de cigarettes d’un couple mythique Bogart Bacall. Les deux jouent des aventuriers échoués à la Martinique dont le coup de foudre croise le vent de l’histoire. Des décennies plus tard le film garde son suspens, son glamour et un côté amusant de film d’aventure. Un succès intemporel donc même s’il souffre un peu de la comparaison avec Casablanca auquel il fait forcément penser.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2014
    Sortez vos clopes, allumez vos briquets, revoilà Humprey ... J'avais été enthousiasmé par ce type dans "Casablanca" et "Le Port de l'Angoisse" me ressert une dose de ce ô combien charismatique acteur hollywoodien, occasion aussi de saluer la disparition à 89 ans de son ex compagne à l'écran comme à la ville Lauren Bacall qui signe là son premier rôle au cinéma.

    Le projet de ce film à retenu mon attention, la légende voudrait qu'il soit parti d'un pari entre le réalisateur Howard Hawks et son ami le célèbre écrivain Ernest Hemingway lors d'une partie de pêche avec comme défi d'adapter son plus "mauvais" roman ("To Have and Havé Not"), qu'à cela ne tienne ...
    Le film sort en 1944, il place l'action quatre ans plus tôt en pleine seconde guerre mondiale à Fort de France en Martinique sous le régime de Vichy, Harry (Humprey Bogart) un capitaine de bateau de pêche au caractère cyniquement bien trempé se voit contraint d'accepter de prêter son navire à la Résistance Française, il va se retrouver embarqué dans une mission à des fins politiques qu'il n'avait pas envisagé. Et au milieu de tout cela il va faire la rencontre de la mystérieuse et charmante Marie (Lauren Bacall).
    Un polar en soit plutôt captivant, on constate beaucoup de correspondances avec "Casablanca" (le contexte, le territoire français d'outre mer, des points de scénario, le rôle de Bogart, le pianiste, etc ...), mais avec une fin plus heureuse que dans le film de Curtiz. Ce qui retient clairement l'attention c'est ce jeu de séduction pétillant entre Gogart et Bacall, avec au passage certaines répliques excellentes et malicieuses, l'actrice débutante montre déjà un talent et un charme débordant, elle rayonne, on comprend aisément pourquoi le grand Humprey soit tombé raide dingue d'elle, un couple mythique est né durant ce tournage et ce film.
    Le rythme se retrouve par moment affaiblie par un scénario manquant parfois de consistance mais qui reste tout à fait acceptable, le climax entre Harry et l'inspecteur Renard viendra redonner un excellent souffle au film, mais un peu tardivement, dommage. Mais globalement l'œuvre est maîtrisée par Hawks, il joue habilement des codes du polar avec l'aide de son duo d'interprètes parfaitement mis en scène, à défaut de disposer d'une histoire réellement captivante de bout en bout.

    "Le Port de l'Angoisse" est un très bon film, l'occasion de passer un savoureux moment de cinéma ainsi que de voir émerger ce couple charismatique et attachant, le tout avec un paquet de clopes et un cendar pas trop loin.
    Akamaru
    Akamaru

    3 094 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2012
    Un grand classique d'Howard Hawks mythique à bien des égards.D'abord,ce film à la fois noir et romantique,marque les premiers pas de Lauren Bacall devant la caméra,et surtout la naissance de son couple immortel avec Humphrey Bogart,dans la vie comme au cinéma.De plus,il est contemporain de son époque,puisqu'il parle de la Résistance Française en Martinique et du régime de Vichy,alors que la guerre n'est même pas terminée!Enfin,"Le Port de l'angoisse"(1944)est adapté d'une nouvelle de Ernest Hemingway,ré-écrite par William Faulkner.Soit 2 Prix Nobel de littérature à la plume!Dès lors,il n'est pas question de ne pas savourer ce tourbillon d'émotions qui empilent les instants magiques.La célèbre réplique de Bacall:"Si vous avez besoin,sifflez-moi".Son aplomb étonnant pour ses 20 ans.Bogart en vieux loup de mer macho,qui d'indépendant forcené,s'engagera par la force des choses pour les alliés.Et puis cette fin inattendue,où nos héros,ensemble après bien des visicittudes et des piques assassines,larguent les amarres vers un hypothétique bonheur.La présence de Walter Brennan(le sidekick habituel de John Wayne)en idiot saoûlard mais diablement fidèle,est un plus.Dommage que quelques clichés ne passent plus,comme des Français qui parlent en Anglais avec un accent appuyé!Un film parfaitement mené.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mars 2015
    Un classique, comme pas mal de films d'Howard Hawks. Si le scénario d'Hemingway et Faulkner n'est pas trépidant, c'est qu'il laisse toute la place aux personnages, et à son duo mythique. Humphrey Bogart déroule sa classe avec facilité. Lauren Bacall, qui l'a rencontrée à l'occasion du tournage, lui répond du tac au tac. Cette voix rauque, ce regard si plein de sensualité font toujours de l'effet, même soixante-neuf ans plus tard. Ces deux personnages étonnants de désinvolture construisent à eux seuls Le Port de l'angoisse, comme souvent avec les films de l'époque, et c'est d'eux qu'émerge ce soupçon de mélancolie qui donne au film son cachet. Tout ça avec en toile de fond l'organisation de la résistance à Fort-de-France, univers unique au cinéma. Un divertissement qui ne se démode pas.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mai 2015
    1942 en Martinique où les Vichystes traquent les Gaullistes partisans de la France libre, un américain organise des sorties pêche à l’espadon pour de riches compatriotes. Il prend bien garde de se tenir à l’écart de ce conflit et pense avant tout à ses affaires. Les Etats-Unis n’entreront en guerre que dans l’hiver de cette même année après avoir subi une attaque sur leur propre sol à Pearl Harbor. Le parallèle entre l’Histoire et Harry le pêcheur gêna un peu aux entournures la commission de censure. En effet Harry à l’image de son pays n’a que faire du conflit tant qu’il est propice à ses affaires ; Harry à l’image de son pays prendra part lorsque ses propres intérêts seront attaqués. Après cet aparté, le cœur du film n’est pas cette intrigue assez basique de film noir. Tiré d’un roman très médiocre aux dires de son auteur, Ernest Hemingway ; William Faulkner, grand auteur en devenir quant à lui, en tira un scénario librement adapté très efficace. Le décor est planté avec une dream team aux commandes : Hemingway-Faulkner-Hawks. Ce dernier est la figure emblématique de l’Hollywood de l’époque et un des rares à s’illustrer dans tous les genres cinématographiques : film noir (« Le grand sommeil »), western (« Rio Bravo »), la comédie (« Les hommes préfèrent les blondes ») ;…
    Pour ce projet, Howard Hawks manie son intrigue comme un simple prétexte à montrer un coup de foudre, la naissance d’une passion amoureuse. Le grand travail en amont du film de Hawks fût de trouver son interprète féminine avec cette inconnue : « Est-ce que tu crois qu'on pourrait créer un personnage féminin qui soit insolent, aussi insolent que Bogart, qui insulte les gens, qui le fasse en riant, et arriver à ce que le public aime ça ? ». Et là, il découvrit celle qui devint « The Look » ; Lauren Bacall. Débutante, la petite Newyorkaise de 19 ans, éclabousse l’écran dès sa première apparition sur la pellicule. Adossée à l’encadrement de la porte de chambre de Bogart, le menton baissé mais le regard, frondeur et aguicheur, levé vers celui qui deviendra son futur époux, elle fait craquer son allumette… Et pas que l’allumette, c’est le vieux loup froid et ténébreux de Bogart qui craque au même instant. Rare au cinéma, c’est le début d’une passion amoureuse qui est filmé dans cette fiction et çà transparaît tellement à l’écran que même 70 ans après, le spectateur est contaminé par ce bonheur palpable. Eloge de la décontraction, pour sûr, Hawks les laissa bien souvent improviser, l’histoire de personnages de cinéma a tellement si peu souvent collé avec ce que vivait au même moment leurs interprètes. Nouvelle forme de femme fatale, Lauren Baccal est magnifique et dire que c’est sa timidité et son angoisse qui l’ont poussé à avoir ce regard si particulier devenu mythique. A cela on ajoute sa voix rauque si particulière ; a star is born.
    Et puis quelle délectation d’entendre ces échanges verbaux emplis de sous entendus, épicés à souhait et balancés avec tant de naturel. Ce couple mythique, Bogart-Baccal, crève l’écran mais pas au point d’évincer des seconds rôles qui tiennent une vraie place dans le film. A ces seconds rôles, on peut même ajouter la cigarette qui pour moi est réellement le troisième personnage incontournable du film. Beaucoup comparent aussi ce film à un sous « Casablanca » et Bogart déjà de la partie avec Ingrid Bergman sur ce dernier avait plaisir de dire que ce n’était pas faux mais là les personnages ne songent guère au passé et l’avenir les tourmente peu. Et c’est tellement vrai ; la définition de la passion amoureuse. A part Bogart qui est des deux films, d’autres points communs entre ces deux chefs d’œuvre : la place du pianiste de jazz y est aussi importante avec de belles chansons entonnées par Baccal, le film noir autour de Vichy,…
    Enfin la réalisation d’Hawks est assez classique avec une caméra souvent fixe, mais l’alternance de plans serrés et rapprochés ainsi que le montage incisif et tendu feront le travail. Les scènes d’action en sont un bel exemple. Le tout offre des plans inoubliables par leur composition magnifiée et par un gros travail sur la lumière.
    Malgré ses défauts, un film à savourer sans modération…
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2010
    C'est bien filmé, c'est bien mis en scène, c'est bien interprété (Lauren Bacall a vraiment un charisme incroyable).
    Qui plus est, le film a été tourné en 1944 alors que la guerre n'est pas finie, et c'est toujours intéressant de voir des films sur la seconde guerre mondiale qui ont été tourné pendant la seconde guerre mondiale.

    A part ça j'ai pas été non plus particulièrement emballé, et puis franchement, ça se passe en Martinique, et quasiment à chaque fois où deux personnages français doivent parler entre eux ils le font en anglais (...) et quand y en a un qui se décide à dire un truc en français c'est avec un accent bien prononcé.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    68 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 septembre 2012
    Très classique dans sa forme et son propos, le film se regarde avec beaucoup de plaisirs. La mise en scène est toujours bien vue, sans être révolutionnaire. Le scénario rappelle largement Casablanca, et du coup, le Port de l'angoisse souffre de la comparaison car nettement en-dessous du point de vue de l'inventivité et des personnages également. Malgré tout, on retrouve avec grand plaisir le duo Bogart/Bacall. A noter des seconds rôles très enthousiasmants.
    real-disciple
    real-disciple

    81 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2011
    Le film repose entièrement sur l'interprétation de Bogart et Bacall formidables. La réalisation est soignée, superbe noir et blanc, mais l'intrigue est mince, il manque des rebondissements pour être totalement captivé. D'ailleurs c'est tiré d'une oeuvre qu'Hemingway qualifie comme son pire roman. Heureusement que les dialogues sont là pour éviter une note moyenne.
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    47 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2016
    L'histoire retiendra surtout de ce film qu'il fut le 1er des 4 ou le celebrissime couple se donne la replique parce que sinon le scenario ne fait que dans du tres classique.Attention ,Hawks maitrise son sujet (lumieres et photos excellentes) mais cette Martinique idealisé ou tout le monde parle Anglais (!) sonne trop faux pour croire a ces histoires de resistance Francaise.Heureusement que le charismatique Bogey enfile encore une fois le costume du type au grand coeur pret a rendre service pour les beaux yeux d'une femme et accessoirement d'une poignée de dollars.En dehors des interventions regulieres du sympathique ivrogne qui vient rééquilibrer une trame sombre ,ce sont surtout les scenes communes du couple qui retiennent notre attention : sans etre encore mariés ,l'on sent deja qu'une grande complicité unit les 2 comediens qui usent de leurs charmes respectifs pour notre grand plaisir ,le reste de la distribution se revele solide et efficace comme la bande son d'ailleurs.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top