Mon compte
    Boy Kills World
    Note moyenne
    3,2
    290 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Boy Kills World ?

    66 critiques spectateurs

    5
    8 critiques
    4
    15 critiques
    3
    30 critiques
    2
    8 critiques
    1
    3 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Jordan Rigoses
    Jordan Rigoses

    2 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mai 2024
    Un film d'action comédie qui fait le taff avec la vo de archer de la série animée

    des scéne d'action bien foutue
    Blegh182
    Blegh182

    28 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2024
    On est sur du très très lourd : un univers et des persos loufoques, des combats super bien chorégraphiés (un dernier acte (presque) digne de The Raid), un humour grinçant bienvenue. On regrette un peu l'aspect caricatural des vilains mais ca n'entache pas tant ce joli spectacle fort en hémoglobine
    eldarkstone
    eldarkstone

    215 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mai 2024
    Un Action - Movie plutôt fun et Trash ! Évidemment pas de grandes surprises, mais un bon divertissement !
    RedArrow
    RedArrow

    1 660 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mai 2024
    Au sein d'une cité urbaine dirigée par une famille qui se donne pour mission d'éliminer la moindre résistance à son encontre lors d'une journée de Carnage par an, un petit garçon voit sa jeune sœur et sa mère exécutées sur la place publique par les autorités.
    Devenu sourd et muet (mais s'imaginant parler avec la voix-off très badass d'un jeu vidéo de combat), il est recueilli par le Chamane qui l'entraîne des années durant pour le rendre capable d'éliminer les bourreaux de ses proches...

    Aaah la bande-annonce nous avait promis un joyeux défouloir, de ceux qui, entre deux opus de "John Wick", débarquent de temps à autre d'outre-Atlantique dans un univers délirant, à mi-chemin entre le comic book et le jeu vidéo, pour défourailler à peu près tout ce qui bouge en compagnie de têtes bien connues ! Eh bien, on l'a eu ! Peut-être hélas pas autant qu'on ne l'aurait voulu la majorité du temps mais avec suffisamment de panache sanguinaire par moment pour emporter la mise.

    On s'explique: certes, cette intrigue de vengeance et la mythologie sur laquelle elle se fonde ne recyclent que des basiques de jeu vidéo dans les grandes lignes de la progression proposée (différents membres de la famille à éliminer jusqu'au boss final) mais il faut bien dire que les caractéristiques imaginées pour son héros Boy vont dynamiter l'ensemble à chaque fois qu'il monopolise l'écran de sa présence.
    D'abord par le magnétisme naturel de son acteur Bill Skarsgård, absolument génial pour incarner l'innocence de ce grand enfant perdu dans ce corps de géant musclé, devenant une espèce de marionnette désarticulée surpuissante dès que retentit dans sa tête un "Round One: Fight !". En plus de l'investissement physique assez sidérant de l'acteur lors des scènes de combat en vue de traduire la dichotomie improbable de son personnage (il faut imaginer une espèce de Buster Keaton qui serait tombé dans une marmite de stéroïdes étant petit), il véhicule admirablement bien tout le trauma rudimentaire de Boy lors de son parcours de violence, perturbé par la présence de sa conscience/petite soeur essayant d'enrayer sa montée en puissance de machine à tuer. Et puis, il y a ces trouvailles loufoques propres à sa condition et à ses rencontres, comme l'idée hilarante de cet homme dont il ne parvient à lire les mots sur les lèvres (ce qui engendre les situations les plus absurdes dans son imagination lorsqu'il tente de mettre des images dessus), ses maladresses face aux ennemis, les différents contextes dans lesquels il combat (le show Frosty Puffs !) ou son entraînement halluciné avec ce chamane toxicomane jusqu'à la moelle.
    Bref, Boy en lui-même est une vraie réussite, aussi attachant que complètement dingue à suivre dans les affrontements.

    On sera malheureusement moins enthousiaste sur cette famille de dictateurs qu'il a à massacrer. Incarnés par des acteurs que l'on apprécie (Sharlto Copley, Michelle Dockery, Brett Gelman et Famke Janssen), ses différents membres ne se révèlent pas très intéressants à voir évoluer dès qu'ils prennent le pas à l'écran, seulement définis par des traits cartoonesques de vilains qui les cantonnent à quelques actes de traîtrise et d'appétit sanguinaire caricaturaux, bien en dessous de la fougue inarrêtable de celui qui vient s'ériger comme leur principal opposant (de même que les compagnons de route de ce dernier, bons supports à sa quête mais oubliables). On retiendra tout de même une Michelle Dockery manifestement heureuse de jouer les evil bitches cabotineuses à souhait et, surtout, le "casque expressif" de June 27 (Jessica Rothe), la cheffe de la sécurité, réponse visuelle parfaite au handicap de Boy dans le camp à abattre.

    Il en ressort ainsi un sentiment de frustration face à ce déséquilibre de folie entre les camps mis en place, celui-ci se propage trop souvent à l'entièreté du long-métrage et est également diffusé par une mise en scène qui paraît, elle aussi, se refuser à embrasser l'hystérie la plus totale de son potentiel.
    En effet, alors qu'elle est pourtant extrêmement généreuse en plans géniaux, avec ce parti pris de travellings tournoyants et/ou de plans séquences épousant les mouvements déguigandés et autres fractures, démembrements & co provoqués par son héros littéralement emporté dans son trip vidéo-ludique, elle semble à chaque fois couper l'herbe sous le pied du plaisir provoqué par ces plans chez le spectateur à cause d'un montage ne les faisant jamais durer assez longtemps, comme privilégiant les à-coups à leurs plausibles impacts jubilatoires sur la durée, ce qui laisse donc une dose de frustration supplémentaire à l'arrivée là où "Boy Kills World" aurait pu atteindre des sommets en son genre.

    Si l'on s'y amuse tout de même, il faut bien avouer que c'est cette impression mitigée d'entre-deux qui perdure aux trois-quarts du visionnage de "Boy Kills World"... avant que son dernier acte dingo ne vienne miraculeusement rattraper ses errements de la meilleure manière.
    Si le plus gros rebondissement de toute cette histoire nous fait d'abord avoir de gros yeux douteux face à sa teneur, ses modalités (sordides sur le pourquoi et le comment) ont le mérite de rajouter une gravité aussi étonnante que bienvenue au film et de déboucher sur un ultime combat qui va, lui, réussir (en étant plus sobre, resserré et d'une violence redoublée) à réunir tout ce que le film a laissé de voir meilleur dans une phase parfaite d'intensité.

    On quittera ainsi "Boys Kills World" au paroxysme de ce qu'il aura pu nous offrir, nous faisant pardonner et oublier partiellement des défauts notables que l'on avait pu y relever auparavant.
    Et puis, bon, il faut bien reconnaître que des défouloirs comme ça, emmenés par un héros tout aussi inspiré que bien campé, on en redemande forcément, quels que soient leurs points faibles. Surtout avec une cerise sur le gâteau pareille en guise de dernières vingt minutes.
    pasdenom inconnito
    pasdenom inconnito

    7 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2024
    It is a movie that I have a hard time defining... Very creative for a action movie of violent Kung fu, story line a little unbelievable at the start with an interesting twist at the end...I enjoyed it just enough for 6,5/10. Seeing lady Mary Crawley aka Micelle Dockery as the villain Melanie made sense...she was the most credible of the cast.

    C'est un drôle de film qui ne donne beaucoup de difficultés à définir. A la base c'est un film de Kung Fu violent, très violent. Le début de l'histoire est un peu difficile à croire mais bon..la fin est intéressante.
    Il m'a plu assez pour un 6,5/10. Voir lady Mary Crawley AKA Michelle Dockery dans le rôle de la vilaine Mélanie était une belle surprise car elle était la plus crédible dans son rôle.
    Fiers R.
    Fiers R.

    96 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 avril 2024
    Les films de vengeance en mode castagne non-stop commencent à devenir un sous-genre du cinéma d’action, fortement influencé par la saga « John Wick » ... Comme d’ailleurs quasiment toutes les productions musclées dans ce domaine depuis un certain temps. On l’a encore vu pas plus tard que ce mois-ci avec le très moyen premier film de Dev Patel, « Monkey Man ». Et quand le long-métrage ne se prend pas au sérieux (que ce soit en injectant de l’humour et un aspect méta ou en rendant l’action complètement improbable et délurée ou même les deux), cela enlève une certaine lourdeur ou lassitude envers ce type de productions. Et oui, mais il préciser que le premier film mettant en scène Baba Yaga a déjà dix ans et que depuis ses succédanés n’ont cessé de s’empiler sur grand écran et sur les plateformes de streaming. Dans son aspect vidéo-ludique et dégénéré « Boy kills World » avait tout pour plaire mais malheureusement, il s’avère agaçant, fatigant et lassant. Et tout cela assez vite.

    Le script tient assurément sur un ticket de métro tellement il est mince mais ce versant est plutôt assumé. Le réalisateur allemand Moritz Mohr le sait et film en Afrique du Sud (la présence de Sharlto Copley et certains décors nous rappellent d’ailleurs à « District 9 ») une série B qui semble lui servir de démonstration visuelle et technique pour être embauché à Hollywood. Une sorte de CV animé pour montrer ses capacités. Et cela se voit, beaucoup trop. Alors oui les scènes de bastons sont plutôt galvanisantes, généreuses et bien foutues. On pense notamment au combat final, le meilleur moment du film. Mais hormis cela le reste est totalement vide ou foncièrement raté. Et, encore, on ne peut pas dire que les fusillades et combats soient impeccables car pas toujours très lisibles. À la manière de « The Raid » ou encore de tout un pan du cinéma asiatique de combat, on a l’impression d’être dans un jeu vidéo où chaque affrontement correspond à un niveau de difficulté. Et l’histoire qu’on tente de calquer là-dessus n’a ni queue ni tête.

    Par exemple, le fait de faire du personnage principal un sourd et muet n’est pas une mauvaise idée en soi mais le traitement choisi est infernal. En effet, il développe une sorte de seconde personnalité dans sa tête et « Boy kills World » nous assène donc une voix off omniprésente et insupportable. Elle est censée être drôle mais on a plutôt envie de claquer le personnage de Bill Skarsgaard par terre à cause d’elle. Ensuite, pour dire de masquer sa bêtise et sa vacuité, le script tente un rebondissement complètement inattendu pour surprendre le spectateur. Sauf que celui-ci, en plus d’être totalement improbable, est amené de manière pachydermique. Si les silhouettes de personnages sont plus (la chef de la sécurité au casque pour le moins expressif, excellente idée) ou moins (le personnage de Sharlto Copley, caricatural) flatteuses, tout cela devient vite éreintant en plus de ne rien inventer. Il n’y a qu’à voir l’univers dystopique proposé qui a un développement proche du néant et qui semble pompé sur les « Hunger Games ». Dans le même genre (action décérébrée) revoyez plutôt le méconnu mais génial et jubilatoire « Bloody Milkshake ».

    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top