Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Ecran Large
par Déborah Lechner
"Boy Kills World" voulait être un autre objet pop à la violence décomplexée et à l’absurdité assumée. Si tout n’est pas toujours assez bien dosé pour fonctionner, on est quand même plus proche du petit trip récréatif que de l’overdose.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
"Boy Kills World" est un amoncellement d'idées, pas toutes bonnes, pas toutes réussies, mais ô combien généreuses autour d'un revenge movie qui convoque tout un pan du cinéma d'action.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Si le scénario est simplet et la voix-off (intérieure) du héros usante, les furieuses bastons d'arts martiaux, plus sanglantes que "Kill Bill", envoient du lourd.
Télérama
par Yohan Haddad
Un zeste de Marvel, un trait de manga et une bonne dose de kung-fu : malgré une fin bavarde, ce joyeux gloubi-boulga bariolé remporte la médaille du divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
"Boy Kills World" voulait être un autre objet pop à la violence décomplexée et à l’absurdité assumée. Si tout n’est pas toujours assez bien dosé pour fonctionner, on est quand même plus proche du petit trip récréatif que de l’overdose.
Le Journal du Geek
"Boy Kills World" est un amoncellement d'idées, pas toutes bonnes, pas toutes réussies, mais ô combien généreuses autour d'un revenge movie qui convoque tout un pan du cinéma d'action.
Télé 7 Jours
Si le scénario est simplet et la voix-off (intérieure) du héros usante, les furieuses bastons d'arts martiaux, plus sanglantes que "Kill Bill", envoient du lourd.
Télérama
Un zeste de Marvel, un trait de manga et une bonne dose de kung-fu : malgré une fin bavarde, ce joyeux gloubi-boulga bariolé remporte la médaille du divertissement.