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rayonvert
21 abonnés
253 critiques
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1,0
Publiée le 31 mai 2009
L'homme qui était d'un ennui était un titre plus approprié pour ce film que je trouve particulièrement inintéressant. Pas une seconde, je n'ai trouver le personnage principal intéressant et ses aventures encore moins.
Ce film de Truffaut est plein de qualités : les personnages sont intéressants et attachants, le casting féminin est incroyable... Malheureusement, le manque d'énergie de Charles Denner et sa diction exagérément lente amènent une douce somnolence.
Un film de Truffaut en forme d'autoportrait qui rend hommage à toutes les femmes et à leurs mystères. Charles Denner est parfait en alter ego dans le rôle du séducteur invétéré.
F. Truffaut à ce talent de scénariste qui rend le film profond, fin et un poil visionnaire. Ici, la toile de fond est l'amour des femmes, sincère et handicapant même, pour l'alter-ego du réalisateur interprété par C. Denner. En plus d'une excellente direction d'acteur, la mise en scène de F. Truffaut est habile et modeste. Mais le film m'a quand même donné l'impression d'un manque de rythme suite à une histoire qui patine, dû à une redondance, sans émotion vers la fin, des relations avec les femmes et d'un manque d'amour même si le final est marquant et tragique et vaut son pesant d'or.
Un film horripilant, certains le voient comme étant un hymne à l'amour moi je le vois comme un film misogyne. Cette homme qui soi-disant n'est ni Casanova ni Don Juan traite les femmes d'une bien piètre façon pour n'être affublé de l'un de ces deux sobriquets. J'ignore également pourquoi Truffaut a fait le choix de Charles Denner, qui a, disons le clairement, un physique bien trop ingrat pour être crédile dans ce rôle de serial-biiip.
Dommage en tout cas que ce film soit traité aussi peu et laisse juste place à des jambes en pagaille. Les seconds rôles féminins, eux, ne sont pas mauvais. Malheureusement rien ne pouvait sauver ce fiasco de Monsieur Truffaut.
Ennuyant à souhait ! Pas une seconde, je me suis interessé à cet homme, ses désirs, ses pulsions et sa vie. Le propos est un peu lourd, dépourvu d'intérêt. Comble du comble, la réalisation m'a aussi déçu. Je préfère oublier ce film tant il ne réflète pas la qualité du cinéma de Truffaut !
Ce film de Truffaut est un coup de coeur, c'est un peu autobiographique, Truffaut était un homme à femmes, il a séduit la plupart des actrices qui jouaient dans ses films. Cet homme qui semble macho si on regarde ses multiples conquêtes, n'est en fait qu'un homme qui aiment les femmes, il les aime toutes, aussi différentes qu'elles peuvent être. Il décide d'écrire une biographie sur ses multiples amours, il ne veut en oublier aucune, elles sont toutes aussi importantes les unes que les autres. Ce séducteur invétéré ne vit que pour ça, ne voit que ça. Ce film est tellement riche qu'on ne peut pas tout dire. C'est en tout cas très poétique, Truffaut réalise un film dédié à son amour pour la beauté des femmes et pour la littérature. Un film subtil et intelligent.
"Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie." L'Homme qui aimait les femmes est bien plus que la simple aventure d'un libertin qui s'essaie à la séduction.
À vrai dire, le film de François Truffaut dégage sa puissance dramatique de sa profonde interaction avec la littérature, que le cinéaste évoque d'ailleurs, à travers cette sorte de mise en abime littéraire, merveilleusement orchestrée.
Bertrand Moran, le protagoniste de l'intrigue, a bien des ancêtres littéraires : on pense irrémédiablement à Dom, plus tendre et moins libertaire, certes, mais dont les destins sont plus ou moins similaires (pas de spoilers : l'enterrement du personnage est l'objet de la première scène). Le personnage de Delphine évoque davantage Madame Bovary, dans sa quête de l'exaltation et de l'absolutisme sensuel.
Mais derrière le récit, captivant par son ambiance et son honnêteté, se cache un véritable témoignage cinématographique.
C'est le témoignage d'une génération post-révolution sexuelle. C'est également un testament très flaubertien d'une Nouvelle Vague, qui prétend s'intéresser davantage à la forme écrite qu'à la démonstration morale.
Mais c'est surtout la conscience du changement des mœurs et des cultures. Après tout, la révolution sentimentale et sexuelle ne coïncide-t-elle pas avec le début d'une hégémonie cinématographique ?
François Truffaut donne à voir sa morale progressiste : la littérature doit naturellement céder son trône culturel au cinéma, nouvel Art majeur.
helas le titre aurait d'eu etre "l'homme qui aimait jouer avec l'ennuie des autre". Excuser mes pretentions a critiquer l'exelent TRUFFAUT mais il le FAUT , son film est bancale , ininteressent , avec des lenteurs (j'ai avancé a la fin) . Je pense Qu'il s'inscrit dans une epoque et qu'il a mal vieillit , il en devient d'un ringard !!
c'est fort heureusement le seule navet , la seule carotte (c'est plus noble) de truffaut qui nous a montrer qu'il etait le maitre du cinema . * A OUBLIER DE SA FILMOGRAPHIE CELUI-CI
Film à caractère autobiographique, "L'homme qui aimait les femmes" propose une histoire dont le personnage principal s'oppose à l'archétype du séducteur. Ni Don Juan, ni Casanova, Bertrand Morane (joué par l'excellent Charles Denner) est plutôt un homme névrosé, ayant un goût assez prononcé pour la solitude. D'ailleurs ce séducteur invétéré a une conception bien à lui de la femme et ne semble pas se soucier de la laideur ou de la beauté. Pour exprimer tout le personnage qu'il est, il décide de se lancer dans l'écriture d'un roman dans lequel il narre toutes les relations amoureuses qu'il a entretenu depuis son plus jeune âge. Sans oublier bien entendu les aventures sans lendemains. Dans ce film, tout le talent narratif de François Truffaut éclate et tout cela est magnifié par un très bon Charles Denner. Mais toute cette passion autour de la gent féminine ne peut aboutir à une fin heureuse. Un bon Truffaut.
C'est le premier film que je vois du réalisateur François Truffaut tant adulé par les cinéphiles et je pense que "L'homme qui aimait les femmes" ne doit pas ètre en haut de la filmographie du cinéaste !! Point positif, on sent dans le scénario de la poésie à mettre les mots ou il faut et ce long métrage possède une belle narration. Mais ce séducteur qui aime les femmes, au début c'est pas mal, on entre dans le charme à la féminitée mais plusieurs personnages à rencontrer et séduire, le récit devient répétitif, agaçant et à la limite ennuyeux. La deuxième partie et la rencontre de le l'écrivain qui publie son roman autobiographique rattrape l'histoire et mème la fin est un peu triste. Charles Denner est un bon comédien mais j'ai eu un peu de mal à le voir jouer un séducteur de femmes par manque de charisme à mon gout. Les actrices se succédant sont jolies et impeccables, on peux reconnaitre Nathalie Baye dans un petit role ou Brigitte Fossey dans un role plus étoffé mais le film est moyen.
Portrait subtil et maîtrisé d'un séducteur invétéré, d'une grande finesse et élégance. La grande force de ce film est sans aucun doute l'interprétation de Charles Denner, tout à fait exceptionnel, qui parvient à être ce qu'il faut de séduisant, d'inquiétant, de fragile, d'attendrissant... Le point faible c'est sa longueur, aussi épatantes que soient l'interprétation et la réalisation, le film a au moins 20 minutes en trop. Je ne suis pas non plus convaincue par la fin, un poil ridicule: spoiler: mourir en tombant de son lit c'est quand même carrément la honte! Enfin, L'Homme Qui Aimait Les Femmes reste un film à voir, ne serait-ce que pour la prestation de Charles Denner et le savoir faire de Truffaut.