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    As bestas
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    Samuel Quaile
    Samuel Quaile

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    R. Sorogoyen nous livre encore un grand film et s'impose comme le nouveau maitre du thriller.
    Côté casting Marina Foïs et Denis Ménochet sont éclatants comme à leur habitude, mais on retiendra aussi les performances saisissantes des acteurs espagnols Luis Zahera et Diego Anido que je ne connaissais pas pour ma part
    Le thriller parfait pour aller se ressourcer en salle contre la pluie ou la canicule !
    Marius P
    Marius P

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    Un thriller haletant au casting éclatant qui nous plonge dans un village où tous les coups sont permis...
    Margot1812
    Margot1812

    31 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    As Bestas de Rodrigo Sorogoyen est une pure merveille de mise en scène. Denis Menochet est dans l'un de ses plus beaux rôles, le film est vraiment à voir !!
    Maeva L.
    Maeva L.

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    Ce thriller aux allures de néo-western nous emporte du début à la fin. Du suspense, de la tension, des acteurs formidables et une réalisation à couper le souffle font de ce dernier film de Rodrigo Sorogoyen l'un des meilleurs films de l'année. À ne surtout pas rater.
    Pascal
    Pascal

    135 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2022
    Après les excellents " Que dios nos perdone" et " el reino", le sixième long métrage de Rodrigo Sorogoyen est un film choc.

    Ce thriller rural ( qui lorgne en direction des " chiens de paille" de Samuel Peckinpah), se déroule dans un village perdu de Galice ( partie Nord-ouest du pays) et recèle une force oppressante décuplée par le sentiment de vérité qu'il manifeste.

    Film qui aborde le thème de la xénophobie, de l'expatriation et la confrontation avec une culture différente, peut-être sur le mépris de classe, sur fond de divergence de point de vue à propos de l'installation d'éoliennes.

    "As bestas" propose une mise en scène antispectaculaire, qui diffuse adroitement la haine qui oppose les personnages et témoigne de la maîtrise de la mise en scène de ce réalisateur de premier ordre.

    L'interprétation de la part de l'ensemble de la distribution est formidable.
    jean l.
    jean l.

    152 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2022
    Magnifique nouveau film de Rodrigo Sorogoyen, un film sous tension , thriller dans un coin perdu de Galice avec des acteurs fantastiques
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    154 abonnés 516 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juillet 2022
    As bestas lorgne clairement du côté de Seules les bêtes : le titre, l'histoire et l'acteur principal le démontrent. Mais n'est pas Dominik Moll qui veut... Là où ce dernier parvenait à générer des ambiances pesantes sur la base d'un récit hyper sophistiqué, le cinéaste espagnol ne propose qu'un film assez conventionnel. Là où Dominik Moll traitait de thèmes aussi porteurs que la solitude, le désir de plaire, la crédulité, les relations nord-sud au travers des arnaques aux sites de rencontres, la puissance du hasard, le cinéaste espagnol ne fait qu'un film à thèse assez banal. L'originalité de la chose tient à l'idée de traiter le thème des relations de voisinage qui tournent très mal. Deux longues scènes en plan séquence, fort difficiles à jouer par les comédiens, offrent des morceaux de bravoure inégaux. L'une oppose le Français pseudo-bobo et ses voisins arriérés pour préciser la position de chacun sur un lucratif projet d'éoliennes ; on y sent toutes les rancœurs et les frustrations de ce milieu paysan. La seconde oppose la mère et sa fille, en une engueulade certes très réaliste mais qui passe mal sur grand écran. Ce récit n'appelait sans doute pas les 2h20 qu'il occupe, même si l'on ne s'ennuie pas trop. Bref, un film correct, sincère et honnête, à mi-chemin entre Jean de Florette et Seules les bêtes, sur un thème rare au cinéma. Mais avec la concurrence des écrans domestiques de 55 ou 70 pouces de diagonale, les salles obscures doivent peut-être désormais proposer autre chose pour que le spectacle qui y est projeté soit à l'échelle du grand écran qu'on y regarde.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    167 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2022
    Les Bêtes (en galicien : As bestas) Le film a été produit par Arcadia Motion Pictures, Caballo Films, Cronos Entertainment et Le Pacte, avec la participation de la RTVE, Movistar+, Canal+ et Cine+, le soutien d’Eurimages et le financement de l’ICAA. Le scénario a été écrit par Isabel Peña et Sorogoyen, collaboratrices de longue date. L’équipe de production comprend également d’autres collaborateurs récurrents de Sorogoyen (comme Olivier Arson en tant que compositeur, Alex de Pablo en tant que directeur de la cinématographie et Alberto del Campo en tant que monteur
    Sorogoyen a rapporté qu’il tournerait le film « comme un western ». Le tournage a débuté le 16 septembre 2021 et s’est terminé le 13 décembre 2021 Les lieux de tournage comprenaient El Bierzo et la Galice intérieure
    un bon thriller avec un bon casting
    Audrey L
    Audrey L

    581 abonnés 2 454 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2022
    Vous croyez avoir des problèmes avec vos voisins, attendez d'avoir vu As Bestas, vous allez relativiser. Voici donc l'affreuse cohabitation d'un couple de français récemment installés dans une province reculée d'Espagne, où les habitants n'apprécient pas trop les nouveaux arrivants (traduisez par : ceux qui n'ont pas trois générations d'ancienneté locale) et vont le leur faire savoir... Si ce nouveau Sorogoyen n'atteint jamais la flamboyance du précédent El Reino (petit bijou de tension), il peut néanmoins compter sur son très bon casting, Denis Menochet nous ayant autrefois appris à nous méfier de son air calme (Jusqu'à la garde, on en reste encore traumatisé) qui s'associe à la détresse sensible de Marina Foïs en épouse prête à tout pour soutenir son mari contre les voisins frappadingues. Quant aux fameux voisins, on peut dire que Luis Zahera et Diego Anido nous ont fait transpirer, dans des scènes qui misent sur leur air impassible, assurant l'imprévisibilité de l'issue finale (cette histoire va-t-elle finir en bain de sang ? Entre gens raisonnables ?). On regrettera d'ailleurs cette dernière partie trop sage, presque molle, qui dénote complètement avec ce que la tension nerveuse de l'ensemble du film nous laissait espérer jusque-là, on termine carrément sur notre faim. Inutile de dire également qu'on n'a pas apprécié l'ouverture qui, en voulant rendre hommage à l'immobilisation traditionnelle des chevaux par la force (magnifiée par la mise en scène qui voudrait qu'on soit admiratif de voir le cheval paniquer...), nous donne surtout envie de finir les bourreaux à coups de pelle. Il n'en reste pas moins que Rodrigo Sorogoyen continue de nous prouver combien il excelle à planter des ambiances tendues, à choisir un casting digne de porter cette atmosphère poisseuse sur les épaules, à construire des plans soignés et à nous appâter avec une intrigue dont on veut absolument savoir la fin. Dommage que cette fin n'a pas été à la hauteur après la scène-clé très réussie, on reste persuadé que Sorogoyen aurait pu s'éclater dans cette dernière partie, et nous avec.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 239 abonnés 4 039 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Racisme et harcèlement sont au rendez-vous du nouveau drame psychologique du réalisateur espagnol Rodrigo Sorogoyen. C’est sous tension qu’un couple français s’est installé dans un petit village de Galice pour pratiquer l’agriculture éco responsable et restaurer des maisons pour faciliter le repeuplement. Opposés au projet d’installation d’éoliennes sur leurs collines, ils se mettent à dos de nombreux voisins qui avaient signé l’adhésion en échange d’une indemnité. Pendant plus de deux heures, “As bestas” provoque notre empathie et stimule notre stress face aux épouvantables personnages joués par Luis Zahera et Diego Anido. Mais c’est surtout Marina Foïs et Denis Ménochet qui nous subjuguent face à la patience dont leur rôle fait face au climat irrespirable. Rodrigo Sorogoyen signe une fable coup de poing sur la xénophobie.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    306 abonnés 567 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2022
    « As bestas » (les bêtes en Espagnol) du réalisateur Rodrigo Sorogoyen promet beaucoup mais accouche finalement d’une œuvre un peu bancale et parfois outrancière.
    Le film qui sortira le 20 juillet 2022 en salle est centré autour de Antoine et Olga, un couple de Français qui sont installés depuis longtemps dans un petit village de Galice. Ils pratiquent une agriculture écoresponsable et restaurent des maisons abandonnées pour faciliter le repeuplement. Tout devrait être idyllique sans leur opposition à un projet d’éolienne qui crée un grave conflit avec leurs voisins. La tension va monter jusqu’à l’irréparable.
    Ca, c’est ce que vous pouvez lire sur la page de présentation du film.
    En vérité, d’une histoire assez universelle – les querelles de voisinage – le réalisateur tire une histoire un peu bancale, où voisinent plusieurs sujets : l’opposition entre agriculture traditionnelle et néoruraux, l’irruption du monde moderne (symbolisé par les éoliennes et la caméra utilisée par Antoine pour accumuler des preuves contre ses voisins) dans des régions appauvries par le dépeuplement et le nouvel ordre économique mondial…
    Le tout baigne dans une photographie crépusculaire – marque de fabrique du réalisateur - et une ambiance vaguement asphyxiante mais c’est surtout l’ennui qui domine et rapidement l’agacement face à des néo ruraux un peu bornés et des « locaux » un peu dépeints comme des démeurés. C’est un peu « tout blanc tout noir » et parfois caricatural.
    Denis Menochet impressionne comme toujours dans un jeu toute en violence contenu et en présence physique à la limite de l’ogresque. Marina Fois fait le job mais commence à devenir routinière dans un rôle -encore une fois – de « porteuse de croix » un peu hystérique.
    Peut être Rodrigo Sorogoyen souhaitait que nous ne nous attachions à aucun de ses personnages pour que frustration et manque d’empathie nous escortent jusqu’à la sortie.
    L’avenir du film nous le dira.
    traversay1
    traversay1

    3 243 abonnés 4 674 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juillet 2022
    Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien, de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont réinventés en agriculteurs bio ? Face à des paysans frustes, la tension est immédiate dès le début du dernier film de Rodrigo Sorogoyen lequel dépasse largement en intensité tout ce qu'il a pu tourner auparavant. Avant de boire la Galice jusqu'à l'hallali, ce conflit de voisinage sur fond de projet d'aménagement d'un parc d'éoliennes va emprunter peu ou prou les codes du film d'horreur avec une maîtrise qui laisse pantois. Pas un poil de sec pendant la projection aux côtés de Denis Ménochet et Marina Foïs, jamais vus ainsi, sans parler des autochtones, Luis Zahera en tête, méchant d'anthologie. A vrai dire, même les animaux, un chien, des brebis, quelques vaches et de superbes chevaux semblent avoir fait le cours Simon, tellement ils "jouent" juste. Le récit, sans jamais perdre de sa puissance nucléaire est coupé en deux par une ellipse monumentale et sublime, laquelle d'ailleurs fait penser à Madre de par la nature des faits qui se produisent dans la dernière partie du film. Que cela soit au café, sur une route de campagne ou dans les bois, As Bestas est constellé de scènes brillantes et conflictuelles qui font frémir et se demander par quel miracle Sorogoyen arrive à nous obliger à rester concentré pendant près de 140 minutes. Du travail d'orfèvre ciselé et difficilement comparable à celui d'un autre cinéaste contemporain.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    350 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2022
    Ce film est bien réalisé et scénarisé, un peu à la manière d’un western. Tourné dans les montagnes des Asturies espagnoles, l’ histoire dramatique de ce couple de français venu s’installer dans cette région et qui subit l’hostilité de leur voisin est très bien retranscrite à l’écran. Dans ce film, le réalisateur nous fait découvrir des points de vue intéressants sur les choix de vie des personnages et également sur la relation mère/fille. L’interprétation des acteurs principaux Denis MENOCHET et Marina FOIS est parfaite et illustre bien cette dramatique histoire.


    Bernard CORIC
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