Mon compte
    As bestas
    Note moyenne
    4,1
    5527 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur As bestas ?

    448 critiques spectateurs

    5
    95 critiques
    4
    212 critiques
    3
    80 critiques
    2
    34 critiques
    1
    17 critiques
    0
    10 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Virginie P
    Virginie P

    47 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juillet 2022
    WAOUH 👏👏, quel film !
    Un thriller façon "western" moderne où la tension/le stress montent crescendo et en puissance.
    La Galice est magnifique et la représentation dure des paysans espagnols est absolument phénoménale.
    Quant à l'interprétation de Denis Ménochet et Marina Fois, quoi dire ? Si ce n'est que j'ai rarement vu des comédiens interpréter leur rôle en les habitant avec une telle intensité
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    328 abonnés 1 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2022
    C’est une réalisation de Rodrigo Sorogoyen. L’espagnol est spécialiste dans le drame et le thriller avec notamment El Reino lui ayant rapporté deux Goyas du meilleur scénario et meilleur réalisateur. Il a écrit le scénario avec Isabel Peña qui collabore régulièrement avec lui.
    L'Espagne est généralement un pays d'accueil chaleureux pour les touristes. Il existe cependant des endroits plus reculés où les montagnards n'acceptent pas les Français venant s'installer sur leur terre. L'intrigue se déroule en effet dans un village en déclin comme il en existe beaucoup en Espagne, où les habitants se méfient des étrangers. Ça va être dans ce climat que Marina Foïs et Denis Ménochet vont vivre une relation très difficile avec leur voisinage.
    Avec une première scène choque montrant des aloitadores, As bestas va très vite nous prendre en haleine. En revanche, cette introduction risque de révolter les amis des chevaux. Durant tout le film, l'atmosphère va être tendue. On voit la relation dégradée entre les Français et leurs voisins Espagnols. À n'importe quel moment le feu peut s'allumer. On regrette toutefois que ce thriller soit trop long. Le rythme est très lent. Il aurait pu être raccourci de 20 minutes pour un résultat plus pêchu. Il y a seulement une poignée de scènes vraiment marquantes.
    C'est aussi en partie dû au mari qui est trop timoré. En réalité, il y a un manque de cohérence dans l'écriture de son personnage. D'un côté Antoine, va être très lâche et donc s'écraser devant toutes les situations sensibles, mais de l'autre, il va les provoquer. C’est plutôt étrange, car un homme dépourvu de courage ne va pas rentrer volontairement dans le danger pour ensuite le fuir. La scène de la station de naissance en est le symbole. Pour autant, Denis Ménochet se débrouille très bien dans son jeu. Avec le peu qu'on lui donne, il arrive à faire quelque chose de respectable. Les personnages des frères Anta sont beaucoup plus intéressants. La haine qu’ils portent au couple les rend antipathiques. Pour autant, nous comprenons leur rancœur au vu de leur situation précaire et la difficulté de vivre dans ce village. Il faut saluer le jeu de Luis Zahera et Diego Anido.
    La seconde partie va être plus focalisée sur la femme. Sa débrouillardise et son courage vont être mis en avant. Olga ne lâche rien. Elle est obstinée dans sa quête. Marina Foïs va faire un travail remarquable. Cette actrice est exceptionnelle et sublime son personnage. Dommage que les passages avec la fille soient insupportables. En effet Marie Colomb, malgré la bonne impression laissée dans Les Magnétiques, passe à côté de son rôle.
    Patjob
    Patjob

    30 abonnés 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2022
    Le titre, qui renvoie à l’animalité que l’on peut trouver chez les humains, est en Galicien, langue régionale entendue lors des premières scènes du film ; il indique la volonté du réalisateur d’enraciner l’action dans une terre. Le prologue renvoie plus tard, très fugacement, au traumatisme subi par Lauren, mais est surtout annonciateur d’une scène décisive. Ceci posé, on a ensuite affaire à un grand film de suspense, à dimensions sociale et familiale. Tout part d’un conflit de voisinage dans un village perdu de la montagne Galicienne, une ambiance dont le réalisateur imprègne rapidement son film. Le conflit est à la fois un conflit d’intérêts et un conflit culturel, de nationalité, de niveau d’instruction, de conception de la vie. Il sera suivi d’un autre conflit, familial celui-là. Et les conflits tournent aux drames, lorsque les hommes, comme tous les personnages ici, font preuve d’obstination. La plus grande force du film est peut-être dans ses dialogues, qui donnent lieu à quelques scènes d’une très grande intensité, comme celle, la plus forte, faisant penser à Tarantino, entre Antoine et Xan (un long plan fixe, avec Lauren au second plan) ou celle entre Olga et Marie (un long plan séquence éprouvant). En montrant un monde, des hommes et en racontant une histoire au fond assez simple, Rodrigo Sorogoyen a réalisé un film haletant et marquant (qui manque peut-être d’une conclusion à son niveau) ; on n'est pas près d’oublier les personnages terrifiants (et paradoxalement compréhensibles) des deux frères (incarnés par deux acteurs épatants) ….
    Françoise ENJOLRAS
    Françoise ENJOLRAS

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2022
    film sans âge, mais qui, extrêmement sobrement retrace comment "l'étranger" ne peut être que nuisible. Dans ces contrées isolées, vieilles pierres, le sens de la propriété dans cette contrée des Pyrénes, endroit plus que rude, le sens de la propriété du sol, du passé, peut être exacerbé et sous l'emprise de pas mal d'alcool, peut mener au meurtre.

    Marina Foîs excellente de véracité.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    43 abonnés 1 101 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2022
    Le film est constitué de 2 parties et dure pour cela 2h17 (un peu long). La 1ère partie est bien faite mais conventionnelle et raconte les difficultés d’un couple français, Antoine (Denis MENOCHET) et Olga (Marina FOÏS) venus en Galice (d’où le titre en galicien qui signifie « Les bêtes », mot à double sens) pour cultiver et vendre leurs légumes ainsi que retaper de vieilles maisons. Deux frères, Xan, 45 ans et Lorenzo, 52 ans, éleveurs de bovins et vivant dans la ferme voisine de leur mère, ne les apprécient pas pour de multiples raisons, d’une part, en tant qu’étrangers et français (et de rappeler les exactions de Napoléon Ier qui avait placé son frère Joseph à la tête du royaume en 1808) et d’autre part, Antoine étant contre le projet d’éoliennes, ce qui pourrait les priver d’une rentrée d’argent et les sortir de leur situation (de pauvres et de célibataires). Le sujet n’est pas nouveau et déjà était traité dans « Jean de Florette » (1986) de Claude Berri, adapté du roman « L’eau des collines » (1963) de Marcel Pagnol et où Jean Cadoret (rôle-titre), percepteur à la ville, venait cultiver des légumes et élever des lapins sur la terre de sa mère décédée, en vain car des voisins, Le Papet et Ugolin, avait bouché sa source afin de racheter plus tard la propriété. Chez Pagnol, point de racisme mais un antagonisme entre ceux de la ville et de la campagne et l’appât du gain. Le réalisateur espagnol fait monter la pression de la part des 2 frères, alcooliques et « bas de plafond », surtout Xan, blessé à la suite d’un accident avec un cheval (lors de la tradition galicienne de couper la crinière des chevaux) jusqu’à l’inévitable (puisqu’il s’agit d’une tragédie). Cela évoque, certes dans un contexte différent, « Les nerfs à vif » (1962) de Jack LEE THOMPSON où Robert Mitchum, sorti de prison, vient mener une guerre des nerfs auprès de Gregory Peck, l’avocat qui est responsable de sa condamnation. Après une ellipse remarquable, la seconde partie est la plus intéressante : elle est centrée sur Olga et contient une scène d’une grande intensité, filmée en plan séquence, d’altercation entre Olga et sa fille. Elle est digne de « Sonate d’automne » (1978) d’Ingmar Bergman avec la confrontation entre Ingrid Bergman, la mère et Liv Ullmann, la fille. A souligner aussi la belle photographie, notamment des intérieurs, due à Alejandro de PABLO (dont c’est la 7e collaboration avec le réalisateur) et la musique, souvent minimaliste mais toute en tension d’Olivier ARSON (5e collaboration avec le réalisateur).
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    12 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juillet 2022
    Un film de plus de deux heures, un film sans course effrénées, un film sans actions haletantes , un film de plus de deux heures où lentement le temps passe s'écoule.

    Le plus important dans ce film le lieu. Un hameau perdu en Galice, hameau agricole en voie de désertification et de paupérisation. Dans ce hameau des français nouvellement installés, agriculteurs bio. Un film sur la confrontation de deux mondes.

    - Français, galiciens autres pays, mépris et vieux conflits.
    - Français qui viennent s'installer, galiciens qui voudraient partir.
    - Français qui cultivent bio, galiciens qui veulent vire de leurs terres.
    - Français bercés d'idéaux, galiciens pragmatiques.
    - Français qui se veulent voisins, galiciens adversaires.
    - Etc...

    Un film qui lentement détaille une haine de voisinage. Haine prévisible, haine qui s'installe, haine qui monte, haine qui passe par des actes de plus en plus violents.

    Un film dont l'issue s'installe doucement sans qu'il soit possible d'y échapper un fim simplement remarquable.
    livelena
    livelena

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2022
    Puissant. Et l'histoire ne va jamais où on pense aller. Les acteurs sont excellents. C'est un grand film.
    Sysy D.
    Sysy D.

    8 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2022
    As bestas signifie EN GALICIEN et non en espagnol ou castillan les bêtes.

    Olga et Antoine, couple de français sont venus s'installer en Galice où ils vivent de la culture de légumes selon le rythme des saisons et de la terre, sans engrais ni autres outils de l'agriculture intensive et retape des maisons laissées à l'abandon dans l'espoir de faire revenir des gens pour repeupler cette Galice désertée. Une société norvégienne a proposé aux habitants de leur village d'installer des éoliennes, installation qui donnera lieu à une compensation financière. Antoine s'oppose à ce contrat en refusant de le signer et en réussissant à convaincre 3 autres habitants du village. 3 contre, 6 pour. Statu quo, les éoliennes se font attendre. Sauf que la position affirme d'El Francès, Antoine, a attisé et fait ressortir la colère et la haine des 6 pour notamment des frères Xan et Loren. Une guerre de voisinage s'enclenche.

    Comme dans la lignée de ses films précédents (notamment El reino et Que Dios nos perdone) R. Sorogoyen nous plonge dans une atmosphère de thriller avec une pression et un suspens qui monte lentement mais sûrement. Par ailleurs, en fixant son histoire en Galice, cette région souvent qualifiée la plus pauvre d'Espagne et la plus reculée (lire les œuvres de R. de Castro, grande figure littéraire galicienne), avec ses villages, ses habitants installés depuis des lustres et sa désertification, ses paysages de petites montagnes, sa langue et culture (comme les Basques ou les Catalans, la Galice est une culture à part entière, tellement à part entière que jusqu'au milieu du XIXème siècle existait au sein du royaume d'Espagne une royauté de Galice), il livre une ambiance inquiétante, poisseuse, difficile. Du coup, la discorde sérieuse de voisinage, base du scénario, est vraiment bien revisitée, remaniée. Il y a une recherche de réalisme, de détails, de subtilité dans la réalisation, les décors, l'histoire. Le fait de tourner en grande partie en galicien (langue parlée notamment entre les 2 frères) apporte un réel souci d'ancrage dans la région.

    Mais, mais personnellement connaissant très bien la Galice du côté espagnol (d'ailleurs j'ai reconnu pas mal d'endroits filmés dans le film) et du côté portugais (la frontière luso-espagnol d'où est originaire ma famille) il y a des trucs, des choses qui m'ont gêné voire déplu.

    Les maisons et les décors correspondent bien à la réalité de la région. Mais la Galice a pas mal bénéficié des subventions européennes et beaucoup de Galicien.nes ont pu moderniser leurs villages et par la même leurs habitats. Le café où les protagonistes se rendent est franchement exagéré dans son aménagement et décor. Ensuite, l'histoire des éoliennes a été effectivement source de débats et de discussions dans cette région. Et ce n'est pas fini. Cependant, le film ne montre pas suffisamment ces discussions, les pour et les contre. On peut déplorer l'installation de ces engins mais il faut mettre plus que les compensations financières distribuées aux habitants sur la table. Il y aussi tout l'aspect d'approvisionnement en électricité dans la région, source de continuité de modernisation. On a l'impression que Xan et Loren veulent ses éoliennes que pour l'argent pour améliorer leurs conditions.

    L'interprétation : perso' je n'aime pas M. Foïs, je la trouve arrogante, manquant d'humilité et très bobo. Elle tourne en rond dans son jeu. Et inintéressante à mes yeux. Mais là pour le coup, sa personnalité insupportable et sa suffisance ont bien servi son personnage de citadine qui joue aux Marie-Antoinette modernes. Impeccable dans le rôle. D. Menochet est bien mais la transmission de sa soi-disante affection de la région n'est pas bien jouée. spoiler: Et d'ailleurs lors de la confrontation avec Xan au sujet des éoliennes, du village et de la région, il est très, très en-dessous de l'acteur espagnol qui lui répond que lui il vit là depuis 52 ans, sa mère 73 et que Antoine est arrivé du jour au lendemain.

    L'interprétation tient surtout aux acteurs espagnols, dont beaucoup s'expriment dans un galicien nickel.

    Dans l'ensemble c'est un bon film. D'aucuns regrettent une seconde partie plus mollassonne, moins oppressante. Peut-être personnellement mais je trouve qu'il y a un équilibre entre les deux. Thriller à voir.
    Jean-Marc P.
    Jean-Marc P.

    30 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2022
    Un thriller psychologique tendu tout du long, une mise en scène sèche et une interprétation habitée classent cette oeuvre dans la catégorie des grands films marquants. Le racisme auquel est confronté la famille française renvoie à l'insécurité culturelle de locaux dont une scène fait entendre le point de vue.
    marietheking
    marietheking

    8 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2022
    Thriller lent qui prend son temps pour faire monter une pression dont il est difficile de revenir, même quand la lumière est revenue dans la salle. On est sans cesse tiraillé car le film nous fait comprendre tous les points de vue en même temps, ce qui rend la tension encore plus impossible à résoudre. L'enchaînement fatal est irrémédiable, on ne voit pas ce qui pourrait l'arrêter. Magistral.
    Steadyllic
    Steadyllic

    17 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2022
    Un film déroutant, subtil, angoissant, d'un talent d'écriture et de réalisation habituel à Sorogoyen, mais sans aucun manichéisme. Cette réflexion sur la xénophobie (qu'on pourrait réduire à tort au "on est chez nous" de nos fachos cocardiers) évite les clichés. Les deux méchants sont magistralement interprétés par Luis Zahera et Diego Anido et l'on comprend presque leur frustration rustre devant un néo rural écolo magistralement interprété par le magistral Denis Ménochet qui se hisse au rang de Depardieu. Sa femme Marina Foïs est aussi fascinante, surtout dans la seconde partie après une ellipse subtilement insérée au scénario.
    Il s'agit là d'un très grand cinéma qui entretient un suspense rural étonnant, avec un rapport charnel avec la nature, ses paysages, ses animaux. La menace et l'angoisse sourde d'une hostilité qui va grandissant se distillent par petites touches parfois dans de longs plans séquences hypnotiques. Dans la seconde partie, Marina Foïs se déchire avec sa fille, et tout est vrai, authentique, poignant.
    Ma seule réserve concerne la photo que je trouve parfois trop enterrée dans la pénombre. J'adore les clairs obscurs, mais là, j'aurais voulu mieux apprécier le jeu de Ménochet sur son visage, tant il est éblouissant. Ce comédien que je viens aussi d'apprécier dans un tout autre registre dans Peter Von Kant où il survole le ridicule avec génie est vraiment une révélation.
    Certains trouveront le film un peu long, moi pas du tout. Marina Foïs porte à bout de bras la seconde partie, farouchement et avec un talent tout dans la retenue. Vraiment du bon cinéma qui nous change des comédies françaises indigestes qui envahissent nos écrans.
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    159 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2022
    Film qui prend le temps de poser l'intrigue et ses personnages, avec une montée en crescendo dramatique jusqu'au climax et bascule de point de vue avec changement de personnage principal. Rodrigo Sorogoyen confirme son talent pour filmer, et mettre en avant avec force des duos d'acteurs/actrices. J'avais adoré Madre en ce sens.
    Denis Menochet et Marina Foïs sont vraiment excellent dans leurs rôles, avec une vraie profondeur de jeu, très intense. Il y a en plus un immense travail d'apprentissage de la langue espagnole, ce qui n'est jamais simple à jouer avec justesse quand on n'est pas bilingue. Là où leur performance est encore plus incroyable, c'est par la longueur des plans et des dialogues filmés souvent en plan séquence sur un seul cadre, les obligeant à tenir le ton et les intentions durant plusieurs longues minutes. Plusieurs scènes restent en tête à ce niveau spoiler: (la scène du bar avec le trio Antoine, Xan, Lorenzo et celle avec Olga et sa fille dans la cuisine, entre autres)
    , et sont d'ailleurs des scènes clés du film.
    j'ai adoré la façon dont est développé l'intrigue autour du couple, mettant dans un premier temps en avant Antoine, pour finir en changeant le point de vue avec ellipse sur le personnage de sa femme Olga.
    Le rythme est lent mais très bien mené par l'histoire qui m'a personnellement accaparé sans difficulté sans jamais me lâcher jusqu'au bout.
    J'espère vraiment que Marina Foïs sera récompensé un jour pour son travail. Elle sait choisir intelligemment ses rôles et les travaille avec grande minutie, et apparait de plus en plus magistrale dedans. Quand on vient de la comédie, c'est très difficile d'en sortir, et elle a réussit à le faire avec brio ! Elle mérite vraiment une récompense, qui viendra c'est sûr !!
    Film très bon, au climat anxiogène sur fond de cause écologique. A voir sans hésiter !
    Corbett
    Corbett

    27 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2022
    Un immense film, Rodrigo Sorogoyen au sommet et pourtant il était déjà allé très haut avec que dios nos perdone et El Reino.
    A mi chemin entre Délivrance et Chien de Paille, un thrilleur au suspens haletant qui ne vous lâche pas dès la 1ère minute.
    Julie
    Julie

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2022
    Film exceptionnel d'une ambiance oppressante à commencer par la scène initiale de corps à corps du cheval harcelé par trois hommes qui se termine par un étouffement...
    Denis Menochet et Marina Foïs remarquables dans leurs interprétations respectives suivant ensemble un idéal et réagissant différemment au harcèlement de deux hyènes que sont les frères voisins.
    Un film à voir absolument et qui mérite d'être primé !
    Ip Man S
    Ip Man S

    6 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2022
    Pas mal. On est tenu en haleine mais le film reste trop long à partir d'un moment et surtout je reste sur ma faim.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top