Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
« As bestas » secoue le spectateur avec une virtuosité telle qu’il en reste le souffle coupé.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le cinéaste espagnol Rodrigo Sorogoyen emprunte les voies du thriller montagnard pour s’attaquer à la xénophobie qui gangrène notre époque. Une leçon de cinéma.
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
La justesse de ne jamais surécrire, la nécessité impérieuse de ne jamais surréaliser, avec la volonté de déchiffrer ces personnages, tout en leur prêtant les mots justes qui ne sont pas les bons pour se comprendre entre eux : "As Bestas", d’un quotidien extraordinaire, regorge de stimuli et de détails non-ostentatoires d’une immense valeur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
As Bestas raconte ça, la terre et la violence, les bêtes humaines inhumaines. Face-à-face, s’affrontant dans une arène impitoyable, un couple de Français et deux paysans, frères frustes et rustres, les Espagnols Luis Zahera et Diego Anido, qui sont aussi des acteurs irréprochables.
GQ
par Adam Sanchez
En mêlant les genres et les tonalités, le réalisateur signe ici son plus grand film, autopsiant les maux qui rongent une Espagne coupée en deux, entre ville et campagne, les mondialisés et ceux qui n'ont plus le droit qu'aux miettes. Une œuvre d'une puissance et d'une acuité comme on en voit peu aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un des grands films de l’année.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En grimpant dans les montagnes de Galice pour As Bestas, thriller sombre et glaçant, cauchemar de terreur mentale, Sorogoyen atteint des sommets de maîtrise.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Rodrigo Sorogoyen réalise un coup de maître avec ce récit, à la croisée du thriller et du western, à l’atmosphère anxiogène souvent irrespirable.
Les Echos
par Olivier de Bruyn
Ce film puissant sur la peur et la haine de l'autre confirme le talent de Rodrigo Sorogoyen.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Michel Oriot
L'ambiance est terriblement anxiogène, comme dans le film américain Délivrance (...). Terrible.
Positif
par Ariane Allard
Ce thriller rural, sis dans un village en déclin de Galice, ne se contente pas de captiver par la seule force oppressante de son récit. II sidère aussi par l’incroyable sentiment de vérité qu’il dégage...
Voici
par Daniel Blois
Un des grands films de l'année.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans une œuvre envoûtante et authentique, Rodrigo Sorogoyen décrit avec brio les rouages mortifères du harcèlement de voisinage avec deux comédiens principaux, Marina Foïs et Denis Ménochet, absolument sidérants de sincérité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Sorogoyen tire son récit comme le fil d’une pelote parfaitement enroulée, et emballe par son sens du climat et de la tension immédiate.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Antoine Desrues
Toujours plus brillant à chaque film, Rodrigo Sorogoyen touche au sublime avec As Bestas. L’auteur y tisse une synthèse passionnante de son art, dans un écrin de thriller rural d’une maîtrise indécente. L’un des films majeurs de l’année !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Denis Ménochet et Marina Foïs forment un beau couple de cinéma.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un peu lent, parfois, mais très crédible.
L'Obs
par Sophie Grassin
Si nous devions retenir une poignée de longs-métrages montrés cette année à Cannes, il y aurait celui-là.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Mais le cinéaste parvient à transcender cette dimension programmatique par une mise en scène virtuose dans sa construction tout en ellipses, et par la façon dont il met en image le rapport entre l’homme et les éléments.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
L’Espagnol Rodrigo Sorogoyen signe un film tendu et dérangeant, qui relève autant du drame intimiste social que du thriller paysan.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
u final, il faut avoir les nerfs bien accrochés pour encaisser « As Bestas », tant Sorogoyen y cultive la tension avec une formidable maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Rodrigo Sorogoyen vise juste avec ce thriller âpre, filmant ses personnages au bord de l’implosion sans jamais perdre de vue leur humanité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Rodrigo Sorogoyen maîtrise parfaitement son récit, son découpage, sa mise en scène, ses acteurs et actrices (c’est l’un des meilleurs films de Marina Foïs à ce jour, et Denis Ménochet est magnifique), et nous livre un film tenu, tendu, sec comme un coup de trique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
L’écriture des séquences articulées sur quelques grands moments de confrontation verbale nous fait arpenter un territoire parallèle, sans contour ni frontières physiques ou cadastre, le champ clos des expériences individuelles qui soudain dessinent une géographie mentale mal ajustée, substituant à ce qu’on croyait être un paysage serein le gouffre d’une catastrophe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
Le film procède en montées de tension successives, dont le bouillonnement est savamment entretenu par une mise en scène aussi discrète que rigoureuse et une interprétation impeccable.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Ce film puissant sur les fractures identitaires la haine de l’étranger confirme le talent d’un metteur en scène qui aime arpenter des territoires dérangeants.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Avec «As bestas», huis clos étouffant, le réalisateur d’« El reino» confirme son talent.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par François Léger
À la fin de la projection au festival de Cannes, dans la section parallèle Cannes Première, une question nous obsédait : comment un tel morceau de cinéma pouvait-il avoir manqué la compétition ? As bestas, bête de film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par La Rédaction
Un thriller implacable.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Rodrigo Sorogoyen n’est jamais là où on l’attend, s’ingéniant à créer des atmosphères, à rendre la beauté de cette campagne à la fois sauvage et morose, jouant avec les codes du western, mais reculant pour mieux sauter et semant des indices avec l’économie d’un laboureur.
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Avec sa formidable interprétation et son atmosphère oppressante, ce thriller social interroge et captive.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Fort de sa remarquable interprétation et de son atmosphère oppressante, ce thriller social interroge et captive.
Télérama
par Jacques Morice
Rodrigo Sorogoyen, réalisateur d’“El Reino”, signe un thriller à l’hyperréalisme terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
S’il ne transcende pas particulièrement son programme, l’intérêt du film tient plutôt à sa longue perspective de temps, tracée par une structure en diptyque.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Si l’on mesure la réussite d’un film à la peinture de ses « méchants », il faut convenir que Sorogoyen a ici frappé assez fort. Mais le film s’intéresse aussi, à travers le portrait qu’il dessine des victimes, à la question du légalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Ce drame rural, impeccablement interprété, cherche à expliquer plutôt qu’à juger. La tension, digne d’un thriller (malgré sa lenteur), n’en est que plus palpable.
Critikat.com
par Josué Morel
As Bestas souffre des mêmes travers que Madre : un primat de la psychologie sur l’action et une domination très nette du scénario sur la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
« As bestas » secoue le spectateur avec une virtuosité telle qu’il en reste le souffle coupé.
CinemaTeaser
Le cinéaste espagnol Rodrigo Sorogoyen emprunte les voies du thriller montagnard pour s’attaquer à la xénophobie qui gangrène notre époque. Une leçon de cinéma.
Culturopoing.com
La justesse de ne jamais surécrire, la nécessité impérieuse de ne jamais surréaliser, avec la volonté de déchiffrer ces personnages, tout en leur prêtant les mots justes qui ne sont pas les bons pour se comprendre entre eux : "As Bestas", d’un quotidien extraordinaire, regorge de stimuli et de détails non-ostentatoires d’une immense valeur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
As Bestas raconte ça, la terre et la violence, les bêtes humaines inhumaines. Face-à-face, s’affrontant dans une arène impitoyable, un couple de Français et deux paysans, frères frustes et rustres, les Espagnols Luis Zahera et Diego Anido, qui sont aussi des acteurs irréprochables.
GQ
En mêlant les genres et les tonalités, le réalisateur signe ici son plus grand film, autopsiant les maux qui rongent une Espagne coupée en deux, entre ville et campagne, les mondialisés et ceux qui n'ont plus le droit qu'aux miettes. Une œuvre d'une puissance et d'une acuité comme on en voit peu aujourd'hui.
La Voix du Nord
Un des grands films de l’année.
Le Dauphiné Libéré
En grimpant dans les montagnes de Galice pour As Bestas, thriller sombre et glaçant, cauchemar de terreur mentale, Sorogoyen atteint des sommets de maîtrise.
Le Journal du Dimanche
Rodrigo Sorogoyen réalise un coup de maître avec ce récit, à la croisée du thriller et du western, à l’atmosphère anxiogène souvent irrespirable.
Les Echos
Ce film puissant sur la peur et la haine de l'autre confirme le talent de Rodrigo Sorogoyen.
Ouest France
L'ambiance est terriblement anxiogène, comme dans le film américain Délivrance (...). Terrible.
Positif
Ce thriller rural, sis dans un village en déclin de Galice, ne se contente pas de captiver par la seule force oppressante de son récit. II sidère aussi par l’incroyable sentiment de vérité qu’il dégage...
Voici
Un des grands films de l'année.
aVoir-aLire.com
Dans une œuvre envoûtante et authentique, Rodrigo Sorogoyen décrit avec brio les rouages mortifères du harcèlement de voisinage avec deux comédiens principaux, Marina Foïs et Denis Ménochet, absolument sidérants de sincérité.
Bande à part
Sorogoyen tire son récit comme le fil d’une pelote parfaitement enroulée, et emballe par son sens du climat et de la tension immédiate.
Ecran Large
Toujours plus brillant à chaque film, Rodrigo Sorogoyen touche au sublime avec As Bestas. L’auteur y tisse une synthèse passionnante de son art, dans un écrin de thriller rural d’une maîtrise indécente. L’un des films majeurs de l’année !
Elle
Denis Ménochet et Marina Foïs forment un beau couple de cinéma.
Femme Actuelle
Un peu lent, parfois, mais très crédible.
L'Obs
Si nous devions retenir une poignée de longs-métrages montrés cette année à Cannes, il y aurait celui-là.
La Croix
Mais le cinéaste parvient à transcender cette dimension programmatique par une mise en scène virtuose dans sa construction tout en ellipses, et par la façon dont il met en image le rapport entre l’homme et les éléments.
Le Figaro
L’Espagnol Rodrigo Sorogoyen signe un film tendu et dérangeant, qui relève autant du drame intimiste social que du thriller paysan.
Le Parisien
u final, il faut avoir les nerfs bien accrochés pour encaisser « As Bestas », tant Sorogoyen y cultive la tension avec une formidable maîtrise.
Les Fiches du Cinéma
Rodrigo Sorogoyen vise juste avec ce thriller âpre, filmant ses personnages au bord de l’implosion sans jamais perdre de vue leur humanité.
Les Inrockuptibles
Rodrigo Sorogoyen maîtrise parfaitement son récit, son découpage, sa mise en scène, ses acteurs et actrices (c’est l’un des meilleurs films de Marina Foïs à ce jour, et Denis Ménochet est magnifique), et nous livre un film tenu, tendu, sec comme un coup de trique.
Libération
L’écriture des séquences articulées sur quelques grands moments de confrontation verbale nous fait arpenter un territoire parallèle, sans contour ni frontières physiques ou cadastre, le champ clos des expériences individuelles qui soudain dessinent une géographie mentale mal ajustée, substituant à ce qu’on croyait être un paysage serein le gouffre d’une catastrophe.
Mad Movies
Le film procède en montées de tension successives, dont le bouillonnement est savamment entretenu par une mise en scène aussi discrète que rigoureuse et une interprétation impeccable.
Marianne
Ce film puissant sur les fractures identitaires la haine de l’étranger confirme le talent d’un metteur en scène qui aime arpenter des territoires dérangeants.
Paris Match
Avec «As bestas», huis clos étouffant, le réalisateur d’« El reino» confirme son talent.
Première
À la fin de la projection au festival de Cannes, dans la section parallèle Cannes Première, une question nous obsédait : comment un tel morceau de cinéma pouvait-il avoir manqué la compétition ? As bestas, bête de film.
Public
Un thriller implacable.
Sud Ouest
Rodrigo Sorogoyen n’est jamais là où on l’attend, s’ingéniant à créer des atmosphères, à rendre la beauté de cette campagne à la fois sauvage et morose, jouant avec les codes du western, mais reculant pour mieux sauter et semant des indices avec l’économie d’un laboureur.
Télé 2 semaines
Avec sa formidable interprétation et son atmosphère oppressante, ce thriller social interroge et captive.
Télé Loisirs
Fort de sa remarquable interprétation et de son atmosphère oppressante, ce thriller social interroge et captive.
Télérama
Rodrigo Sorogoyen, réalisateur d’“El Reino”, signe un thriller à l’hyperréalisme terrifiant.
Cahiers du Cinéma
S’il ne transcende pas particulièrement son programme, l’intérêt du film tient plutôt à sa longue perspective de temps, tracée par une structure en diptyque.
Le Monde
Si l’on mesure la réussite d’un film à la peinture de ses « méchants », il faut convenir que Sorogoyen a ici frappé assez fort. Mais le film s’intéresse aussi, à travers le portrait qu’il dessine des victimes, à la question du légalisme.
Télé 7 Jours
Ce drame rural, impeccablement interprété, cherche à expliquer plutôt qu’à juger. La tension, digne d’un thriller (malgré sa lenteur), n’en est que plus palpable.
Critikat.com
As Bestas souffre des mêmes travers que Madre : un primat de la psychologie sur l’action et une domination très nette du scénario sur la mise en scène.