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Votre avis sur Platoon ?
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Un chef d'oeuvre sur la guerre du Vietnam. L'un des meilleurs films d'Oliver Stone. Une excellente adaptation du roman Dale A.Dye. Dans la même veine de Full Metal Jacket.Un grand film, un regard neuf et lucide sur un conflit qui hante encore l'Amérique.
L'horreur de la guerre ou l'on nous montre à quel point les hommes peuvent être cruelle en nous poussant dans nos derniers retranchements grâce à ses images et à sa mise en scène puissante et réaliste.
Platoon est une autocritique et une dénonciation de la guerre du Vietnam. Les américains n'avaient rien à y faire là-bas, ils ont commis des crimes contre des villageois et ils ont perdus la guerre. La réalisation est parfois brouillonne mais convenable pour un film de 1986/87, les acteurs sont nombreux à avoir exploser sur grand écran et certaines scènes glacent le sang. Malgré le nombre conséquent de film de guerre, celui-ci vaut le détour.
La guerre du Viêt-Nam, la vraie, filmée par Stone, le meilleur dans cet exercice, avec en prime un casting d'enfer. Géant.
Vu lors de sa sortie à de nombreuses reprises en région parisienne puis à Abidjan. Cela reste un grand souvenir. D'abord une bande originale phénoménale. Ensuite il faut dire que Platoon est un film de guerre en forme de récit initiatique d'un blanc bec parfaitement incarné par le très vert Charlie Sheen. Mais il joue surtout la fibre documentaire et c'est ce qui lui donne tout son piment permettant de radiographier les tendions raciales et sociales au sein d'une section de Marines; Mention spéciale au couple de "parents" Tom Berenger / Willem Dafoe. Il y a du manichéisme c'est vrai mais il y a un souci de réalisme et une dimension lyrique qu'apporte l'Adagio for Strings de Barber qui achèvent d'en faire un grand film de guerre.
Un film extraordinaire qui plonge le spectateur au coeur de l'enfer du Vietnam. Oliver Stone produit un récit ultra réaliste pour décrire les horreurs de la guerre où l'on sent durant deux heures l'effroi du vécu du cinéaste. Le film est à la fois touchant et dur, parfois horrifiant, parfois révoltant. Le parti pris de suivre une compagnie entière durant quelques semaines permet au spectateur de suivre pas à pas l'évolution de ce peloton, d'y prendre une place à part entière et d'assister aux parties de camaraderies, aux disputes intestines et à la vie quotidienne, emplie de peur et de désarroi, du soldat au Vietnam. Toujours sur le bon ton et le bon rythme, Oliver Stone livre là une très très grande performance derrière la caméra (et pourtant je suis souvent assez critique avec ses films !) avec des effets bluffants et une tension permanente, orchestrés à merveille sur le splendide thème de Georges Delerue. Côté casting, on sent une réelle complicité entre tous les acteurs qui composent cette bande de grands talents (Sheen, Depp ...) et l'on assiste à un face à face extra entre l'époustouflant Willem Dafoe et et l'effrayant Tom Beranger. Platoon est donc un film culte, bourré de qualités et qui compte ses séquences légendaires,
spoiler:
ainsi la mort d'Ellias est selon moi une des scènes les plus réussies de ma mémoire de cinéphile
. Plus qu'un monument du cinéma, Oliver Stone a réalisé là une vraie oeuvre de citoyen, qui exprime probablement ce que les vétérans n'ont jamais su/pu dire de ce qu'ils avaient vécu, et permettant au grand public de comprendre les raisons de l'échec de l'armée de l'oncle Sam dans la péninsule indochinoise ... Probablement le meilleur film de guerre qu'il m'est était donné de voir. Un chef d'oeuvre !
. Plus qu'un monument du cinéma, Oliver Stone a réalisé là une vraie oeuvre de citoyen, qui exprime probablement ce que les vétérans n'ont jamais su/pu dire de ce qu'ils avaient vécu, et permettant au grand public de comprendre les raisons de l'échec de l'armée de l'oncle Sam dans la péninsule indochinoise ... Probablement le meilleur film de guerre qu'il m'est était donné de voir. Un chef d'oeuvre !
On pourrait s'étendre des heures sur les multiples qualités et atouts de ce film. Mais pour faire simple c'est juste un chef d'oeuvre ! Un jeu d'acteur saisissant, une musique sublime, une atmosphère poignante. On sent tout le poids de cette guerre. La folie humaine qui transparaît dans l'atrocité de la guerre. L’âme tourmentée de ces hommes qui lutte contre l'animal en eux qui tante d'annihiler leur humanité. Et la façon dont certains se laissent perdre par cette rage est retranscrite de manière si poignante
Ce film m'a donnée des frissons et l'émotion était a fleur de peau.
5 étoiles sans hésiter, malgré les années il vieillit très bien la qualités du jeu d'acteur rend les petits couacs des effets spéciaux plus que superflus.
Ce film m'a donnée des frissons et l'émotion était a fleur de peau.
5 étoiles sans hésiter, malgré les années il vieillit très bien la qualités du jeu d'acteur rend les petits couacs des effets spéciaux plus que superflus.
Platoon, une descente en enfer, l’histoire d’un jeune bleu qui va passer quelques mois de sa vie dans la jungle Vietnamienne, pas de surenchère, pas de chair et de sang qui ne soit pas justifier, juste la vérité cru, amère. La folie qui guette tous les hommes, bon ou mauvais, tous se retrouvent face à la mort, face à l’horreur et découvrant l’absurdité de la guerre, que les hommes ne se battent plus contre un ennemi, mais contre eux-mêmes, contre leur peur. Certainement l’un des meilleurs films sur cette guerre du Vietnam, pas de compromis, Oliver Stone, ouvre une porte que d’autres n’ont jamais osé pousser, remettre en cause, la bonne action Américaine, irréprochable, salvatrice du monde, et qui, à travers de ses simples hommes, devient aussi impure, et incontrôlable que ses pires ennemis. Un drame humain, un drame trop commun, une histoire sans espoir.
Napoléon
Un film dur, sombre, mais impartial et terriblement réaliste. Tout y est présent, que ce soit les scissions entre ceux qui tuent arbitrairement et les autres qui ne tuent que les combatants adverses, qui génèrent donc une guerre au sein de l'armée américaine elle-même qui va s'avérer atroce par moment. Ajouté à cela des scènes violemment réalistes, une hiérarchie totalement impuissante face à l'anarchie des actes de guerre, et des personnages qui soient ne savent pas pourquoi ils sont là ou qui sombrent peu à peu dans la démense et on obtient alors un film tout simplement monumental !!!!!!!!!!!!
Véritable épopée de la guerre du Vietnam, c'est un vrai incontournable, on a ici une image peu positive de l'armée américaine mais peu importe, on en garde un très bon souvenir.
Le film de guerre dans toute sa splendeur, froid, cruel et réaliste!
Le film est une critique de la guerre du Vietnam. Il dénonce la mauvaise organisation des États-Unis dans cette guerre. Les conflits internes qu'il y a à l'intérieur des régiments et qui vont finalement finir par “tuer” les États-Unis. Oliver Stone a cherché une représentation réaliste de la guerre du Vietnam. Il a décidé de représenter l'horreur des combats et de la vie au Vietnam. À travers la représentation de l'armée américaine exécutant des populations civiles vietnamiennes, de la compagnie montant la garde dans les marécages et du régiment tombant dans une embuscade qui aboutira à une véritable bataille horrible et meurtrière.
Hummm quoi dire ? CHEFFFFFF D'OEUVREEEEE !!!!!!!! Savourez, écouter, comprenez, visualisez, pleurez, souriez, souffrez, respirez et surtout vivez !
Le chef d'œuvre d Oliver Stone, un film choc sur la guerre du Vietnam, violent et vrai, avec la première performance de ce cher Charlie. Platoon doit être vu non seulement puisque c'est un film culte et excellent mais aussi pour un point de vue différent sur la guerre. Seul défaut, il faut l'admettre platoon a pris un coup de vieux.
Oliver Stone traduit ici son expérience personnelle de la guerre du Viêt-Nam, son vécu, mais aussi ses ressentis..Il s'agissait donc pour lui de faire coïncider son point de vue d'auteur avec le point de vue du personnage central, Chris Taylor. Platoon se distinguera alors des films où le spectateur connaît le point de vue des différents protagonistes.. Dans les reconstitutions historiques à l 'instar de" Le jour le plus long" "La bataille de Midway" ou "Un pont trop loin" la caméra montre successivement le quartier général des alliés, puis celui des Allemands ou des Japonais, passant ensuite les troupes en revue, les soldats se préparant à l'assaut et le retour au quartier général allié où la situation évolue.. Le spectateur a donc ainsi une vue d'ensemble ..
Le parti pris volontairement subjectif du réalisateur est totalement différent dans sa mise en forme ,celui -ci lui interdit de représenter des personnages autres que Chris Taylor et les membres de sa section. L 'oeuvre survole les soldats Nord-Viêtnamiens dont le point de vue (stratégique ou simplement humain) restera totalement méconnu.. le spectateur sera incapable de prévoir les mouvements ou les actions de cet «ennemi» impénétrable et caché. Même les officiers supérieurs américains, auxquels obéit en définitive la section de Taylor, n'apparaissent jamais devant la caméra....Platoon décrit l'expérience de jeunes fantassins américains en 1968 près de la frontière cambodgienne et il est bien difficile de décider si le film représente un cas particulier ou traduit au contraire une situation générale..Voilà donc l 'originalité du film dans son ensemble ..
La bande-son (Adagio for String Op 11) signée Samuel Barber reste le symbole de cette déchirure irréversible ,ce trauma imposé .. Le réalisateur profite de cette dernière pour introniser une scène culte ,celle ou Willem "Elias"Dafoe"ne parvenant à sortir indemne de la sanction appliqué par le sergent -Chef Bob Barnes (Incroyable Tom Berenger),lève les bras vers le ciel en signe de désespoir et désillusion ......Le spectacle dispose de techniques visuelles lui permettant de rendre un crédit véritable à la construction du récit .. la caméra adopte une position se confondant au regard de Charlie "Chris Taylor"Sheen pour exemple lors de l'embuscade nocturne dans la jungle, ce dernier saisit un tube d'intensification de lumière lui permettant d'observer les alentours plongés dans l'obscurité, aussitôt après, la caméra nous montre ce que voit Taylor, c'est-à-dire la jungle devenue artificiellement lumineuse...
Une telle identification des points de vue ne peut cependant être constante, le cinéaste proposera alors de préférence des images «mi-subjectives»...
Platoon reste un film direct et puissant ..
Le parti pris volontairement subjectif du réalisateur est totalement différent dans sa mise en forme ,celui -ci lui interdit de représenter des personnages autres que Chris Taylor et les membres de sa section. L 'oeuvre survole les soldats Nord-Viêtnamiens dont le point de vue (stratégique ou simplement humain) restera totalement méconnu.. le spectateur sera incapable de prévoir les mouvements ou les actions de cet «ennemi» impénétrable et caché. Même les officiers supérieurs américains, auxquels obéit en définitive la section de Taylor, n'apparaissent jamais devant la caméra....Platoon décrit l'expérience de jeunes fantassins américains en 1968 près de la frontière cambodgienne et il est bien difficile de décider si le film représente un cas particulier ou traduit au contraire une situation générale..Voilà donc l 'originalité du film dans son ensemble ..
La bande-son (Adagio for String Op 11) signée Samuel Barber reste le symbole de cette déchirure irréversible ,ce trauma imposé .. Le réalisateur profite de cette dernière pour introniser une scène culte ,celle ou Willem "Elias"Dafoe"ne parvenant à sortir indemne de la sanction appliqué par le sergent -Chef Bob Barnes (Incroyable Tom Berenger),lève les bras vers le ciel en signe de désespoir et désillusion ......Le spectacle dispose de techniques visuelles lui permettant de rendre un crédit véritable à la construction du récit .. la caméra adopte une position se confondant au regard de Charlie "Chris Taylor"Sheen pour exemple lors de l'embuscade nocturne dans la jungle, ce dernier saisit un tube d'intensification de lumière lui permettant d'observer les alentours plongés dans l'obscurité, aussitôt après, la caméra nous montre ce que voit Taylor, c'est-à-dire la jungle devenue artificiellement lumineuse...
Une telle identification des points de vue ne peut cependant être constante, le cinéaste proposera alors de préférence des images «mi-subjectives»...
Platoon reste un film direct et puissant ..
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