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    Les Sept Samouraïs
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    312 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 mai 2010
    Un classique qui ne vieillit pas, magnifique.
    Chris Art
    Chris Art

    79 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2014
    (...) Le maître Akira Kurosawa est aux commandes de ce film de sabres épique de plus de trois heures. La pauvreté, la guerre, la transmission d’un savoir, ainsi qu’un certain nombre de valeurs sont de la partie (...) Les combats se concentrent sur la deuxième moitié du film. Ils n’entravent pas le déroulement du récit, et sont montrés sans chorégraphie ultra millimétrée. Kuro sait que sur un champ de bataille, c’est sale et pas toujours calculé. Sous des trombes d’eau, dans la boue, que ce soit avec les quelques armes à feu, au katana, ou encore au bâton, tous les moyens sont bons pour occire une quarantaine de voleurs.Considéré par beaucoup comme LE chef d’oeuvre d’Akira Kurosawa, « Les Sept Samouraïs » est à voir une fois, afin d’avoir un véritable aperçu du génie du réalisateur japonais (...)
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    46 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 août 2015
    Les Sept Samouraïs permettent de relativiser la qualité des autres films d'action/aventure, parce que faire quelque chose d'aussi beau et fort sur 3h27, c'est quand même incroyable. Il ne faut pas exagérer, je n'ai pas trouvé le film captivant, mais les péripéties et le rythme efficace permettent de ne pas laisser l'ennui s'installer. L'idée de faire ressentir au spectateur la même attente que les villageois au début du film est très bonne. On espère que les paysans envoyés à la ville vont trouver de l'aide, on est avec eux. Et de la même manière, on est avec les samouraïs, on ressent l'entente qui se développe, la confiance aussi, l'esprit d'équipe qui prend forme... Au final, cela contribue grandement à l'ampleur de l'attaque du village, qui en plus d'être bien filmée est parfaitement jouée (j'ai découvert Toshirō Mifune, qui je vais suivre avec attention). Le reste du film est le portrait d'une époque, un portrait brut d'une société japonaise qui était plongée dans l'insécurité. On peut constater le quotidien difficile des paysans, leur vie dans la pauvreté, la peur des bandits... mais aussi dans la nature ! Et là franchement, chapeau Mr Kurosawa... Que ce soit un cours d'eau, la pluie, un champ de fleurs ou bien des travailleurs qui marche dans la boue, le réalisateur rend ça sublime avec un plan fixe et du noir et blanc, comme si c'était simple ! Les Sept Samouraïs est une plongée en apnée dans le Japon médiéval, qui raconte une belle histoire, brillamment interprétée et mise en scène. Une réussite absolue.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    110 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2014
    Enfin vu dans sa version longue restaurée, mais... en japonais non sous-titré. L'impression est à peu près semblable que de se retrouver derrière le volant d'une Mercédès W196 (modèle mythique ayant gagné les 24h du Mans en 1954) au réservoir vide, donc dans l'impossibilité de l'essayer.
    Frustrante...
    Le Blog Du Cinéma
    Le Blog Du Cinéma

    110 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    (...) Lorsqu’on découvre Les Sept Samouraïs ont ne peut que noter la qualité d’image offerte par cette édition DVD. On retrouve le format carré d’origine (1:33) et le noir et blanc au contraste important, créé par les éclairages de Kurosawa. Avec ce film, le réalisateur atteint des sommets avec une intrigue, en soi, relativement simple. Mais comme souvent avec Kurosawa la simplicité devient magistrale. Sa mise en scène place le spectateur au cœur de l’histoire. La caméra se déplace comme un acteur. Elle observe les différents protagonistes en les suivants à quelques mètres de distance. En plaçant les héros du film régulièrement dos à la caméra, le réalisateur japonais donne une dimension spatiale à son œuvre. On passe d’un personnage à l’autre avec aisance et toujours dans un but précis. Car le spectateur doit avant tout vivre le film à travers le regard des personnages. Kurosawa alterne judicieusement entre des plans rapprochés de visages et des plans larges permettant de filmer au mieux l’action. Lorsqu’on découvre pour la première fois à l’écran un combat entre deux samouraïs, une foule de villageois assiste à la scène. Chaque geste des samouraïs est commenté par un regard ou une réaction. Shimada, témoin de la scène aux côtés de Katsuchiro, va jusqu’à prévoir l’issue du combat. Un combat dont la finalité n’a finalement pas de réel intérêt pour Kurosawa qui s’intéresse davantage aux réactions qu’à l’action.

    Si le film parvient à nous garder attentif durant plus de trois heures c’est en partie par la qualité de son scénario et le travail sur les personnages. Comme une partie d’échec Kurosawa met en place au fur et à mesure les éléments déterminant à la suite de son film. La première partie consiste à réunir un groupe de samouraïs. Peu d’action mais uniquement l’interaction des personnages et le développement de leur caractère. Shimada est le sage et sera le leader du groupe. Plus âgé il est le premier à accepter la requête des villageois et parvient à convaincre les suivants. Katsushiro est jeune et admiratif de ses aînés, et notamment de Kyuzo. Ce dernier dégage sérénité et élégance. Gorobei, Shichiroji et Heihachi sont relativement simples et acceptent rapidement de rejoindre Shimada. Le dernier samouraï recruté sera le plus excentrique: Kikuchiyo. Rustre et grossier, il s’avère le plus touchant, émouvant et constitue l’ajout comique du film. En s’attardant sur chaque protagoniste Kurosawa cherche à les mettre en valeur. Pour lui « un film doit être une histoire palpitante avec des personnages inoubliables ». Malgré leurs défauts, qui en font des personnages profondément humains, Kikuchiyo le premier, ces samouraïs sont des héros admirables. Ils sont d’autant plus mis en avant grâce à l’accompagnement musical superbe composé majoritairement d’instruments à bois, de cuivres et de percussions. Grâce aux variantes du même thème, cette symphonie parvient autant à émouvoir qu’à apparaître glorieuse et magistrale. Cet hymne présent durant la quasi-totalité du film est inoubliable et le travail de Fumio Hayasaka apparaît aujourd’hui extrêmement moderne (...

    L'intégralité de notre avis à propos des 7 SAMOURAÏS, sur Le Blog du Cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2010
    L'avancée des technologies est le pire ennemi pour les jeunes générations voulant apprécier pleinement les vieux films cultes. S'il est aujourd'hui difficile pour un adolescent comme moi d'appréhender objectivement les sept samouraï, les ravages du temps ne font cependant pas tout. Car certes on est ici en présence d'un vieux film, mais quel film !
    Prenant place dans le Japon médiéval, le pillage imminent d'un village de paysans constitue la trame principale, dont découle le recrutement par les villageois de fiers guerriers japonais: les samouraïs. Si cette première partie est de moindre intérêt par rapport à la suite du récit, elle à le mérite de donner le ton et d'attiser l'intérêt du spectateur pour les évènements qui vont suivre.
    Durant trois heures, le réalisateur film une véritable ode au samouraï, qui se révèlent être de véritables incarnations des valeurs que nous chérissons tous: bonté, héroïsme, honnêteté. Aucune tache d'ombre n'obscurcit le tableau vaillant des sept combattants dressés par Akira Kurosawa, contrairement à celui des paysans. Le groupe de «ronin» gagne surtout en profondeur et en crédibilité grâce à l'opposition entre la sensei incarnant la sagesse, et Kikuchiyo et son attitude espiègle. N'usant jamais à outrance de combats ( qui se révèlent particulièrement réaliste ), le réalisateur préfère se concentrer sur les samouraï en tant que personnes et leur relations mutuelles, mais aussi celles avec les villageois. Si les combats n'impressionnent plus techniquement parlant, on comprend facilement en quoi leur réalisation à pu être qualifié de moderne à l'époque, un réel dynamisme étant présent. Au terme de cette fresque héroïque et sanglante, ce film épique parvient raviver nos rêves de gosses: devenir samouraï. Seul le temps passé alterne sensiblement la beauté de l'oeuvre et on en regrette presque d'être née à cette époque.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 525 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2016
    Les Sept Samouraïs est un film que j'ai beaucoup aimé. J'ai du mal à comprendre la note moyenne des spectateurs (je n'ai d'ailleurs pas vu non plus de films sur Allociné où l'écart entre les critiques presse et spectateurs était aussi important).
    Certes, le film a pris un sacré coup de vieux, mais il date tout de même des années 50.
    On peut reprocher à ce film sa longueur indécente. Les longueurs sont au début du film où le recrutement des samouraïs prend beaucoup trop de temps. Le réalisateur traite ses samouraïs au cas par cas, ce qui est long, pour au final avoir pas mal de personnages auquel on n'a pas d'attachement car mono-dimensionnels. Par contre, la deuxième moitié du film est très prenante, et on ne s'ennuie pas une seconde.
    Les scènes de combat ne sont pas si mal que ça, pour voir que le film a soixante ans. J'ai beaucoup apprécié le fait que le film montre une vraie stratégie de la part du chef des samouraïs. Le conflit ne se restreint pas à de simples combats mais également à la définition de vraies stratégies militaires, ce qui est souvent omis dans les films de guerre (ou de conflits).
    Les acteurs ne m'ont pas marqué spécialement. Takashi Shimura était bon en chef de guerre. J'ai eu plus de mal à comprendre le jeu de Toshirô Mofune, qui pourtant était le personnage le plus intéressant du film.
    Franchement, un classique intéressant à voir.
    Noistillon
    Noistillon

    84 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2012
    Que dire pour qualifier ce chef-d'oeuvre authentique ?
    Le film d'Akira Kurosawa n'a pas pris une ride, que ce soit dans sa mise en scène délicieuse, son noir et blanc somptueux. Les Sept Samouraïs est une expérience particulière, à la croisée des genres, et des légendes. C'est une oeuvre non pas engagée, ou démagogue mais qui se fait l'apologie d'un héroïsme vieillissant que Kurosawa évoque avec nostalgie. Le cinéaste japonais a transgressé la mode contemporaine de l'auteurisme et de la contemplation pour nous offrir cet objet filmique singulier, qui fait rimer divertissement, accessibilité, densité et émotion. Dans les Sept Samouraïs, Kurosawa délivre, avec une modestie manifeste, deux cent minutes de toute beauté. L'oeuvre est fournie mais jamais arrogante, très drôle, juste, et authentique. Du grand cinéma, pourtant d'une grande simplicité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 août 2013
    Près de soixante ans après leur heure de gloire, les Sept Samouraïs retrouvent une seconde jeunesse. Mais accusent quelques rides… C’est le paradoxe de la fresque mythique de Kurosawa qui, même parfaitement restaurée et dans sa version longue, suscite toujours des avis contrastés.
    Le scénario tient en deux lignes : au XVI° siècle, un village japonais perdu au fond d’une vallée est régulièrement assailli par des bandes de pillards. Le recrutement des sept samouraïs permettra de vaincre les brigands et de rendre un peu de fierté aux villageois.
    Mais le souffle passe encore. Parfois dantesque, comme lors de l’assaut final sous la pluie et dans la boue. Parfois lyrique comme certaines scènes au moment de la moisson ou dans la rizière. Tableaux toujours superbes. Le rôle des samouraïs dans l’émancipation des villageois, où la rudesse de leur pédagogie fait pendant à leur habileté au combat, justifie aussi leur notoriété. Et plus généralement cette alternance entre action et peinture sociale demeure la marque de fabrique du film.
    Il n’empêche… Comment ne pas entendre les critiques sur la longueur de la première partie, consacrée notamment au recrutement de samouraïs. Comment ne pas trouver un peu caricaturale la vision des villageois, ces gueux que tout accable y compris leur propre couardise. Et comment ne pas sourire au « rictus de misère » qu’ils forcent parfois jusqu’à l’outrance.
    Mais bon, les Sept Samouraïs ont encore de beaux restes. Même soixante ans plus tard. Même si six ans après leur avènement, ils ont dû partager les honneurs avec autant de mercenaires qui ont su s’allier, eux, critique et grand public.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 mai 2011
    Avec les sept samouraïs, Kurosawa remettait le chanbara au gout du jour, réalisant ce qui est peut-être le plus grand film japonais, maintes fois copié. Le scénario simple mais efficace, les acteurs convaincus, et surtout les images magnifiques font de ce film une réussite totale. Même si l'on peut noter quelques longueurs, la réussite esthétique parvient à nous émerveiller d'un bout à l'autre... Un chef d'oeuvre.
    Jean G.
    Jean G.

    30 abonnés 478 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2012
    Un film exemplaire, parfaitement maîtrisé, à la mise en scène excellente et aux décors somptueux. les acteurs jouent avec justesse, un film japonais inoubliable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 mai 2010
    Un sommet du cinéma ayant inspiré de nombreux réalisateurs, Akira Kurosawa a réalisé là un grand film d'action si ce n'est le film d'action. Les samouraïs ayant leurs caractères différents se font au fil de ce monument cinématographique attachants, plus particulièrement Toshirō Mifune provoquant le rire à chacune de ses apparitions. Ce dernier révélant par la suite lors d'une scène du film sa sensibilité longtemps cachée, à partir de ce moment-clef, tout n'est qu'acte de bravoure nous emportant dans cette passionnante aventure où il sera question de sacrifices. Divertissant, dramatique et émouvant, un condensé de tout ce que le cinéma peut nous offrir de bon, c'est ce qu'est "Shichinin No Samurai".
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 novembre 2013
    Pour quelqu'un qui a vu au moins trente fois le remake de Sturges (et je vous assure que je suis loin d'exagérer), voir Les Sept Samouraïs vaut-il le coup ? Bien sûr que oui ! Il est très amusant de découvrir les points communs entre les deux oeuvres (la personnalité des mercenaires, le recrutement de certains d'entre eux) ainsi que leurs nombreuses différences (le rythme, l'absence d'un vrai chef dans la bande ennemie chez Kurosawa, la personnalité d'autres samouraïs) qui en font deux films certes pas si éloignés, mais qui comporteront chacun des avantages et des inconvénients. Maintenant que l'inévitable comparaison est faite, passons au film en lui-même !
    Fidèle à son habitude, Kurosawa privilégie les personnages à l'action et prend son temps avant de proposer des batailles. Ainsi, si vous espériez de l'action à gogo, soyez prévenus : les batailles n'arrivent qu'avec la troisième heure. Le film se décompose clairement en trois parties de plus ou moins une heure chacune : la première verra les paysans recruter laborieusement sept combattants, la seconde servira de phase de préparation, avec la planification de la défense du village tandis que la troisième narrera les durs combats qui opposeront les défenseurs aux bandits. Les choses avanceront par conséquent très lentement, comme toujours avec Kurosawa (sur ses six films vus, aucun n'est vraiment riche en action), mais lenteur ne signifie pas forcément ennui. Car de nombreux rebondissements seront là pour maintenir le spectateur en haleine : quel samouraï acceptera de combattre pour le village ? Comment réagiront les samouraïs lorsqu'ils découvriront que les paysans cachent leurs filles ? Pourquoi Kikuchiyo, le samouraï timbré du lot est-il aussi hargneux vis à vis des paysans ? Et surtout quand les bandits finiront par se montrer ? Certes si vous avez vu le remake, il est probable que vous pensiez connaître la réponse à beaucoup de ces questions. Mais comme je l'ai dit plus haut les deux oeuvres ne sont pas identiques. Ainsi je ne m'attendais pas à ce que les pertes du côté des samouraïs arrivent si tôt et qu'elles touchent certains personnages ! L'effet de surprise fonctionne donc toujours autant.
    Mais le gros avantage que n'avait clairement pas Sturges, c'est Toshirô Mifune, qui campe Kikuchiyo, le fou de la bande. Par moments touchant, le personnage se révèle redoutable au combat, mais il est surtout très drôle et sort clairement du lot de par sa personnalité, là où les autres seront plus en retrait (au fond, à part le chef des sept, son jeune disciple et la fine lame du groupe, les autres n'ont pas vraiment de personnalité). Un personnage inoubliable qui permettra de relancer l'intérêt du film avec son humour lors de séquences qui il faut bien l'avouer traînent en longueur.
    Mais cette longueur permet de nous préparer encore moins au premier accrochage avec les bandits. Et à partir de là le film plongera dans un climat guerrier qui aujourd'hui encore fera son petit effet, avec le chef qui comptera au fur et à mesure les pertes des bandits, les nombreuses attaques de cavaliers, l'infiltration de Kikuchiyo dans le camp ennemi et surtout l'inoubliable bataille finale sous la pluie et dans la boue. Kurosawa avait annoncé que pour qu'une scène d'action soit crédible, il fallait que l'on pense que le cascadeurs s'était vraiment fait mal. Et sur ce coup là c'est réussi : les bandits tombent de cheval abattus par des archers, d'autres tombent dans la boue et sont roués de coups, l'un d'eux est traîné par son cheval le long du chemin... Bref, les scènes d'action mettent peut être deux heures à arriver, mais elles sont toujours aussi efficaces !
    En revanche j'aurai quelques réserves vis à vis du long-métrage. Tout d'abord les deux premières morts de samouraïs sont à mes yeux loupées (comme dit plus haut leurs personnalités ne marquaient pas trop, et surtout leurs morts sont précipitées) et surtout la deuxième partie est clairement le ventre-mou de l'histoire avec l'aventure entre le jeune disciple et la jeune fille et les prises de becs entre les paysans et leurs défenseurs. Heureusement que Toshirô Mifune est là pour nous faire patienter avec quelques facéties.
    Mais en dehors de ces quelques défauts qui n'empêcheront pas le film d'être l'un des plus beaux représentants de son pays, Les Sept Samouraïs est aujourd'hui encore un véritable plaisir pour tout cinéphile qui se respecte et tout amateur de culture Japonaise.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 juin 2014
    Kurosawa, que dire de plus. Le jeu des acteurs est également impressionnant. Toshiro Mifune signe une excellente interprétation.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juillet 2018
    Oui, 3h25 c'est (très) long. Mais elles sont nécessaires et mérités ! À la fois drôle et intelligent, le film démarre assez vite et on s'attache à ces 7 samouraïs tous différents. Le plan de bataille est réjouissant à regarder !

    À mater entre potes pour, quand même, se soutenir pendant ces 3h25, mais aussi pour élire la meilleure coupe de cheveux !
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