Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Elle
par Mathilde Carton
Un drame familial et lumineux d'une irrésistible fantaisie.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un bon moment.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le réalisateur italien Emanuele Crialese met en scène ses souvenirs de jeunesse avec la distance idéale et la juste émotion. Et Penélope Cruz en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Cette magnifique chronique d’une époque révolue aborde, sur un ton faussement léger, en ponctuant son récit par des séquences musicales, des thèmes alors peu évoqués, comme la famille dysfonctionnelle ou les violences conjugales.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Mélo sans surprise, le nouveau film d'Emanuele Crialese est transcendé par d'irrésistibles décors seventies, une bande-son pop et l'irruption volcanique de Penélope Cruz dans le cinéma italien.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Thierry Cheze
Un hymne à la liberté pour se prémunir de cette toxicité de la famille italienne traditionnelle et du patriarcat écrasant.
Paris Match
par Léa Bitton
Emanuele Crialese rend là un hommage pudique à sa propre mère. [...] En faisant d’Adriana son double fantasmé, il permet à cet amour immense de traverser l’écran. Pour mieux nous toucher en plein cœur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour raconter cette bulle affective qui est à la fois intimiste et immense, le film aussi se coupe en deux. Il développe des scènes spectaculaires, parfois même grandioses, comme celle où les enfants se perdent dans le sous-sol d’une villa, symbole d’une recherche de l’identité souterraine…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un tableau touchant de la condition féminine dans l'Italie machiste des années 70.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Baroque et touchante, cette fresque familiale s’illumine de la présence magnétique de Penélope Cruz.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Violences conjugales, société machiste et quête du genre structurent le nouveau film de l’auteur de « Respiro », enfant prodige du nouveau cinéma italien mais n’ayant rien signé depuis onze ans. Retour en demi-teinte avec ce film mineur, dont la mise en scène est élégante et où Penélope Cruz est poignante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce film à l’image raffinée propose une reconstitution riche qui porte puissamment l’air du temps, introduisant dans son récit des intermèdes de variété italienne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
À la fois léger et grave, le film raconte la perte de l’innocence et de l’insouciance, tout en dénonçant le regard des autres, l’intolérance et les violences domestiques de façon parfois démonstrative, relevé par une photographie solaire et à la patine vintage [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
L’ensemble, trop dans la retenue, fait malgré tout preuve d’une belle tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Adrien Gombeaud
Film d’inspiration autobiographique, L’immensità reprend des éléments qui ont fait le succès, il y a vingt ans, de Respiro. [...] Ce mélo retrouve ce même petit charme suranné grâce à ses décors vintage, ses vieilles voitures et sa bande-son rétro.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
L’immensità déroule lourdement ces sujets très actuels – « toxicité masculine », questionnements sur l’identité sexuelle – en les enrobant dans une sauce vintage clinquante et sucrée. À nouveau, on se sert du passé pour parler du présent, non comme une origine historique mais comme un temps qui serait plus attardé que le nôtre, et en cela bien pratique pour surligner grossièrement les problèmes.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le dernier long-métrage d’Emanuele Crialese repose sur une opération bien connue : regarder le passé à travers la loupe de thématiques contemporaines, qui le font inévitablement apparaître plus arriéré qu’aujourd’hui. L’Immensita n’a plus alors qu’à dérouler son récit tire-larmes, croulant sous son image lustrée et ses effets de connivence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Frédéric Foubert
En zappant de l’une à l’autre, L’Immensita ne trouve jamais de centre de gravité, de sujet, donne l’impression de tout survoler, et se condamne à n’être qu’une chronique nostalgique seventies de plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Un drame familial et lumineux d'une irrésistible fantaisie.
Femme Actuelle
Un bon moment.
Le Figaro
Le réalisateur italien Emanuele Crialese met en scène ses souvenirs de jeunesse avec la distance idéale et la juste émotion. Et Penélope Cruz en état de grâce.
Le Parisien
Cette magnifique chronique d’une époque révolue aborde, sur un ton faussement léger, en ponctuant son récit par des séquences musicales, des thèmes alors peu évoqués, comme la famille dysfonctionnelle ou les violences conjugales.
Les Echos
Mélo sans surprise, le nouveau film d'Emanuele Crialese est transcendé par d'irrésistibles décors seventies, une bande-son pop et l'irruption volcanique de Penélope Cruz dans le cinéma italien.
Ouest France
Un hymne à la liberté pour se prémunir de cette toxicité de la famille italienne traditionnelle et du patriarcat écrasant.
Paris Match
Emanuele Crialese rend là un hommage pudique à sa propre mère. [...] En faisant d’Adriana son double fantasmé, il permet à cet amour immense de traverser l’écran. Pour mieux nous toucher en plein cœur.
Télérama
Pour raconter cette bulle affective qui est à la fois intimiste et immense, le film aussi se coupe en deux. Il développe des scènes spectaculaires, parfois même grandioses, comme celle où les enfants se perdent dans le sous-sol d’une villa, symbole d’une recherche de l’identité souterraine…
Voici
Un tableau touchant de la condition féminine dans l'Italie machiste des années 70.
aVoir-aLire.com
Baroque et touchante, cette fresque familiale s’illumine de la présence magnétique de Penélope Cruz.
L'Obs
Violences conjugales, société machiste et quête du genre structurent le nouveau film de l’auteur de « Respiro », enfant prodige du nouveau cinéma italien mais n’ayant rien signé depuis onze ans. Retour en demi-teinte avec ce film mineur, dont la mise en scène est élégante et où Penélope Cruz est poignante.
La Croix
Ce film à l’image raffinée propose une reconstitution riche qui porte puissamment l’air du temps, introduisant dans son récit des intermèdes de variété italienne.
Le Journal du Dimanche
À la fois léger et grave, le film raconte la perte de l’innocence et de l’insouciance, tout en dénonçant le regard des autres, l’intolérance et les violences domestiques de façon parfois démonstrative, relevé par une photographie solaire et à la patine vintage [...].
Les Fiches du Cinéma
L’ensemble, trop dans la retenue, fait malgré tout preuve d’une belle tendresse.
Positif
Film d’inspiration autobiographique, L’immensità reprend des éléments qui ont fait le succès, il y a vingt ans, de Respiro. [...] Ce mélo retrouve ce même petit charme suranné grâce à ses décors vintage, ses vieilles voitures et sa bande-son rétro.
Cahiers du Cinéma
L’immensità déroule lourdement ces sujets très actuels – « toxicité masculine », questionnements sur l’identité sexuelle – en les enrobant dans une sauce vintage clinquante et sucrée. À nouveau, on se sert du passé pour parler du présent, non comme une origine historique mais comme un temps qui serait plus attardé que le nôtre, et en cela bien pratique pour surligner grossièrement les problèmes.
Le Monde
Le dernier long-métrage d’Emanuele Crialese repose sur une opération bien connue : regarder le passé à travers la loupe de thématiques contemporaines, qui le font inévitablement apparaître plus arriéré qu’aujourd’hui. L’Immensita n’a plus alors qu’à dérouler son récit tire-larmes, croulant sous son image lustrée et ses effets de connivence.
Première
En zappant de l’une à l’autre, L’Immensita ne trouve jamais de centre de gravité, de sujet, donne l’impression de tout survoler, et se condamne à n’être qu’une chronique nostalgique seventies de plus.