Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Leonardo Sbaraglia, vu précédemment chez Almodovar (Douleur et Gloire), insuffle à son personnage une maladresse attachante. Sans doute l’une des clés de la réussite du film. Car, en dépit de ses travers, Santiago conserve un capital sympathie. C’est tendre, stimulant et triste dans un parcours qui, malgré sa singularité, joue à fond la carte de l’identification.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Leonardo Brzezicki (« Noche ») capte avec acuité le désert affectif d’un homme et sa mélancolie profonde. Il y a là une énergie qui augure bien d’un talent naissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Une sorte de variation gay autour des œuvres naturalistes sur la famille de Pialat ou Cassavetes, dans laquelle les personnages cherchent une place sur Terre et finissent, parfois, par la trouver.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène prend le parti de se mettre au diapason de Santiago et ainsi d’épouser toutes les circonvolutions de son cœur. C’est d’abord très efficace mais le procédé s’épuise face aux redondances d’un récit qui ne cherche jamais à s’élever au-dessus des êtres dont il a la charge. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une œuvre dense, parfois crue, baroque, qui montre quelles que soient les générations, l’indicible cruauté de l’existence confrontée à la solitude et aux illusions perdues.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
Leonardo Sbaraglia, vu précédemment chez Almodovar (Douleur et Gloire), insuffle à son personnage une maladresse attachante. Sans doute l’une des clés de la réussite du film. Car, en dépit de ses travers, Santiago conserve un capital sympathie. C’est tendre, stimulant et triste dans un parcours qui, malgré sa singularité, joue à fond la carte de l’identification.
L'Obs
Leonardo Brzezicki (« Noche ») capte avec acuité le désert affectif d’un homme et sa mélancolie profonde. Il y a là une énergie qui augure bien d’un talent naissant.
Les Fiches du Cinéma
Une sorte de variation gay autour des œuvres naturalistes sur la famille de Pialat ou Cassavetes, dans laquelle les personnages cherchent une place sur Terre et finissent, parfois, par la trouver.
Première
La mise en scène prend le parti de se mettre au diapason de Santiago et ainsi d’épouser toutes les circonvolutions de son cœur. C’est d’abord très efficace mais le procédé s’épuise face aux redondances d’un récit qui ne cherche jamais à s’élever au-dessus des êtres dont il a la charge. Dommage.
aVoir-aLire.com
Une œuvre dense, parfois crue, baroque, qui montre quelles que soient les générations, l’indicible cruauté de l’existence confrontée à la solitude et aux illusions perdues.