Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
gamorreen
19 abonnés
457 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 26 octobre 2007
Quel dommage! Une bonne classique histoire, des bons acteurs, mais peu d'idées dans le scénario, peu de punch dans la réalisation... Ca a mal vieilli peut-être?
A part revoir 2 monstres , un de la musique , l'autre du cinéma , le film est une comédie trés franchouillarde des années 1970 , surement grandiose pour l'époque mais j'ai eu du mal à accrocher , une petite comédie pour un dimanche soir en famille
13 706 abonnés
12 423 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 22 mai 2020
Quel enquiquineur mon Dieu, quel enquiquineur! Ce classique est le premier François Pignon d'une sèrie à succès que l'on connait aujourd'hui! Edouard Molinaro et son scènariste Francis Veber imposaient dans le registre comique Lino Ventura et Jacques Brel, duo merveilleux qui par la suite allaient devenir le duo Gèrard Depardieu / Pierre Richard, des valeurs sûres du cinèma commercial français! Tout a ètè mis en oeuvre pour mettre en avant l'ètonnante complèmentaritè de Ventura, un tueur à gages avec qui on ne plaisante pas, et Brel, un français moyen qui veut mettre fin à ses jours et n'y arrive pas! Autant dire que l'on ne s'ennuie pas une seule seconde avec ces deux grands acteurs et que les situations comiques (le coffre de la voiture, le chauffeur de rallye, le final...) fusent autant que les rires! La musique, bien en osmose avec l'histoire, est de Brel alors qu'on pourrait croire que c'est du Cosma! En 1981, Billy Wilder signa un remake sympathique avec Jack Lemmon et Walter Matthau, sous le titre de "Buddy Buddy". En 2008, Francis Veber en rèalisera un autre, aussi ratè qu'inutile...
Petite comédie franchouillarde avec Brel et Ventura, super duo qui fonctionne bien. Bourvil devait tenir le rôle de Pignon mais il est décédé avant le tournage.
Le film à beau n'être qu'une ribambelle de coup visible, il n'en est qu'au fond que plus génial ! L'Emmerdeur d'Edouard Molinaro à 50 ans ( 1973 ), il continue d'amuser la galerie comme un gosse.
Après un petit postulat de quinze / vingt minutes, le film file vers une drôlerie constante, excessive passé le cap de la première sortie de l'hôtel, autant dire qu'il y'a là de quoi se fendre la pomme. La toute première apparition de Pignon dans sa voiture à déjà de quoi nous envoyer une vague de sympathie pour lui, le reste ne le confirme que davantage. Milan lui dans un autre registre amuse également, celui qui se fait enfler dans l'histoire, et pas qu'un peu ...
Lino Ventura tout de charisme et de prestance forme un duo idoine avec le décalé Brel, l'un comme l'autre son d'ailleurs inoubliables. Jacques Brel, de son expression, de sa voix viens saisir la pitrerie de sa composition pour en faire ressurgir une admiration folle pour ce type qui n'en a plus rien à cirer, ou pas tout à fait ... On en arrive à vouloir aller faire un tour dans son pavillon, à Poissy.
Les retrouvailles ubuesques avec Madame Pignon et son docteur dans leurs asile sont d'autres moments complètements rigolos. Le " Bonne Balade " qui l'adresse à Madame Pignon au manège m'a rendu hilare comme pas possible !
Un classique de la comédie française, toujours bon à retrouver !
Ancienne comédie qui n’a pas vieilli et qui étrenne avec le scénariste Francis Veber le principe des couples improbables. Cela fera son succès par la suite. Grands amis dans la vie, les deux compères s’en donnent à cœur joie. Mis en scène par le solide Molinaro, ce film demeure encore un grand moment du comique français.
J'ai adoré cette tension qu'on sent monter en Lino Ventura au fur et à mesure que parle Jacques Brel. Attention, ce dernier peut devenir vraiment vite énervant, d'où le titre. Il y a quelques petites scènes perles également, notamment celle du pilote de rallye. il faut regarder les limitations de vitesse qui étaient folles à l'époque !
La réunion à l'écran de deux amis que sont Ventura et Brel dans la vie. Cette comédie signée Jaques Veber détient son lots de gags,de plus elle est déroulée sans temps mort,pour de vrais bon moment d'humour.
Il y a bien longtemps que je n'avais pas vu ce film, réalisé par Édouard Molinaro et sorti en 1973, qui ne se démode pas ! Adapté de la pièce "Le Contrat" de Francis Veber, le film nous présente l'histoire d'un tueur à gages qui se fait constamment emmerder par son voisin de chambre d'hôtel, hôtel duquel il doit abattre son contrat. Le postulat de base est donc relativement simple mais surtout sujet à de nombreuses péripéties, à la manière d'un vaudeville, mais de qualité ! Le film étant adapté d'une pièce de théâtre, nous avons pratiquement une unité de lieu durant la majeure partie du film, qui est l'hôtel. Nous aurons cependant d'autres scènes, très drôles également, chez le médecin ou sur la route mais mais la majeure partie de l'action se déroule dans les deux chambres des héros. Et le film nous offre de situations très drôles dans ces chambres mais l'humour passe également énormément par les dialogues et le tandem construit par les personnages. Effectivement, les dialogues sont très bons et le tandem comique fonctionne très bien car, comme d'habitude chez Veber, nous avons le mec très dur et peu diplomate qu'il ne faut pas trop emmerder puis l'autre, bavard et très maladroit, ce qui créer une antinomie très drôle Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Lino Ventura et Jacques Brel qui jouent très bien ! "L'Emmerdeur" est donc une très bonne comédie française, tout simplement !
Une comédie trés drole réalisé par Edouard Molinaro et écrit avec des dialogues et des situations hilarantes par Francis Veber !!! Le début ressemble à un polar, un tueur à gages sans scrupules élimine un assassin et s'installe dans une chambre d'hotel à bonne vue pour tuer sa prochaine cible. Mais dans la chambre d'à coté, un dépressif nommé François Pignon, séparé douloureusement de sa femme, tente de se suicider ce qui va compliquer dans la mission du tueur de peur de se faire remarquer qui essayera de le consoler, c'est le synopsis et Pignon deviendra un sacré boulet qui accumule les bourdes dans les péripéties (rire). C'est bon de rigoler, "L'emmerdeur" en est le remède. D'un coté, Lino Ventura est assez sobre et joue avec le maximum de sérieux celui qui subit. De l'autre, Jacques Brel incarne un François Pignon qu'on aimerait pas avoir comme ami et rend meme d'ailleurs son personnage attachant. Jean-Pierre Darras et Caroline Cellier sont excellents à leurs cotés. A voir.
Premier François Pignon de l’histoire, Jacques Brel va mettre à mal les nerfs d’un tueur à gages - excellent Lino Ventura - à quelques minutes de l’exécution d’un contrat. Un classique de la comédie française que l’on doit d’avantage à son auteur Francis Veber qu’au réalisateur Édouard Molinaro.
Version "originale" du remake de 2008 (avec Richard Berry, Patrick Timsit, assez moyen à mon avis), on retrouve ici avec bonheur deux géants, Lino Ventura et Jacques Brel. Ce film ne se raconte pas : il est tout bonnement génial, avec des gags qui sont devenus culte : la panne sèche, l'accouchement, le coffre de la 404 Peugeot qui ne s'ouvre pas, le store défectueux, le pilote de rallye etc, etc. C'est dans ce film qu'on fait pour la première fois connaissance avec François Pignon, qu'on retrouvera dans plusieurs scénarios signés Jacques Veber : "La chèvre", "Le dîner de cons", "Les compères", "Les fugitifs" etc. Un pur moment de bonheur. Court, mais d'une exceptionnelle densité. Les mimiques de Lino Ventura qui incarne Milan, un tueur à gages implacable, sont exceptionnelles, face à un Jacques Brel tout aussi remarquable. J'avais vu ce film au cinéma à sa sortie en 1973. Je viens de le revoir en DVD avec le même plaisir et surtout un peu plus d'émotion.
Malgré son âge, cet « Emmerdeur » est mon « François Pignon » préféré. La rencontre entre Lino Ventura en spoiler: tueur professionnel , plus bourru que jamais, et Jacques Brel en spoiler: cocu suicidaire, pleurnichard et volubile , s'avère très amusante, sans omettre pour autant la partie policière du film en toile de fond. Mais ce qui est vraiment drôle, c'est l'exaspération plus ou moins intériorisée de notre spoiler: tueur à gages qui voit progressivement sa mission compromise. On en vient même à prendre fait et cause pour lui tant l'autre est insupportable. Et dire que le boulet poursuit sa « victime » jusqu'à spoiler: la case prison !