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Votre avis sur L'Emmerdeur ?
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L'emmerdeur m'a beaucoup amusé et il est clair que sa durée relativement courte est un avantage qui lui permet d'être plus efficace. Aucune scène inutile, le film va directement au but et les scènes cocasses s'enchaînent. Entre quiproquos et dialogues savoureux, le duo Ventura/Brel offre un joli moment d'humour. Un humour "François Pignon" cher aux films de Veber et qui marche toujours avec autant d'efficacité.
this is my movies
Pour la 1ère fois sur grand écran, le personnage de François Pignon prend vie. Il est içi incarné par l'immense J. Brel qui nous fait une belle démonstration de ses talents comique, un personnage assez peu éloigné de ses chansons puisqu'il incarne l'éternel cocu qui veut reconquérir sa belle (et elle l'est effectivement). Ce faisant, il va contrarier les plans de Milan, un tueur professionnel, campé par l'immense L. Ventura. La synergie entre les 2 fonctionnera à plein au cours de grands délires très drôles mais somme toute assez rares. Le rire n'est pas présent en permanence mais son dosage est habile. Le rythme imprimé par E. Molinaro n'est pas très soutenu certes mais sa mise en scène est impeccable. Des scènes cultes, du rire de qualité, des acteurs au top, une comédie brillante et au dénouement imparable. Indispensable. D'autres critiques sur
Caine78
Si la reconnaissance de ce film peut paraître tout de même un peu excessif quant à sa qualité réelle, il n'est néanmoins pas interdit de le livrer fort divertissant. En effet, nous sommes en terrain connu : le duo mal assorti, les catastrophes qui s'enchainent... Cela dit, l'opposition entre le tueur et le suicidaire reste assez savoureuse, que ce soit par la différence de jeu entre Lino Ventura et Jacques Brel, les rendant ainsi totalement complémentaires, ou encore certaines scènes particulièrement savoureuses, que ce soit par les dialogues parfois percutants ou certaines situations tout de même fort bien trouvés. Alors évidemment, cela n'atteint pas des sommets et on rit tout de même un peu moins prévu il est vrai, mais reste que "L'Emmerdeur" est une mécanique bien huilée, agréable à regarder et tout de même fort symmpathique. C'est déja cela.
Un scenario de Francis Veber mis en scène par Adouard Molinaro... Une association des plus alléchantes, et le résultat est a la hauteur ! Des situations intensément drôles, un très bon scenario, et surtout un casting extraordinaire avec en tête de liste, le tandem légendaire Lino Ventura/Jacques Brel ! Un grand moment de bonheur !
Julien D
Cette référence franchouillarde en matière de théâtre filmé a pour principal atout son duo d'acteurs légendaires: Jacques Brel, inoubliable dans unes ces trop rare apparitions sur grand écran, et Lino Ventura dont le jeu de regards est impressionnant. La manière dont celui-ci apparaît au début du film comme un tueur implacable pour ensuite être mis en déroute par sa rencontre fracassante avec un VRP suicidaire. On reconnait parfaitement, dans l’écriture de cette confrontation vaudevillesque, le style propre à Francis Veber, un style qui a su se recycler et même s’améliorer au fur et à mesure de ses pièces.
Cette comédie au scénario de Francis Veber et cultissime, hilarante, le duo Jacques Brel / Lino Ventura est génial la mise en scène est très bonne. Comédie inimitable et mémorable Faire abstraction du remake de 2008!
Une excellente comédie, un must-see de la comédie française.
L'histoire est assez marrante à la base, un tueur à gage devant se farcir un idiot un peu collant (c'est un euphémisme), qui, sans le savoir, lui rend la tâche particulièrement difficile.
Le film est mené par un duo d'acteur génial. D'un côté, Lino Ventura encore plus bourru que nature et de l'autre Jacques Brel, tellement bien intentionné et insupportable à la fois. On arrive à avoir de l'empathie pour le personnage de Lino Ventura et on est de tout cœur avec lui dans sa mission (alors qu'elle consiste à tuer quelqu'un).
On rit toutes les minutes, et le rythme est maintenu tout le long du film.
Un très bon moment à passer.
L'histoire est assez marrante à la base, un tueur à gage devant se farcir un idiot un peu collant (c'est un euphémisme), qui, sans le savoir, lui rend la tâche particulièrement difficile.
Le film est mené par un duo d'acteur génial. D'un côté, Lino Ventura encore plus bourru que nature et de l'autre Jacques Brel, tellement bien intentionné et insupportable à la fois. On arrive à avoir de l'empathie pour le personnage de Lino Ventura et on est de tout cœur avec lui dans sa mission (alors qu'elle consiste à tuer quelqu'un).
On rit toutes les minutes, et le rythme est maintenu tout le long du film.
Un très bon moment à passer.
Redzing
On sent la patte de Veber dans cette comédie écrite par ce dernier : le film repose en effet sur le tandem Ventura/Brel et dont les personnages sont complètement opposés. Les deux acteurs jouant bien, on passe un agréable moment avec les aventures de François Pignon, mais malgré quelques gags additifs, le film comporte quelques longueurs car le tandem n'est pas toujours hilarant.
Sur un scénario de Francis Veber, Edouard Molinaro dirige le duo Ventura-Brel dans une aventure du désormais célèbre François Pignon. Et on peut dire que « l'emmerdeur » porte bien son nom. Une comédie vraiment bien faîtes jouant habilement sur les quiproquos et la personnalité ubuesque de Pignon. Molinaro évite la surenchère de gags lourds et de cabotinage pour nous livrer une sympathique aventure de l'un des guignols les plus célèbres du cinéma français, parfois touchant mais souvent insupportable. Ce Pignon là est bon mais restera tout de même un cran en dessous de celui interprété par Jacques Villeret dans « Le dîner de cons », le meilleur certainement.
Dès les premières cinq minutes on est scotché et on le reste. Lino Ventura est excellent, Brel se débrouille très bien, les gags fonctionnent à fond, si on voulait pinailler on pourrait quand même dire que les seconds rôles ne sont pas top ! On n'est pas passé loin du chef d'œuvre !
Une très bonne comédie d'Edouard Molinaro, devenu incontournable depuis sa sortie en 1973.
« Ce qu’il lui faut, c’est un peu de chaleur humaine. Je m’en occupe. »
Première des six collaborations de Francis Veber avec Edouard Molinaro (caméo en barman vers la 12ème minute), dont c’est le vingtième film, réalisateur oscillant souvent entre les films noirs, les films en costumes et les comédies, l’Emmerdeur met en scène pour la première fois au cinéma le personnage de François Pignon (après François Perrin dans le Grand Blond avec une Chaussure Noire), ce nobody un peu naïf, un peu bête aussi parfois, pris dans une aventure qui le dépasse, face à un « costaud » qui le supporte bien malgré lui, médusé devant la naïveté ou la malchance de son interlocuteur. Cette fois, c’est Jacques Brel (qui s’est forcément aussi occupé de la musique) qui endosse le rôle, après avoir déjà joué sous les ordres de Molinaro (Mon Oncle Benjamin, 1969), Lino Ventura interprétant Milan, qui était aussi le nom du personnage de Bernard Blier, le « costaud » du Grand Blond avec une Chaussure Noire.
Si le scénario est on ne peut plus de Veber (il a lui-même adapté sa pièce Le Contrat), la réalisation, classique mais non dénuée d’effets, est celle de Molinaro, ainsi que l’ambiance lente du début, qui permet de poser les deux protagonistes. Il faut ainsi attendre 25 minutes pour qu’ils se retrouvent face à face.
S’en suit alors un huis-clos d’anthologie entre Brel, Ventura et Nino Castelnuovo (le garçon d’étage inquiet) qui débouche sur une succession de scènes jubilatoires d’humour noir, d’autant plus drôle que le rythme de la narration est progressif et l’interprétation de Ventura exceptionnelle de retenue.
Un chef d’oeuvre.
Première des six collaborations de Francis Veber avec Edouard Molinaro (caméo en barman vers la 12ème minute), dont c’est le vingtième film, réalisateur oscillant souvent entre les films noirs, les films en costumes et les comédies, l’Emmerdeur met en scène pour la première fois au cinéma le personnage de François Pignon (après François Perrin dans le Grand Blond avec une Chaussure Noire), ce nobody un peu naïf, un peu bête aussi parfois, pris dans une aventure qui le dépasse, face à un « costaud » qui le supporte bien malgré lui, médusé devant la naïveté ou la malchance de son interlocuteur. Cette fois, c’est Jacques Brel (qui s’est forcément aussi occupé de la musique) qui endosse le rôle, après avoir déjà joué sous les ordres de Molinaro (Mon Oncle Benjamin, 1969), Lino Ventura interprétant Milan, qui était aussi le nom du personnage de Bernard Blier, le « costaud » du Grand Blond avec une Chaussure Noire.
Si le scénario est on ne peut plus de Veber (il a lui-même adapté sa pièce Le Contrat), la réalisation, classique mais non dénuée d’effets, est celle de Molinaro, ainsi que l’ambiance lente du début, qui permet de poser les deux protagonistes. Il faut ainsi attendre 25 minutes pour qu’ils se retrouvent face à face.
S’en suit alors un huis-clos d’anthologie entre Brel, Ventura et Nino Castelnuovo (le garçon d’étage inquiet) qui débouche sur une succession de scènes jubilatoires d’humour noir, d’autant plus drôle que le rythme de la narration est progressif et l’interprétation de Ventura exceptionnelle de retenue.
Un chef d’oeuvre.
Avec ce film, nous sommes au début d'une longue série de métrages autour du couple impossible avec le boulet maladroit, emblématique Pignon, joué ici par Jacques Brel, que l'on aime aussi voir sur grand écran. Ventura joue comme d'habitude l'homme fort et déterminé mais va vite voir ses plans contrariés par le grand Jacques, le dépressif de la chambre voisine. Certains gags fonctionnent bien mais le tout reste trop répétitif.
J'ai été assez déçue par ce film, je m'attendais à beaucoup rire étant donné le scénario écrit par Francis Weber mais il n'en est rien et à vrai dire on s'ennuie un peu. Même si les deux acteurs principaux jouent très bien, ils ne sauvent pas le film.
🎬 RENGER 📼
Grosse déception de la part d'Edouard Molinaro qui réalise ici une piètre comédie avec pourtant un très beau casting, puisque ce film réuni deux grandes stars des années 60/70, à savoir Lino Ventura & Jacques Brel.
Si leur jeu d’acteur est parfait, on s’étonnera de la qualité de cette comédie, qui tourne en rond durant toute la durée du film. La faute à qui ? A Francis Veber et son scénario faiblard ? Sans doute, ce qui est sur, c’est que Molinaro n’arrange rien, ni sa mise en scène, ni sa direction d’acteur ne sauveront les meuble de L'Emmerdeur (1973), sauf, ce duo qui essaie tant bien que mal de divertir. A savoir aussi, qu’il existe deux remakes de ce film : Buddy Buddy (1981), une version Américaine et L'Emmerdeur (2008) réalisé par Francis Veber (ainsi qu’une adaptation théâtrale, qu’il a lui même mise en scène). Reste à savoir maintenant si le remake de 2008 sera à la hauteur . . .
Si leur jeu d’acteur est parfait, on s’étonnera de la qualité de cette comédie, qui tourne en rond durant toute la durée du film. La faute à qui ? A Francis Veber et son scénario faiblard ? Sans doute, ce qui est sur, c’est que Molinaro n’arrange rien, ni sa mise en scène, ni sa direction d’acteur ne sauveront les meuble de L'Emmerdeur (1973), sauf, ce duo qui essaie tant bien que mal de divertir. A savoir aussi, qu’il existe deux remakes de ce film : Buddy Buddy (1981), une version Américaine et L'Emmerdeur (2008) réalisé par Francis Veber (ainsi qu’une adaptation théâtrale, qu’il a lui même mise en scène). Reste à savoir maintenant si le remake de 2008 sera à la hauteur . . .
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