Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Portrait de famille ? Fusion des généalogies ? Synthèse esthétique ? Au gré des réapparitions, des permutations et des citations, Le Grand Chariot invente sa propre historicité.
Critikat.com
par Marin Gérard
Dans Le Grand chariot, film à la fois mineur et testamentaire, l'émotion surgit le plus souvent d'une attention extraordinaire portée à quelques gestes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film un peu hors du temps (et c’est tant mieux), à l’image de son auteur qui suit avec mélancolie, humour et douceur ses personnages familiers dans leur ordinaire romanesque fait d’histoires d’amour, de séparations et de deuils.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Le Grand Chariot, film magnifique, se rend d’autant plus bouleversant que Garrel y met cette fois en scène tous ses enfants, Louis (40 ans), Esther (32 ans) et Lena (22 ans).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Dans une sorte de film d’anti-transmission, Philippe Garrel, avec délicatesse et noblesse, lègue à ses enfants le droit de faire ce qu’ils veulent. Une miniature modeste, dans laquelle se sent pourtant régulièrement le geste sûr et précis d’un maître.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Toute l’intensité du film se tient dans ce dispositif : ne plus être là mais continuer à regarder, que la fiction, toujours, se frictionne avec le document familial – "Le Grand Chariot" pourrait être son "Love Streams" (John Cassavetes).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Une poésie à faussement douce, terriblement puissante. Le romantisme de Philippe Garrel est un fleuve qui trace sa route entre les rives du réel et du rêve. Art suprême du vivant.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après l’échec du « Sel des larmes », Philippe Garrel retrouve la grâce de son cinéma dans cette histoire de transmission et d’émancipation artistiques sur fond d’hommage à un art populaire et enfantin, auquel le cinéaste rend sa magie et sa poésie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Dans une sorte de ronde, où alternent légèreté et gravité, chassés-croisés amoureux et considérations politiques, le cinéaste charme par le naturel et la simplicité de son récit. Et à travers la désagrégation de cette compagnie de marionnettistes s’interroge sur l’avenir de son art.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
Le film émeut par son épure, sa modestie et sa clarté.
Le Figaro
par La Rédaction
À travers une famille de marionnettiste, Le Grand Chariot parle du poids de l'héritage, de la difficulté de s'affranchir, de la vie d'artiste et de l'amour. Une mise en abîme troublante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Philippe Garrel signe une nouvelle fois un long-métrage intimiste, aux scènes lentes ou parfois anecdotiques. Grâce à l’interprétation et à la complicité de ses trois enfants, le résultat, qui invite à s’interroger sur la transmission et sur l’émancipation, dégage une certaine émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Moins inspiré que dans ses meilleurs films, le cinéaste flirte parfois avec l'autocaricature dans ce récit sur l'héritage et la fidélité, mais « Le Grand Chariot », malgré ses facilités, touche avec sa mélancolie inconsolable et son art du murmure.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Certes, le cinéaste des Baisers de secours et de J’entends plus la guitare a souvent été plus inspiré par le passé, mais cette évocation crépusculaire d’une famille d’artistes écartelée entre respect des traditions et désir d’émancipation, invite pour le moins au respect.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Samuel Douhaire
Le film est plus convaincant quand il s’attache de manière quasi documentaire à la pratique professionnelle de ses héros marionnettistes, dont l’art menacé devient la métaphore d’un monde qui laisse mourir les traditions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
par Yemcel Sadou
Philippe Garrel fait coexister des histoires annexes qui mériteraient des films séparés. Il rend ainsi son film décousu. On se perd vite, on ne comprend pas toujours le rapport entre ces histoires et le métier de marionnettiste. Une occasion manquée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Libération
par Olivier Lamm
Décevant malgré une émouvante réflexion sur la transmission, le film de Philippe Garrel sort entaché par les accusations contre le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
Portrait de famille ? Fusion des généalogies ? Synthèse esthétique ? Au gré des réapparitions, des permutations et des citations, Le Grand Chariot invente sa propre historicité.
Critikat.com
Dans Le Grand chariot, film à la fois mineur et testamentaire, l'émotion surgit le plus souvent d'une attention extraordinaire portée à quelques gestes.
Le Journal du Dimanche
Un film un peu hors du temps (et c’est tant mieux), à l’image de son auteur qui suit avec mélancolie, humour et douceur ses personnages familiers dans leur ordinaire romanesque fait d’histoires d’amour, de séparations et de deuils.
Le Monde
Le Grand Chariot, film magnifique, se rend d’autant plus bouleversant que Garrel y met cette fois en scène tous ses enfants, Louis (40 ans), Esther (32 ans) et Lena (22 ans).
Les Fiches du Cinéma
Dans une sorte de film d’anti-transmission, Philippe Garrel, avec délicatesse et noblesse, lègue à ses enfants le droit de faire ce qu’ils veulent. Une miniature modeste, dans laquelle se sent pourtant régulièrement le geste sûr et précis d’un maître.
Les Inrockuptibles
Toute l’intensité du film se tient dans ce dispositif : ne plus être là mais continuer à regarder, que la fiction, toujours, se frictionne avec le document familial – "Le Grand Chariot" pourrait être son "Love Streams" (John Cassavetes).
Première
Une poésie à faussement douce, terriblement puissante. Le romantisme de Philippe Garrel est un fleuve qui trace sa route entre les rives du réel et du rêve. Art suprême du vivant.
L'Obs
Après l’échec du « Sel des larmes », Philippe Garrel retrouve la grâce de son cinéma dans cette histoire de transmission et d’émancipation artistiques sur fond d’hommage à un art populaire et enfantin, auquel le cinéaste rend sa magie et sa poésie.
La Croix
Dans une sorte de ronde, où alternent légèreté et gravité, chassés-croisés amoureux et considérations politiques, le cinéaste charme par le naturel et la simplicité de son récit. Et à travers la désagrégation de cette compagnie de marionnettistes s’interroge sur l’avenir de son art.
La Septième Obsession
Le film émeut par son épure, sa modestie et sa clarté.
Le Figaro
À travers une famille de marionnettiste, Le Grand Chariot parle du poids de l'héritage, de la difficulté de s'affranchir, de la vie d'artiste et de l'amour. Une mise en abîme troublante.
Le Parisien
Philippe Garrel signe une nouvelle fois un long-métrage intimiste, aux scènes lentes ou parfois anecdotiques. Grâce à l’interprétation et à la complicité de ses trois enfants, le résultat, qui invite à s’interroger sur la transmission et sur l’émancipation, dégage une certaine émotion.
Les Echos
Moins inspiré que dans ses meilleurs films, le cinéaste flirte parfois avec l'autocaricature dans ce récit sur l'héritage et la fidélité, mais « Le Grand Chariot », malgré ses facilités, touche avec sa mélancolie inconsolable et son art du murmure.
Marianne
Certes, le cinéaste des Baisers de secours et de J’entends plus la guitare a souvent été plus inspiré par le passé, mais cette évocation crépusculaire d’une famille d’artistes écartelée entre respect des traditions et désir d’émancipation, invite pour le moins au respect.
Télérama
Le film est plus convaincant quand il s’attache de manière quasi documentaire à la pratique professionnelle de ses héros marionnettistes, dont l’art menacé devient la métaphore d’un monde qui laisse mourir les traditions.
Franceinfo Culture
Philippe Garrel fait coexister des histoires annexes qui mériteraient des films séparés. Il rend ainsi son film décousu. On se perd vite, on ne comprend pas toujours le rapport entre ces histoires et le métier de marionnettiste. Une occasion manquée.
Libération
Décevant malgré une émouvante réflexion sur la transmission, le film de Philippe Garrel sort entaché par les accusations contre le cinéaste.