Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Culturopoing.com
par Martin Cadot
Étouffant et surprenant, Matria nous pousse dans nos retranchements autant que Ramona, le personnage principal, ouvrière, épuisée par la vie, mais ne se laissant pas abattre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ouest France
par La rédaction
Un film social puissant doublé d'un beau portrait de femme.
Télérama
par Hélène Marzolf
Un premier film dénué de misérabilisme, à la mise en scène fébrile et rageuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Matria, c’est tout simplement le portrait haut en couleur d’une femme extraordinaire qui ne parvient pas à se sortir de la médiocrité de son existence, ou la révélation sur les écrans français d’une grande comédienne : María Vázquez.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
María Vázquez, comédienne inouïe, lui donne une énergie, une dignité, une force qui vous poursuivent longtemps après la projection. Elle est le cœur battant de ce portrait de femme ordinaire qui tient de l’extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Isabelle Danel
Caméra à l’épaule façon Dardenne, le film s’échappe vers la mer de Galice et brûle du feu de sa vibrante interprète principale, María Vásquez.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
À la fébrilité de son héroïne, à l’asphyxie réelle (ses quintes de toux qui l’épuisent un peu plus) et métaphorique, la mise en scène répond comme un appel d’air. La moindre des élégances de la caméra face à un tel modèle est de ne pas renchérir sur l’oppression ressentie.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Sans aucun cliché, Alvaro Gago dresse le portrait complexe d’une femme imparfaite.
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Portrait d’une quadragénaire luttant pour survivre dans un milieu social et familial complexe, Matria est un film beau et sincère, mais qui manque d’originalité, tant dans le traitement que dans le regard porté sur la communauté à laquelle il s’intéresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
C’est la meilleure idée de Matria de se caler sur ce souffle, long et court, de femme de la classe laborieuse qu’il ne quitte pas d’une semelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Bastien Assié
Malgré la gravité de son propos, Matria capte gracieusement la force de volonté d’une femme dans sa quête d’émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par M.Dl
Alors que le jeune cinéma espagnol surprend par sa richesse, Alvaro Gago livre une chronique sociale très agitée qui ne semble pas avoir trouvé sa fable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
Étouffant et surprenant, Matria nous pousse dans nos retranchements autant que Ramona, le personnage principal, ouvrière, épuisée par la vie, mais ne se laissant pas abattre.
Ouest France
Un film social puissant doublé d'un beau portrait de femme.
Télérama
Un premier film dénué de misérabilisme, à la mise en scène fébrile et rageuse.
aVoir-aLire.com
Matria, c’est tout simplement le portrait haut en couleur d’une femme extraordinaire qui ne parvient pas à se sortir de la médiocrité de son existence, ou la révélation sur les écrans français d’une grande comédienne : María Vázquez.
Bande à part
María Vázquez, comédienne inouïe, lui donne une énergie, une dignité, une force qui vous poursuivent longtemps après la projection. Elle est le cœur battant de ce portrait de femme ordinaire qui tient de l’extraordinaire.
L'Obs
Caméra à l’épaule façon Dardenne, le film s’échappe vers la mer de Galice et brûle du feu de sa vibrante interprète principale, María Vásquez.
La Septième Obsession
À la fébrilité de son héroïne, à l’asphyxie réelle (ses quintes de toux qui l’épuisent un peu plus) et métaphorique, la mise en scène répond comme un appel d’air. La moindre des élégances de la caméra face à un tel modèle est de ne pas renchérir sur l’oppression ressentie.
Le Dauphiné Libéré
Sans aucun cliché, Alvaro Gago dresse le portrait complexe d’une femme imparfaite.
Les Fiches du Cinéma
Portrait d’une quadragénaire luttant pour survivre dans un milieu social et familial complexe, Matria est un film beau et sincère, mais qui manque d’originalité, tant dans le traitement que dans le regard porté sur la communauté à laquelle il s’intéresse.
Libération
C’est la meilleure idée de Matria de se caler sur ce souffle, long et court, de femme de la classe laborieuse qu’il ne quitte pas d’une semelle.
Première
Malgré la gravité de son propos, Matria capte gracieusement la force de volonté d’une femme dans sa quête d’émancipation.
Le Monde
Alors que le jeune cinéma espagnol surprend par sa richesse, Alvaro Gago livre une chronique sociale très agitée qui ne semble pas avoir trouvé sa fable.