Mon compte
    Parole de flic
    Note moyenne
    2,2
    219 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Parole de flic ?

    33 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    5 critiques
    3
    3 critiques
    2
    7 critiques
    1
    6 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 266 abonnés 7 532 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2023
    Daniel Pratt est un ex-policier qui coule des jours heureux en Afrique jusqu’au jour où il apprend le décès de sa fille. Cette dernière a été assassinée et il est bien décidé à ne pas attendre que justice soit faite…

    Imaginez un polar burné avec Alain Delon torse-poil, dans un ersatz français d’Un justicier dans la ville (1974), le tout, saupoudré d’une once de Magnum Force (1973). Maintenant imaginez Alain Delon qui se prend pour Charles Bronson, sauf que son personnage part littéralement en couille au point de se retrouver dans un vigilante movie crypto-gay (oui, oui, vous avez bien lu).

    Je ne vous refais pas la carrière d’Alain Delon, ce dernier était LA star du cinéma d’action français (en concurrence avec Jean-Paul Belmondo) et n’avait qu’une idée en tête, prouver à quiconque qu’à 50 balais, il était loin d’être fini. Alors qu'à cela ne tienne, il a eu l’idée de co-produire un film à sa gloire, qu’il a co-scénarisé et dans lequel il incarne le rôle-titre (il interprète même la chanson du générique de fin "I don't know", à ce stade, pourquoi se refuser un caprice de star ?). Et c’est ainsi que vous obtenez Parole de flic (1985), un polar testostéroné qui vient pomper Death Wish et nous entraîne dans une spirale de violence infernale sans la moindre concession spoiler: (pêle-mêle, ça casse du voleur, du migrant et du pẽdé).


    Mais ce qui retiendra particulièrement notre attention, c’est la performance égocentrique & virile d’Alain Delon, ce dernier y apparait comme intouchable, torse-poil luisant et abdos affutés, il n’y a qu’à voir la scène d’ouverture où il s’adonne à un corps à corps avec un congolais gaulé comme une armoire normande spoiler: (spoiler : il parviendra à le coucher au sol).
    Bien évidemment, Delon fait chavirer les coeurs, les africaines n’ont d’yeux que pour lui et de retour en France, il n’hésitera pas à poser ses valseuses sur la table pour étaler son machisme à qui veut l’entendre spoiler: (notamment une ravissante fliquette qui à l’âge de sa fille et qui finira dans son pieu).
    Et bizarrement, malgré son côté Don Juan, son personnage n’en reste pas moins… suspicieux. Serait-il homosexuel ? Le doute nous assaille, il n’y a qu’à voir comment il lèche goulument le visage du congolais ou la façon avec laquelle il allume la cigarette de Perrin).

    L’ensemble est parfaitement crétin et risible, mais on jubile à l’idée de voir Delon jouer au flic badass pas crédible pour un sou, face à Jacques Perrin et Vincent Lindon (qui enchaîne ici un énième second-rôle de flic, après sa performance dans Le Faucon - 1983).

    Quoi qu’on en pense, l’égo-trip de Delon lui aura permis de dépasser au box-office le 14ème opus de James Bond (Dangereusement vôtre - 1985), j’ai mal à ma France rien que d’y penser…

    (critique rédigée en 2011, réactualisée en 2023)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    pierrre s.
    pierrre s.

    435 abonnés 3 309 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 janvier 2016
    Alain Delon à la plage, Alain Delon au cimetière, Alain Delon à la muscu... Le film est un étalage de séquences à la gloire de l'acteur. Et après tout ça, il va tranquillement tuer tout le monde.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 juillet 2008
    3 ans avant "Ne réveillez pas un flic qui dort", le duo Pinhero-Delon faisait déjà dans le nawak le plus total avec ce gros nanar bien made in de chez nous. Le scénario est quasi-identique au film susnommé plus haut, si ce n'est qu'Alain Delon est un ex-flic qui vit en Afrique, où il passe le plus clair de son temps à jouer au poker, à se friter avec le Stallone local. Mais ce bonheur ne pouvait pas durer : 5 minutes après le début du film, il apprend la mort de sa fille et se rend dans la banlieue lyonnaise pour découvrir et tuer les assassins. Mais auparavant, le réalisateur a cru bon de nous gratifier d'une scène d'entrainement, quasi copier-collé de "Rocky", qui nous prouve qu'Alain Delon, 50 balais, il peu quand même jouer au d'jeun (ou au con, c'est selon). Faut le voir faire un footing avec son jogging à capuche, du grand portnawak. Après cette scène d'anthologie, Alain Delon va utiliser son pouvoir de télépathie pour trouver tout seul les méchants et tous les buter, sans que cela ne gêne personne. Au bout de 4 morts, les flics, qui savent que c'est lui depuis le début du carnage, vont commencer à lever le p'ti doigt (ces fonctionnaires, quelle bande de feignasse) mais Alain Delon va bien entendu s'en sortir et ceux en balançant sa bagnole dans le Rhône. La police, déjà fatiguée, va conclure qu'il est mort sans prendre la peine de tenter de retrouver le corps. Après ce coup de maître, Alain Delon va squatter une péniche, puis se déguiser en clown pour capturer le méchant au cirque avant de rejoindre sa petite amie, une flic qui a survécue a un tir de fusil a pompe a bout portant (tout est vrai j'invente rien, je vous jure !!!). Comme "Ne réveillez pas un flic qui dort", c'est un mélange de "Magnum Force" et d'"Un justicier dans la ville". Et comme "Ne réveillez pas un flic qui dort", c'est un gros nanar qui n'a même pas l'excuse d'avoir un petit bugget.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 804 abonnés 12 441 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 septembre 2018
    Un nanar made in France comme on n'en fait plus aujourd'hui! Le nirvana ultime de la mèdiocritè où Alain Delon incarne un policier à la retraite qui se lance sur la piste des assassins de sa fille chèrie! Que ce soit dans une île au large de l'Afrique ou dans la belle ville de Lyon, l'histoire est tellement mauvaise que ça en devient drôle...mais involontairement! Le rapprochement avec Clint Eastwood alias "Dirty Harry" est inèvitable! On s'ètonne de voir l'acteur mythique de "Plein soleil" ou "Le samouraï" s'ègarer dans ce polar catastrophique des 80's qui rèunit par ailleurs une bonne distribution (Jacques Perrin, Jean-François Stèvenin, Stèphane Ferrara, Vincent Lindon...). On est dans le bas du panier du policier tout venant! Pourtant "Parole de flic" de Josè Pinheiro est plus qu'une simple oeuvre! il dèsigne une vèritable pratique : celle de regarder volontairement un Delon beau et athlètique pour en retirer du plaisir! C'est au demeurant efficace mais bien nul spoiler: (la scène de fight en ouverture, le final au cirque Pinder...)
    et le mot n'est pas trop fort...
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    47 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Du très, très grand Delon dans sa période "n'importenawak". Fiona Gélin est aussi expressive qu'une moule à gauffres, mais c'est normal car elle n'est pas humaine vu qu'elle se prend un coup de fusil à pompes en plein torse et qu'elle survit. Notre cher Alain national essaie de nous faire croire qu'il a le même âge que dans "Plein Soleil" et pour ça, il s'habille comme un "djeun" de l'époque, ce qui veut dire comme un clown à peine evadé d'un institut pour grands malades mentaux. Le reste n'est qu'une tentative de polar testosteroné telle que doit se l'imaginer un teckel hermaphrodite. Courez-y!
    Incertitudes
    Incertitudes

    206 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 octobre 2018
    Dans la lutte opposant Alain Delon à Jean-Paul Belmondo, je me demande qui était le plus ridicule exceptée cette guéguerre elle-même. Belmondo, au moins, gardait une certaine classe et sa gouaille. Delon...Laissez-moi rire. D'ailleurs, tout le début du film se déroulant en Afrique prête à rire. On se croirait limite dans une parodie des Nuls. Voir Delon faire semblant de se battre avec un grand noir, l'humilier parce que c'est Delon. Avec toutes ces femmes noires en arrière-plan qui s'extasient pour pas grand-chose...D'humiliation, il en sera beaucoup question. Lorsqu'il reçoit un télégramme l'informant du meurtre de sa fille, il est détruit. Il est détruit mais joue l'abattement comme un pied. A titre de comparaison, rien à voir avec la prestation de Sean Penn dans Mystic River de Clint Eastwood. S'il tenait tellement à sa fille, pourquoi ne la tenait-il pas près d'elle au lieu de l'envoyer en France faire ses études six longs mois par an pendant que monsieur se la coule douce sur son île ? Mystère. Une fois rentré en France pour faire le ménage, il se fera sauter dessus illico par une Fiona Gélin peu farouche. Vingt-trois ans à l'époque. Quand Delon en avait cinquante. Bon, après, Anne Parillaud dans Dans la peau d'un flic avait bien vingt et un ans. C'est un habitué. Bien qu'étant retiré du métier depuis dix ans tout rond, il progressera dans l'enquête sans trop de soucis. Je parlais d'humiliation. Un ancien indic' lui dira ce qu'il voudra savoir en se faisant torturer. Il en sera de même pour ses prochaines victimes. Comme s'il éprouvait un plaisir sadique à jouer avec la nourriture avant de la manger. Là où la police lyonnaise n'avançait à rien en son absence, lui, découvre tout en une poignée de scènes le plus souvent filmé en gros plan, les sourcils froncés, torse nu. C'est le reproche qu'on pourrait faire à Delon et ce qui résumerait sa carrière. Un très grand acteur dans les années soixante et soixante-dix qui se laisse enfermer par sa caricature dans les années quatre-vingt jusqu'à finir par être totalement ridicule. Ce n'est pas en copiant le scénario de Magnum Force en montrant des bandes fascistes exécutant le sale travail avec lui au milieu pour les arrêter qu'il adoucira son image. S'étant alors installé en Suisse et ne cachant pas sa proximité avec Jean-Marie Le Pen. Inexplicablement, le public suivra. J'espère qu'il en aura profité sur le moment car ce sera la dernière fois.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 août 2010
    Un des meilleurs films d'Alain Delon à mon gouts.
    Un policier à la retraite revenu pour se venger.Pas pourri le retraité
    A voir
    NeoLain
    NeoLain

    4 997 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    Alain Delon dans un polar bien mou du genoux. Attention parce que là, on peut y voir un Delon bodybuildé, il se bat, il boxe et s'entrainement à la Rocky, bref... Dans tout ça un peu tout de même y gagner quelques bons moments comme sa vengeance qui orchestrer sur les tueurs tendance extrême droite et ayant tuer sa fille. Violence assez gratuite mais c'est la bienvenue parce que sinon le film serait un navet.
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    90 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2015
    Ah, les années 80! Époque si particulière où Alain Delon enchainait les navets contenant le mot « flic » dans leurs titres. En l’occurrence, Parole de Flic est une véritable déclaration d’amour à notre gloire nationale: Delon corrige un gros black a main nue et rend folles d’amour toutes les congolaises, Delon fait de la gymnastique avec classe, Delon détruit à lui seul un gang de mafieux et se jette dans le Rhône pour échapper à 60 policiers sans jamais se décoiffer, etc… Je ne m’attarderai même pas sur le coté kitch et raciste du film pour seulement insister sur l’absence totale de réalisme du scénario qui fait passer la banlieue Lyonnaise pour un quartier chaud de Bogota. Un bon gros nanar bien de chez nous.
    Le comptoir du cinéphage
    Le comptoir du cinéphage

    28 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 décembre 2009
    Epoque "vigilante" pour alain delon. Il s'octroie le role d'un vieux briscard qui va faire payer a tout le monde le mal qu'on lui a fait. Ce serait plutot sympathique si Delon n'était pas aussi ridicule. Il faut le voir en jean année 80, bombers et converse a 40 balais. La scene de fin dans un cirque est un sommet de non-sens involontaire.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 415 abonnés 4 452 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2016
    Parole de flic est un polar violent que n’aurait pas renié un Walter Hill par exemple. C’est un solide film d’action, dont on regrettera quand même un scénario simple et un peu téléphoné, mais qui reste bien emballé.
    Le casting est convaincant, avec Delon qui trouve un rôle certes plus simple que ses meilleurs, mais qu’il mène avec efficacité, charisme, et conviction. On aurait pu l’aimer un peu plus expressif, car il ressemble par moment à un rock Seagal ici, mais enfin, ça reste tout à fait solide compte tenu de ce à quoi on assiste, un film brutal, direct, sans fioriture. Le reste du casting compte de bons interprètes, pas forcément très connus comme Fiona Gélin, mais ça tient la route, et on s’amusera aussi à voir dans des seconds rôles quelques têtes bien connues à l’instar de Stévenin et de Lindon. Dans l’ensemble c’est un bon point.
    Le scénario est une histoire de vengeance basique, assez prévisible dans l’ensemble. On se doute de toutes les « surprises » de l’intrigue. Se désintéressant un peu de l’enquête, le métrage se concentre sur la violence directe, l’action, le rythme ébouriffant. Ça reste caricatural, parfois c’est un peu risible, mais force est de constater que la recette fonctionne bien, et que l’on prend plaisir à suivre notre héros dans ses tribulations nocturnes et violentes.
    Formellement rien à dire de particulier. L’ambiance est typique d’un polar urbain, nocturne, sombre, avec des lieux interlopes, c’est globalement de belle tenue avec la belle surprise de fin. Reste que la mise en scène est un peu simpliste quand même (les attaques en particulier c’est relativement minimaliste). C’est un point assez négatif. La bande son aurait aussi pu être plus tranchante, là c’est pour le moins mineur, voire très mineur.
    Enfin, Parole de flic reste un polar violent, toujours percutant, mais c’est un Delon mineur malgré tout. Sans le recommander outre mesure, pour autant si vous tombez dessus par hasard et que vous aimez le cinéma du genre de celui de Walter Hill, vous ne serez probablement pas déçu. 3.
    bsalvert
    bsalvert

    412 abonnés 3 582 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Les films qui ne tournent qu'autour d'un personnage peuvent très vite lassé car ils sont souvent écrits directement pour l'interprète.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 mai 2008
    A la soupe!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 avril 2014
    un très bon polar avec une superbe interprétation de Alain Delon. à voir et à revoir donc sans aucune modération.
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    24 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2021
    Alain est grand et Delon est son prophète.

    Au commencement... il y eu Delon !
    Dieu vint bien après, et parce que Delon l'y avait autorisé, lui permettant dans sa divine mansuétude, de partager avec lui quelques lauriers, comme on balance par-terre négligeamment un bout de gras à son chien.
    Mais Delon aime partager, il aime les autres, Delon est comme ça ! ... et p'is aussi y faut bien qu'il existe des gens pour l'admirer !

    Delon est Beau, Delon est Grand, Delon en a grave dans le calbut, et Delon en a marre de passer pour un type égocentré juste dans la vie alors que son talent est bien plus grand !
    Il aimerait bien également être crédible en sommet de vanité au cinéma !
    Et c'est sûr que ce n'est pas en tournant dans de bons films qu'il y parviendra...
    Changement de cap donc: "- Et si je tournais des nanars prétentieux plus bêtes que mon pied gauche, avec des personnages dont la vacuité n'aura comme égal que moi-même ?", s'interroge puissamment Delon.

    Essai brillamment transformé, ce film opérant le début d'une consciencieuse déconstruction de sa carrière (magistralement suivit par "Le Passage", "Dancing Machine", "Ne Réveillez Pas un Flic qui Dort" et "Le Jour et la Nuit", que du tout bon pour les zygomatiques !), et une parodie involontaire d'un mythe en passe de se ringardiser à l'extrême, devenant une caricature de ce qui était déjà une caricature... Une caricature qui se caricature ? Que du tout bon pour les zygomatiques !

    Donc le pitch, d'une subtilité qui force l'admiration:
    Delon est un ancien flic
    1. qui en a grave dans le pantalon,
    2. à qui "on-ne-la-fait-pas",
    3. meilleur que tous les autres réunis et que même que c'est super qu'il soit là,
    4. on n'a pas été gentil avec lui, alors y boude... Sa femme, ou une potiche du genre, j'ai déjà oublié, s'est faite assassiner, et que même que c'est pas très sympa pour Delon qu'est tout tristounet (et qui n'a pas vu Delon jouer la souffrance ne sait pas ce que c'est de souffrir), et en plus on l'aide même pas à faire justice, alors il part en Afrique et p'is c'est tout, "et maintenant vous z'êtes tous bien embêtés Pass'queue je suis plus là pour nettoyer votre caca... NA !"

    Méééééééééééééé Alain Delon a une fille, et elle est tuée 10 après son exil, alors bien sûr Delon y fait encore plus du boudin, et revient en France pour montrer qu'il a le pantalon bien remplit et qu'il va étouffer tout le monde avec ce qu'il y a dedans (et qui n'a pas vu Delon jouer la colère ne sait pas ce qu'est la colère) !
    Cela donne donc lieu a des séquences mythiques, miteuses, poilues et poilantes... et bien ultra-violentes, qui sont tellement funs qu'on aimerait bien qu'il ait suffisamment de filles pour en buter une chaque jour de l'année, juste pour le mettre vénère et rigoler un peu plus...

    Festival d'auto-satisfaction et de prétention risible et puérile, Delon est au sommet de son art, et nous divertit tout le long du film, pas comme il le souhaiterait, le script étant blindé d'incohérences et de raccourcis faciles, le tout saupoudré par les jolis poils de la virilité Delonniène qui décidément s'accordent bien à toutes les sauces, mais n'attend pas la fin du film grimé en clown, pour faire le clown et bien nous amuser.

    D'ailleurs pourquoi à la fin il se déguise en clown ? Mystère !
    Comment il arrive à faire son numéro en se faisant passer devant tous les membres du cirque pour leur véritable collègue ? Oooh alleeeeeeez, j't'en pose des questions ??? C'est Delon, mince, c'est tout !
    Rigole pas toi, tu vas voir ta tronche sans tes dents (et qui n'a pas vu Delon jouer les dentiste ne sait pas ce que c'est qu'un vrai dentiste) !
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top