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"Lorca ouverture !"...Sur un scènario coècrit avec Jean Curtelin et Jean-Pierre Bastid, le rèalisateur Denis Amar voulait confier à Patrick Dewaere le rôle de Bruno, un jeune comèdien envoyè en prison pour une broutille dans un supermarchè (tout ça pour une boîte de caviar qu'il n'a même pas volè) qui s'attire la haine d'un gardien chef acharnè campè par un inquiètant Richard Bohringer! Au moment de la disparition de Patrick, "L'addition" mettra finalement en tête d'affiche Richard Berry qui joue un Bruno convaincant et attachant! La belle Victoria Abril ajoute une touche de sensualitè dans ce film violent et bien conduit, où le regrettè Farid Chopel et le dèbutant Vincent Lindon complètent la distribution! Typique produit des annèes 80, le face-à-face Berry/Bohringer maintient l'intèrêt jusqu'au final...
bsalvert
Même si cela va à l'encontre du but du réalisateur, je trouve ce film d'un réalisme saisissant (enfin tel que je me l'imagine).
un film policier qui peut ressembler à la réalité du monde carcérale !!! un excellent duo
selenie
Voilà un film qui a eu un certain succès à son époque mais à y regarder de plus près auourd'hui tient plus du nanard que du polar de qualité. Denis Amar est un réalisateur qui tournera 4 long métrages dans les années 80 dont "Hiver 54 l'Abbé Pierre" (1989), depuis il est un simple réalisateur de séries tv à la française avec tout ce qu'il y a de péjoratif comme "Femmes de loi", "La Crim" ou "Section de recherche"... Dès les premières minutes on est dans el film policier de la science-fiction où les invraisemblances ridicules n'ont rien à envier à la collection de Nanarland. Une simple bousculade sur un parking de supermarché le mec va en prison, comme c'est le plus malchanceux au monde il faut q'en plus il tombe sur une évasion dont il se retrouve complice à l'insu de son plein gré, comme c'est pas assez il tombe par la même occasion sur le pire maton de France... etc... J'en passe et des meilleurs. Denis Amar a voulu faire son "Midnight Express" sauf que la Turquie n'est, quoi qu'on en dise, pas la France et surtout le tacheron Amar n'est pas Alan Parker. Seul bonus le charme de Victoria Abril... C'est peu !
Note généreuse. Un film qui se laisse suivre. En revanche abandonner sa moto en plein milieu d'une nationale 5 minutes après son évasion de prison est déconseillé! ------ Janvier 2013------
L'Addition est un film sans intérêt sur un homme accusé à tort. Chacune des situations est inventée de manière irresponsable et pas une seule scène ni aucun des détails n'est un tant soit peu crédible. Je peux comprendre que quelqu'un écrive une histoire sur un sujet qu'il connaît très peu mais je ne comprends pas comment cette histoire est arrivée jusqu'au stade du film final. Les dialogues embarrassants de cette histoire pourraient convenir à un film américain mais je n'arrive pas à croire que ce film est français. Ce n'est pas que la France n'a pas fait sa propre part de mauvais films mais elle l'a normalement fait à sa manière d'une manière française unique et non pas à la manière des personnages clichés américains genre croyez tout ce qu'on vous montre. Richard Bohringer ne m'a jamais impressionné. D'un autre côté je considère Richard Berry comme un très bon acteur et il est difficile de comprendre pourquoi il a accepté un rôle dans ce film. Il est capable de faire de bien meilleurs films que celui-ci. En fait le jeu d'acteur de Richard Berry est la seule chose que je peux dire de bien a propos de ce film...
Encore un film des années 80 . Oui je sais mais j ai grandi pendant cette période. Un bon polar à la française avec une vraie ambiance . Les comédiens sont superbes notamment le duo : Berr - Bohringer .
À noter la musique de Jean Claude Petit qui apporte presque une touche futuriste...
À noter la musique de Jean Claude Petit qui apporte presque une touche futuriste...
Yannickcinéphile
L’addition est un film qui aurait réellement pu être bien meilleur. En toute honnêteté, j’ai été déçu, attendant quelque chose de bien mieux dégrossi.
Au final, le métrage est beaucoup trop court. Histoire d’amour mal développée avec Abril, fin bâclée, récit trop elliptique, le film manque aussi parfois de vraisemblance, et au bout du compte c’est bancal. Il y a peu de moments accrocheurs, hormis quelques confrontations entre Berry et Bohringer, et forcément ça ne peut pas suffire. Malgré l’intensité qui s’installe parfois, et l’idée que ça peut vite mal tournée, le film ne parvient jamais réellement à décoller, s’installant dans un combat psychologique sur fond de film de prison qui ressemble plus à un squelette scénaristique prometteur qu’à un scénario abouti et rédigé jusqu’au bout.
Il est clair que c’est le casting qui abat donc les meilleures cartes de ce métrage, avec surtout Richard Berry, très bon dans son rôle d’innocent emprisonné, proie d’un gardien de prison teigneux campé par un Richard Bohringer indiqué pour ce rôle. Leur confrontation reste intéressante, en dépit du caractère assez monolithique du personnage de Bohringer, qui n’évolue pas contrairement à celui de Berry. Leurs prestations, et puis la présence pas déplaisante de quelques honorables seconds rôles, comme Farid Chopel et Victoria Abril (Lindon fait de la figuration), permettent de sauver L’Addition du film totalement anecdotique.
Car formellement rien de bien fameux. Denis Amar ne recherche aucune esthétique véritable, ne naviguant pas même dans une tonalité documentaire assez fréquente pourtant dans le film de prison français. Le réalisateur est peu connu, mais il ne m’avait pas déplu sur Hiver 54, l’abbé Pierre, mais ce n’est pas avec ce qu’il offre ici qu’il mérite vraiment de se faire mieux connaître. L’Addition manque de vie, de personnalité, jusque dans une bande son assez anecdotique. On est dans un téléfilm d’époque en somme.
En clair, ce film c’est avant tout la confrontation entre deux acteurs réputés du cinéma français, et si vous êtes fan d’eux, pour sûr, ce film est à voir. Après, il aurait fallu clairement une histoire mieux tenue et une mise en scène plus musclée pour assurer la qualité de ce métrage. 2
Au final, le métrage est beaucoup trop court. Histoire d’amour mal développée avec Abril, fin bâclée, récit trop elliptique, le film manque aussi parfois de vraisemblance, et au bout du compte c’est bancal. Il y a peu de moments accrocheurs, hormis quelques confrontations entre Berry et Bohringer, et forcément ça ne peut pas suffire. Malgré l’intensité qui s’installe parfois, et l’idée que ça peut vite mal tournée, le film ne parvient jamais réellement à décoller, s’installant dans un combat psychologique sur fond de film de prison qui ressemble plus à un squelette scénaristique prometteur qu’à un scénario abouti et rédigé jusqu’au bout.
Il est clair que c’est le casting qui abat donc les meilleures cartes de ce métrage, avec surtout Richard Berry, très bon dans son rôle d’innocent emprisonné, proie d’un gardien de prison teigneux campé par un Richard Bohringer indiqué pour ce rôle. Leur confrontation reste intéressante, en dépit du caractère assez monolithique du personnage de Bohringer, qui n’évolue pas contrairement à celui de Berry. Leurs prestations, et puis la présence pas déplaisante de quelques honorables seconds rôles, comme Farid Chopel et Victoria Abril (Lindon fait de la figuration), permettent de sauver L’Addition du film totalement anecdotique.
Car formellement rien de bien fameux. Denis Amar ne recherche aucune esthétique véritable, ne naviguant pas même dans une tonalité documentaire assez fréquente pourtant dans le film de prison français. Le réalisateur est peu connu, mais il ne m’avait pas déplu sur Hiver 54, l’abbé Pierre, mais ce n’est pas avec ce qu’il offre ici qu’il mérite vraiment de se faire mieux connaître. L’Addition manque de vie, de personnalité, jusque dans une bande son assez anecdotique. On est dans un téléfilm d’époque en somme.
En clair, ce film c’est avant tout la confrontation entre deux acteurs réputés du cinéma français, et si vous êtes fan d’eux, pour sûr, ce film est à voir. Après, il aurait fallu clairement une histoire mieux tenue et une mise en scène plus musclée pour assurer la qualité de ce métrage. 2
Film fort court mais réussi.
Ca n'a pas la profondeur de Midnight express, mais c'est tout de même prenant et efficace.
Ca n'a pas la profondeur de Midnight express, mais c'est tout de même prenant et efficace.
un film plutôt pas mal très bien écrit très bien réalisé et plutôt très bien interprété par ses acteurs principaux ainsi que certains des acteurs secondaires. Vincent Lindon fait ici un de ses premier rôle même s'il apparaît que quelques secondes voire quelques minutes à l'écran. l'histoire est celle d'un homme défend une femme la sortie d'un supermarché alors que cette dernière a volé une boîte de caviar il corrige le garde de ce supermarché quelle manqué de respect et a tenu des propos racistes à la jeune femme et se retrouve donc en prison car il a blessé un officier mais il faut en prison il tombe sur un matton qui rêve que d'une chose voir un meurtre en direct car ses sont rêve et il va pourir la vie du jeune homme pour être sûre arriver à ses fins et qu'il reste en prison. Des film montre que certains juge , policier ne font pas bien leur travail qu'il y a des imbécile partout même certains son fous !mais encore une fois ne tombons pas dans l'amalgame c'est pas parce que certaine policier ce comporte mal que les flic sont tous comme sa !
Victime d'une justice qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez, victime plus loin d'un surveillant de prison psychopathe, Bruno, citoyen ordinaire et paisible, découvre et fréquente l'univers carcéral bien plus longtemps que n'aurait du le lui valoir son empoignade avec un vigile de supermarché.
Les circonstances malheureuses qui maintiennent Bruno en détention sont certes plausibles mais Denis Amar les additionne avec une telle légèreté, avec tellement de complaisance, qu'on n'a guère envie d'y croire. C'est le premier point qui nous détache de la fiction d'Amar. Le second est lui quasiment rédhibitoire et relève de l'insincérité des personnages, des figures typées complètement dépourvues de vérité psychologique. Soumis à la rancune du mâton Lorca, au racket de congénères violents, Bruno se comporte déjà en vieux briscard des prisons et l'interprétation de Richard Berry ne traduit certainement pas le désarroi et les états d'âme de l'innocent confronté à l'injustice et à un milieu de violence inconnu. De cet univers carcéral, Amar donne une image réductrice et spectaculaire, fondée sur les lieux communs bien plus que sur une quelconque authenticité. La pauvreté des personnages (on touche même au grotesque et à l'incohérence avec le rôle féminin), la "frime" des dialogues et la platitude de l'action introduisent un climat haineux et brutal en tout point factice. Malgré la matériau dramatique dont il dispose-le décor glacé d'une prison ultra-moderne- Amar ne parvient même pas à créer une ambiance singulière, à imaginer une mise en scène stylisée. De fait, l'action est aussi banale qu'insignifiante.
Les circonstances malheureuses qui maintiennent Bruno en détention sont certes plausibles mais Denis Amar les additionne avec une telle légèreté, avec tellement de complaisance, qu'on n'a guère envie d'y croire. C'est le premier point qui nous détache de la fiction d'Amar. Le second est lui quasiment rédhibitoire et relève de l'insincérité des personnages, des figures typées complètement dépourvues de vérité psychologique. Soumis à la rancune du mâton Lorca, au racket de congénères violents, Bruno se comporte déjà en vieux briscard des prisons et l'interprétation de Richard Berry ne traduit certainement pas le désarroi et les états d'âme de l'innocent confronté à l'injustice et à un milieu de violence inconnu. De cet univers carcéral, Amar donne une image réductrice et spectaculaire, fondée sur les lieux communs bien plus que sur une quelconque authenticité. La pauvreté des personnages (on touche même au grotesque et à l'incohérence avec le rôle féminin), la "frime" des dialogues et la platitude de l'action introduisent un climat haineux et brutal en tout point factice. Malgré la matériau dramatique dont il dispose-le décor glacé d'une prison ultra-moderne- Amar ne parvient même pas à créer une ambiance singulière, à imaginer une mise en scène stylisée. De fait, l'action est aussi banale qu'insignifiante.
Un film médiocre réalisé en 1984 par Denis Amar !! Tout commence mal avec un homme faisant ses courses qui croise une femme charmante mais voleuse qui se fera arrèter par les vigiles, ou plutôt lui qui va la défendre entre les poings, cela lui veut un petit séjour en prison qu'il prend ça comme amusement, déjà au bout de 5 minutes, l'histoire perd en crédibilité, enfin elle lui rend quand même visite par amour, une preuve sentimentale. La suite, le héros bète est témoin d'une évasion de 2 prisonniers et sauve la vie à un gardien de prison qui le remerciera pour faux témoignages devant le tribunal se qui coutera 2 ans au héros et un enfer d'harcèlement morale et physique. "Midnight espress" d'Alan Parker avait rencontré un succés à l'époque, pourquoi pas à un film de barreau en France? Le problème, c'est que Denis Amar film "L'addition" comme une mauvaise série B avec le face à face Richard Berry/ Richard Bohringer pas très crédible même si les comédiens font du mieux dans l'interprétation. Il y a aussi dans les seconds roles Victoria Abril et Vincent Lindon. Bref, passez votre chemin.
Un bon petit polar comme j'aime . Richard Berry pauvre type qui défend une femme pleine de fric qui vol pour le plaisir, résultat : tout va lui tomber dessus , et pire même.
En face un Richard Bohringer revanchard mais sans savoir la réalité...... bref un super face à face. A noter la superbe prestation du regretté Farid Chopel
En face un Richard Bohringer revanchard mais sans savoir la réalité...... bref un super face à face. A noter la superbe prestation du regretté Farid Chopel
Un film aux allures de modeste thriller franchouillard, un peu trop surréaliste hélas, avec une histoire aux traits un peu trop épais, mais qui s'en sort globalement très bien. Même si la
spoiler:
métamorphose du gentil comédien en gros dur
n'est pas des plus convaincante, l’interprétation des 2 richards (Bohringer et Berry), qui deviendront 2 grands acteurs français, apporte une charpente solide à ce film qui nous retient jusqu'à la fin.
n'est pas des plus convaincante, l’interprétation des 2 richards (Bohringer et Berry), qui deviendront 2 grands acteurs français, apporte une charpente solide à ce film qui nous retient jusqu'à la fin.
Un comédien tente de venir au secours d'une jeune femme qui a volé une boite de caviar: résultat il se retrouve au placard ! En taule, ça ne s'arrange pas, il est considéré comme responsable de l'évasion d'un criminel. Le maton blessé pendant l'évasion porte plainte contre le détenu. Le personnage joué par Richard Berry voit le destin se retourner contre lui et va devoir composer avec l'hostilité des autres prisonniers et la haine injustifiée d'un gardien de prison violent et sadique campé par un très bon Richard Bohringer. Au milieu de ce combat sans pitié, une Victoria Abril belle comme un cœur tentant de voler au secours de son bien aimé. «L'addition», voila un film qui porte bien son titre. Bien que ne proposant rien qui sorte de l'ordinaire, ce polar carcéral français ressemblant à «Midnight Express», sans bien sur jamais en atteindre la puissance, arrive à se faire intéressé car il est doté d'une bonne réalisation, d'un scénario travaillé et d'un duo d'acteurs convaincants. Très ancré dans son époque certes, mais vaut le détour
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