Un bonne petite comédie française avec Pierre Richard. Un film au comique fort visuel mais avec certaines scènes cultes! Je ne mets que deux étoiles car le film est assez inégal : il alterne le très bon et le moins comique.
l'age d'or du comique francaise. Les acteurs sont toujours aussi bon, on est davantage accé sur le comique visuel, c'est un peu plus facile, un peu plus efficace peut etre. Seul le rôle de Mireil Darc a perdu en crédibilité.
Une bonne comedie française avec des excellents acteurs qui jouent bien leurs rôles.Il y'a une bonne musique d'ailleurs mythique,il y'a aussi des moments marrants mais aussi un peu etourdi.N'ayant pas vu le premier je pourrais pas dire si le premier et meilleur que le deuxieme.Mais celui-là ma bien plus.Bref une bonne comedie française que je vous conseille si vous aimez ce style de film
On reprend la même équipe, à l'exception de Blier, pour la suite des aventures du Grand Blond. Suite plus développée, faisant entrer en jeu des instances gouvernementales, remodelant le rôle de Perrin (Pierre Richard), et logiquement celui de Christine (Mireille Darc) et Maurice (Jean Carmet). La psychologie des personnages est donc un peu plus recherchée. Les gags et répliques sont très aléatoires, passant du très bon au très moyen en un clin-d'oeil. L'exemple même avec le (court) séjour à Rio. Mais, au plus on avance, au plus on est proche du conventionnel. Tandis que la 1ère moitié du film est rythmée par le duo Toulouse (Jean Rochefort)-Perrache (Paul Le Person), ce qui sauve, en partie, la 2ème moitié du film, c'est la métamorphose de Maurice. Il vole presque la vedette à François. Carmet est aux petits oignons avec son allure de plouc pas si plouc que ça. La fin est presque bâclée, trop classique et trop tirée par les cheveux. Mais l'ensemble tient la route, bien que moins fluide au 1er volet. A voir et à revoir.
Cette suite est moins drôle, l’histoire est moins intéressante mais les acteurs sont toujours aussi bon, voir même meilleur que dans le premier épisode mais ça ne suffit pas à égaler le premier !
Cette suite conserve les atouts du premier volet : le casting est royal (même si certains ne sont plus là), on est plongé dans l'univers inutilement compliqué des services secret, et on a toujours le droit aux pitreries de Pierre Richard. Il y a pas mal de bons gags, mais quelques longueurs et un scénario trop sérieux pour une comédie, où Richard devient tantôt une cible, tantôt une bouée de sauvetage. Cependant, cette suite continue de montrer la malhonnêteté des services secrets et leur immoralité.
Beaucoup plus compliqué que le 1. Le chef des bandits affirme au ministre que "Le Grand Blond" est un espion redoutable et le ministre veut le rencontrer. Le chef dit qu'il est mort en mission et donne l'ordre à ses sbires de le tuer mais ils n'y arrivent pas alors "Le grand Blond" doit jouer le rôle d'un super espion rentré de mission qui ne sait plus utiliser une arme (qu'il n'a jamais su) et ensuite, une fois reposé, il doit parfaire sa démarche, l'air sérieux et jouer le rôle d'espion sous les yeux de Maurice et d'un policier méfiant s'il veut revoir Christine un jour.
Le Retour Du Grand Blond est un film que l'on redécouvre. Moins connu que Le Grand Blond avec une Chaussure Noire, cette suite apparait aujourd'hui comme étant plus complexe dans sa structure, dans son écriture et ses péripéties. Evidemment on rit encore souvent aux incidents de Pierre Richard qu'il provoque malgré lui ou ce qui est provoqué autour de lui. Le génial acteur français forme avec la belle Mireille Darc un couple très frais et ont l'air de vraiment s'amuser dans les sublimes décors de Rio de Janeiro. Cependant, Le Retour du Grand Blond comme le premier film se penche encore plus sur le contexte politique et des forces internes de l'armée en constante opposition, nhésitant pas à se servir dinnocents pour regler leurs différents. Les grands Jean Rochefort et son complice Paul Le Person s'en donnent à coeur joie dans l'ironie, dans l'humour noir et surtout ont cette aura de mystère qui les rend dangereux. Yves Robert réunit une distribution prestigieuse telle que Jean Bouise, Jean Carmet qui reprend son role de Maurice au bonnet en laine bleue et Michel Duchaussoy dans le role plus complexe quil en a lair du Capitaine Cambrai. Le scénario de Francis Veber est d'une rare précision, la musique de Vladimir Cosma toujours aussi belle, les dialogues très sympas et les parodies de James Bond affluent dans la deuxième partie quand François Perrin doit jouer à l'agent secret. Les scènes finales dans la salle de concert sont jubilatoires et orchestrées (au sens propre comme au figuré) de main de maitre par Yves Robert. Au final, une suite aussi réussie que le premier film.