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On rit presque autant que dans le premier, grâce à un plus grand nombre de gags et quiproquos, à un côté parodie des films d'espionnage encore plus poussé, et à un Pierre Richard au top de sa forme.
Malheureusement beaucoup de répétitions du premier, à commencer par le thème musical qui est le même que dans le premier et qui est répété en boucle pendant tous le film, créant un sentiment de lassitude et de longueur chez le spectateur, en particulier quand il est remixé au theme de James Bond...
Le tout a encore plus vieilli que dans le premier, que ce soit dans les effets spéciaux, les longueurs, l'humour, les personnages(même si j'aime beaucoup celui de Toulouse que je trouve cruellement charismatique).
Bonne suite mais une saga qui a pris un sacré coup de vieux, on le croirait sorti au début des années 60.
Malheureusement beaucoup de répétitions du premier, à commencer par le thème musical qui est le même que dans le premier et qui est répété en boucle pendant tous le film, créant un sentiment de lassitude et de longueur chez le spectateur, en particulier quand il est remixé au theme de James Bond...
Le tout a encore plus vieilli que dans le premier, que ce soit dans les effets spéciaux, les longueurs, l'humour, les personnages(même si j'aime beaucoup celui de Toulouse que je trouve cruellement charismatique).
Bonne suite mais une saga qui a pris un sacré coup de vieux, on le croirait sorti au début des années 60.
Audrey L
Le premier film du Grand Blond était sympathique à regarder bien que vraiment très bon-enfant dans ses gags, ici c'est l'inverse ! Les gags sont parfois un peu "limite" pour une comédie familiale (François Perrin qui se fait "un petit plaisir" sous les draps devant des voyeurs stupéfaits...) ou grotesques (François Perrin qui joue les Jackie Chan...). La fin est grand-guignolesque à l'excès : on tue quelqu'un lors d'un concert sur scène et tout continue comme si de rien n'était, voire même les spectateurs se mettent à applaudir ! Et la succession de combines lors de cette fin est lassante à la longue. François Perrin faisait rire tant qu'il était maladroit, et ici il l'est beaucoup moins, voire même il frime et joue des mécaniques... La sauce ne prend vraiment plus. Pas un seul rire, même le petit sourire se fait désirer. Préférez de très loin le premier film, plus comique que celui-ci.
Une suite fait à la va-vite. Un scénario trop bancal, aucun gag ne fait rire. La réalisation parodie les films policier des années 70 par moments mais c’est très médiocre. C’était pas nécessaire de faire un second opus sur un sujet quasi identique.
Une comédie qui se veut populaire mais qui est surtout bien grasse. Premier et second volet du film sont semblables.
On prend la même èquipe (Yves Robert / Francis Veber / Vladmir Cosma) et on recommence de plus belle! Voici donc la suite des aventures comiques du violoniste maladroit le plus connu de France et de Navarre, incorporè cette fois dans les services secrets! Toujours dans les nuages, Pierre Richard rèendosse à nouveau le rôle de François Perrin dans une suite drôle et divertissante! Le reste est laissè aux seconds rôles (Carmet, Rochefort, Bouise, Le Person...) qui font leur travail formidablement en se souvenant qu'ils en ont tant fait dans l'original! Ce n'est peut être pas assez pour faire mieux que "Le grand blond avec une chaussure noire" (1972), mais très bien pour sortir dèfinitivement du train train quotidien! Bref on rit de bon coeur avec ces affaires d'espionnages burlesques où gags et dialogues aux petits oignons ne manquent pas! Dommage que Bernard Blier ne soit pas de la partie! Pouvait-il en être autrement...
Une suite nettement moins réussie mais quelques scènes restent amusantes et le personnage du grand blond toujours sympathique.
dès le départ le ton est donné et l'on retrouve les mêmes codes du 1er opus : sur un rythme effréné, un canevas de film d'espionnage jonché de scènes désopilantes et de dialogues qui font mouche. une suite tout aussi agréable.
gabdias
Suite directe du premier volet, exit l’effet de surprise, on prend les mêmes et on recommence, P.Richard est toujours excellent dans son rôle d’espion stupide, J.Carmet au niveau de sa réputation et J.Rochefort excellent comme d’habitude. Un cran en dessous de l’original mais toujours un excellent moment de comédie.
C'est incroyable d'éclater encore de rire après avoir vu ce film au moins dix fois. Les années passent, les gags restent efficaces. Les acteurs sont au sommet de leur art, mention spéciale pour Pierre Richard, Jean Rochefort et Jean Carmet, tous hilarants à leur manière. Le scénario est excellent, ponctué de répliques cocasses comme "Il a une femme imbaisable et quatre enfants, il est donc capable du pire." J'ai été surpris d'entendre la musique de James Bond, me demandant comment Yves Robert a pu obtenir le droit de l'utiliser. Quant au final, c'est un festival de virtuosité. Vladimir Cosma revisite les Danses hongroises n°5 de Johannes Brahms (cherchez "Les Brahms m'en tombent"), tandis que l'action colle parfaitement à chaque note de l'orchestre et que Mireille Darc émerveille tout le monde avec son dos cette fois-ci encadré de blanc. Une merveille ! À revoir après avoir revu Le Grand Blond Avec Une Chaussure Noire.
Une suite réussie du grand blond. On y retrouve les principaux personnages et on rit souvent. Pierre Richard est parfait dans son rôle. Et sue dire de l'excellent Jean Rochefort qui est royal dans son rôle du colonel Toulouse. Le film est court (1h20) et rythmé. Une comédie divertissante qui fait du bien et qui a très bien vieilli.
Un bonne petite comédie française avec Pierre Richard. Un film au comique fort visuel mais avec certaines scènes cultes! Je ne mets que deux étoiles car le film est assez inégal : il alterne le très bon et le moins comique.
Shawn777
Cette suite du "Grand blond avec une chaussure noire", une nouvelle fois réalisée par Yves Robert et sortie en 1974, n'est pas mal du tout ! Le vice est ici poussé encore plus loin puisqu'il s'git d'une véritable parodie de film d'espionnage, François Perrin étant obligé de jouer les James Bond afin de retrouver Christine. Enfin, le scénario est un peu plus complexe que cela, le réalisateur et scénariste ayant également été plus loin dans les machinations et quiproquos. C'est d'ailleurs le grand risque de cette suite, celui de paraitre complètement absurde. Et c'est vrai que l'on frôle parfois l'absurdité mais le film la revendique tout le long. Ainsi, même si certaines situations sont très poussées et absolument pas crédibles, nous pouvons tout de même rentrer dans le jeu. Néanmoins, il faut avouer que cette suite à un peu perdue du charme du premier. Effectivement, même si le film tente quelque chose de différent, nous n'avons plus cette naïveté qui faisait le charme des personnages du premier film. Les dialogues sont cependant toujours aussi bons et nous retrouvons cette lenteur, propre au style des deux films, ce qui est toujours une très bonne chose. Comme dans le premier film, cette lenteur n'est en effet absolument pas un défaut. Que ce soit au niveau de la mise en scène, du jeu des acteurs ou des dialogues, tout est réglé comme sur du papier à musique, comme le montre d'ailleurs deux scènes en particulier : celle à Rio au début du film, lorsque Prince et Charmant tentent de tuer François et puis évidemment la dernière à l'orchestre, reprenant par ailleurs le principe de la scène d'orchestre du premier film. En ce qui concerne les acteurs, nous retrouvons la même équipe qui joue toujours aussi bien avec en plus ici, entre autres, Michel Duchaussoy, Henri Guybet et Jean Bouise qui jouent également très bien. "Le Retour du grand blond" est donc une bonne suite, tout simplement !
Même si c’est rare, il arrive parfois qu’une suite se hisse au-dessus du film auquel elle succède. C’est le cas du Retour du Grand Blond ! En effet, Yves Robert réussit à rendre son film (toujours coécrit par Francis Veber) plus drôle que Le Grand Blond avec une chaussure noire en offrant beaucoup plus de gags que l’original. Ceux-ci s’enchaînent et permettent d’offrir des séquences très mémorables
spoiler:
(le plan séquence de la tentative d’assassinat par la fenêtre, la très drôle arrivée à l’aéroport du Grand Blond affublé désormais d’une chaussure rouge, la brillamment chorégraphiée séquence du concert ou encore l’hilarante séquence de la mission où Pierre Richard nous fait une démonstration de son « art » du karaté)
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De plus, Yves Robert bénéficie du retour du casting du précédent film (Pierre Richard, Jean Carmet, Jean Rochefort, Mireille Darc…) auquel s’ajoute de nouveaux visages comme ceux de Jean Bouise ou d’Henri Guybet.
Toujours illustré par la célèbre musique de Vladimir Cosma, Le Retour du Grand Blond est donc une comédie très distrayante qui peut encore plus faire rire la famille au grand complet que le premier volet.
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De plus, Yves Robert bénéficie du retour du casting du précédent film (Pierre Richard, Jean Carmet, Jean Rochefort, Mireille Darc…) auquel s’ajoute de nouveaux visages comme ceux de Jean Bouise ou d’Henri Guybet.
Toujours illustré par la célèbre musique de Vladimir Cosma, Le Retour du Grand Blond est donc une comédie très distrayante qui peut encore plus faire rire la famille au grand complet que le premier volet.
François Perrin en périple amoureux à Rio avec Christine ne se doute pas des enjeux qui se jouent dans son dos. Le grand blond rempile pour un second opus un peu en deçà du premier. Hélas Bernard Blier n’y est plus et son pendant dans cette suite, le capitane Cambrai n’a pas sa prestance. Heureusement le colonel Toulouse (l’inégalable flegmatique Jean Rochefort) est bien présent et compte de nouveau utiliser le grand blond. Les embrassades et déhanchés brésiliens passés, le film démarre vraiment, les gags sont bien amenés, le jeu de Pierre Richard en agent des services secrets vaut le détour et les dialogues restent bons.
Une très bonne suite marrante au film le grand blond avec une chaussure noire d'Yves Robert avec Pierre Richard, Mirelle Darc et Jean Rochefort.
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